Résumé pour les physiciens.( que NOUS sommes TOUS)!
Une discussion approfondie du problème du transfert de chaleur planétaire dans le cadre de la physique théorique et de la thermodynamique de l'ingénieur conduit aux résultats suivants.
1. Il n'y a pas de lois physiques communes entre le phénomène de réchauffement dans les serres et l'effet de serre atmosphérique fictif
qui explique des phénomènes physiques pertinents.
Phénomènes physiques concernés. Les termes "effet de serre" et "gaz à effet de serre" sont délibérément erronés.
nommés ainsi, délibérément.
2. Il n'existe aucun calcul permettant de déterminer la température moyenne à la surface d'une planète, -avec ou sans atmosphère.
- avec ou sans rotation,
- avec ou sans gaz absorbant la lumière infrarouge.
La différence fréquemment mentionnée de+ 33 ◦C du à l'effet de serre fictif de l'atmosphère est donc un chiffre vide de sens.
3. Tout bilan radiatif pour le flux moyen de rayonnement n'est absolument pas pertinent pour la détermination
de la température de l'air au niveau du sol et donc de sa valeur moyenne.
4. Les valeurs moyennes de température ne peuvent pas être égales à la racine quatrième des valeurs moyennes
de la quatrième puissance de la température absolue.( le calcul du GIEC EST BOURRÉ D'ERREURS MATHÉMATIQUES DE CE TYPE !!( volontaires ????)
5. Le rayonnement et les flux de chaleur ne déterminent pas les distributions de température et leurs valeurs moyennes.
6. La réémission n'est pas une réflexion et ne peut en aucun cas réchauffer l'air au niveau du sol contre le flux de chaleur réel sans travail mécanique !
7. Les augmentations de température dans les calculs des modèles climatiques sont rendues plausibles:
par un "mobile peruum "du deuxième type. Cela est possible en fixant la conductivité thermique à zéro ( 273°K)dans les modèles atmosphériques; ce qui n'est pas une hypothèse physique. !!!Il ne s'agirait plus,d'un" perpetuum mobile du second type", si le bilan radiatif fictif "moyen",
qui n'a de toute façon aucune justification physique, était abandonné.
étude GUERLISCH And TSCHEUCHNER
Résumé du 1er chapitre.
Les envahisseurs, CES etres etranges ,Venu d'une autre planete, leur destination LA TERRE.
LEUR BUT:en faire leur univers!
Peut etre que nous y sommes Deja ,avec leur :plan ???
Chap introduction , "modélisation climatique ?"
Le compte rendu physique correct d'un éventuel effet radiatif non trivial, qui doit aller bien au-delà de la célèbre approche du corps noir, qui est suggestive mais ne s'applique pas aux gaz. Un examen des questions de chimie et de biologie, comme le cycle du carbone, ne doit pas être négligé. Dans sa critique des études sur le réchauffement climatique au moyen de modèles informatiques, l'éminent physicien théoricien Freeman J. Dyson a déclaré ] : "Les modèles résolvent les équations de la dynamique des fluides, et ils font un très bon travail pour décrire les mouvements des fluides de l'atmosphère et des océans. Ils décrivent très mal les nuages, la poussière, la chimie et la biologie des champs, des fermes et des forêts. Ils ne décrivent pas du tout le monde réel dans lequel nous vivons. Le monde réel est boueux, désordonné et plein de choses que nous ne comprenons pas encore. Il est beaucoup plus facile pour un scientifique de s'asseoir dans un bâtiment climatisé et de faire tourner des modèles informatiques que d'enfiler des vêtements d'hiver et de mesurer ce qui se passe réellement à l'extérieur, dans les marais et les nuages. C'est pourquoi les experts en modèles climatiques finissent par croire en leurs propres modèles." Cependant, on peut montrer que même dans les frontières de la physique théorique avec ou sans rayonnement les choses sont extrêmement complexes de sorte que l'on arrive très vite à un point où l'on ne peut plus faire de prédictions vérifiables. Faire de telles prédictions peut néanmoins être interprété comme une fuite hors du domaine des sciences, pour ne pas dire comme une fraude scientifique. Dans ce qui suit, les lois de conservation de la magnétohydrodynamique sont passées en revue. Il est généralement admis qu'une approche de type Navier-Stokes ou une magnétohydrodynamique simplifiée constitue l'épine dorsale des simulations informatiques climatologiques . Dans ces cadres, les équations du bilan radiatif ne peuvent être dérivées et il n'est pas possible d'intégrer les interactions radiatives de manière cohérente. Par conséquent, il serait conceptuellement nécessaire de passer au régime microscopique, qui est décrit par l'électrodynamique quantique multi-espèces en non-équilibre de particules incorporant des états liés avec des degrés de liberté internes.extrait de la publication de GERLISH And TSCHEUCHNER
2009( TRADUIT, et résumé )