La députée italienne, Sara Cunial, dénonce courageusement au Parlement la mafia médicale, l'Etat profond, Bilderberg, Sanofi, Glaxo, le tatouage quantique, la reconnaissance faciale, GAVI, ID2020, etc. et demande au Président italien la traduction de Bill Gates devant la CPI pour "Crimes contre l'humanité" .
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Source - https://www.youtube.com/watch?v=d32znW0W3sE&ab_channel=LionEntity
Extraits de témoignages réels d'enfants qui souffrent à cause des mesures sanitaires / contés par des adultes.
Ce film est destiné à sensibiliser tout le monde, car il est urgent d'agir!
Source - https://www.youtube.com/watch?v=4HWuWEDh9Zw&ab_channel=OnDezoom
MERK, le premier fabricant de l'Ivermectine lance un nouveau "médicaments", le Molnupiravir, sur le marché comme une alternative pour les récalcitrants aux injections. Il s'avère que cette solution est plus que douteuse concernant, une fois de plus, les effets secondaires graves qui en découleraient.
Source - https://infovf.com/video/fausse-ivermectine-big-pharma--10616.html
C’est une fresque implacable. Elle raconte un demi-siècle de l’histoire de la BNP, une banque française spécialisée, dans les années 1960, dans le financement des PME et la bancarisation des ménages. Un établissement sans histoires devenu au fil d’acquisitions successives une institution financière d’envergure internationale très puissante en s’affranchissant parfois des règles et en jouant de son influence auprès des plus hautes sphères du pouvoir.
Dans ce portrait sans concession, le journaliste économique Xavier Harel (ancien de La Tribune, spécialiste de la finance internationale) et le réalisateur Thomas Lafarge s’appuient sur les témoignages d’anciens de la banque, d’économistes ou de personnalités politiques pour décrire la stratégie de BNP Paribas pour asseoir son pouvoir.
Tout commence par la privatisation de la BNP en 1993 et l’arrivée à sa tête de Michel Pébereau, le « parrain du capitalisme français », dont l’ambition est de transformer l’établissement français en géant européen. La première étape de cette ascension passera par l’acquisition de Paribas. C’est la rencontre de deux univers, celle d’une banque de dépôts populaire et de « la Rolls-Royce de la banque d’affaires », qui carbure aux bonus.
Changement de culture
Le groupe nouvellement créé change de culture. Il entend profiter des prometteuses années 2000, de la croissance, des marchés et de l’explosion d’Internet dans un environnement peu régulé, jusqu’à l’effondrement de Lehman Brothers. Alors que BNP Paribas sort de la crise financière de 2008 plus puissante que jamais, le film fait le choix de s’intéresser non pas à la success story, mais aux zones d’ombres de cette insolente réussite.
Lors du règlement de la crise financière, Michel Pébereau a eu l’oreille du président Nicolas Sarkozy. Et lorsque François Hollande veut remettre les banques au pas en séparant leurs activités spéculatives, la montagne accouche d’une souris. Les journalistes décryptent la porosité entre l’élite bancaire et son ministère de tutelle, alors que les institutions financières, et particulièrement BNP Paribas, aiment à recruter leurs cadres dirigeants dans la haute fonction publique, les énarques inspecteurs des finances en tête.
Quelle que soit la majorité en place, la banque possède des relais dans les rouages du pouvoir. « Quand les intérêts bancaires sont menacés, le réseau [des inspecteurs des finances] se met en marche et il bloque tout », témoigne l’ancien ministre de l’économie Arnaud Montebourg.
Un « fief à l’intérieur du groupe »
Le film revient également sur les ennuis judiciaires outre-Atlantique de l’antenne genevoise de BNP Paribas, ce « fief à l’intérieur du groupe », sur fond d’évasion fiscale. Il s’attarde surtout sur la violation par la banque des embargos américains sur Cuba, l’Iran et le Soudan, en proie à la guerre. La banque ne prend d’abord pas l’affaire au sérieux. « Au cours de l’enquête, BNP Paribas ne s’est pas révélée très coopérative, beaucoup moins que d’autres banques », se souvient le procureur en chef de la division des enquêtes financières, Adam Kaufmann. L’épisode se traduira une amende de près de 9 milliards de dollars (7,8 milliards d’euros) infligée au fleuron bancaire français par les autorités américaines.
Pour les Français qui ne connaissaient de BNP Paribas que l’agence bancaire du coin de la rue, ce film offre une plongée inédite dans les rouages d’une banque qui a toujours cultivé, avec le plus grand soin, le secret de ses affaires.
Source - https://www.youtube.com/watch?v=ga87ESujLnU&ab_channel=MonsterYamaha
Charles Prats s'attaque aux fraudes sociales. Dans un nouveau livre sorti chez Ring, l'ancien magistrat dénonce les abus et les pratiques illégales qui coûtent chaque année une somme faramineuse aux contribuables.
50 milliards d'euros de fraude par an
Selon l'auteur du Cartel des fraudes, "les gens ont pris conscience du problème" que représente la fraude fiscale. "Les dépenses de protection sociale représentent 787 milliards d'euros par an", souligne-t-il, incluant le chômage, les maladies, les retraites et les allocations. Soit "un tiers du PIB", insiste Charles Prats. Mais la France compte un manque à gagner certain : "50 milliards d'euros par an s'évaporent dans la fraude".
"Les voix de la fraude sont très pénétrables dans notre système social", s'amuse à décrire l'auteur qui assure qu'il existe "plein de manières de frauder". Il dénonce le comportement de "certains professionnels de la santé qui sont dans les premiers rangs de la fraude", avec des actes fictifs, comme des arrêts de travail, la fraude aux allocations ou la non déclaration de revenus, énumère Charles Prats.
Créer un vrai organe de contrôle
Même si cela reste "très marginal", il existe des "complicités internes avec les organismes de protection sociale", souligne l'ancien magistrat. "Leur métier est d'aider les gens, payer les prestations. La lutte contre la fraude, c'est un autre métier, on recherche des bandits", explique-t-il regrettant un manque de spécialisation dans le domaine du contrôle.
Charles Prats propose "de sortir la compétence de contrôle des organismes de protection sociale" afin de la transférer sous l'autorité de Bercy "avec des gens pour qui ce serait leur boulot". Car pour l'auteur, ces deux métiers étant très différents, il s'agit de professionnaliser les contrôles et donc de devenir plus efficace.
Source - https://www.sudradio.fr/societe/charles-prats-50-milliards-deuros-par-an-sevaporent-dans-la-fraude/