Ils pensaient qu'on ne le découvrirait jamais. Ils avaient tort."2000 Mules", un film documentaire créé par Dinesh D'Souza, expose une fraude électorale généralisée et coordonnée lors des élections de 2020, suffisante pour changer le résultat global. S'appuyant sur des recherches fournies par le groupe d'intégrité électorale True the Vote, "2000 Mules" présente deux types de preuves : le géotracking et la vidéo. Les preuves de géolocalisation, basées sur une base de données de 10 trillions de connexions de téléphones portables, exposent un réseau élaboré d'agents professionnels rémunérés, appelés mules, qui livrent des votes frauduleux et illégaux aux boîtes aux lettres dans les cinq États clés où l'élection a été décidée. Des preuves vidéo, obtenues à partir de caméras de surveillance officielles installées par les États eux-mêmes, confirment les preuves de géolocalisation. Le film se termine par l'exploration de nombreux moyens d'empêcher que la fraude ne se reproduise. ? Traducteurs ?Quadrillage traduction https://t.me/quadrillagetraduction ?Elo traduction https://odysee.com/@Elo ?Quantum Leap Traduction https://t.me/quantumleaptraduction ?Mika ?Quartz traduction https://odysee.com/@Quartz:1 ? Doublage ?Humain souverain https://t.me/humainsouverain ?Motous https://t.me/MOTOUS

Dans la nuit du 19 au 20 mars 2003, grâce à une fausse fiole d'anthrax (https://t.me/kompromatmedia/1900), les Etats-Unis et ses vassaux lançaient l'opération «Iraqi Freedom»: un million de civils morts pour refaçonner le Moyen-Orient, compromettre l'axe Bagdad-Moscou-Paris. Et mettre la main sur le pétrole irakien pour retarder le déclin américain, selon le projet impérial du think tank Project for a new American Century (https://fr.wikipedia.org/wiki/Project_for_the_New_American_Century) (PNAC), opportunément déclenché par les attentats du 11-Septembre. Entre autres, la puissance de la paix américaine a bombardé des zones civiles (https://www.theguardian.com/world/2014/jun/19/us-depleted-uranium-weapons-civilian-areas-iraq) avec des munitions à uranium appauvri hautement cancérogènes, contaminant au moins 300 sites. En 1996, la secrétaire d’Etat Madeleine Albright estimait (https://twitter.com/theserfstv/status/1506706179178725379) que la mort d'un demi-million d'enfants lors de la première guerre en Irak en «valait la peine». Vingt ans après, les conséquences dévastatrices se font toujours sentir. Infrastructures démantelées, crise économique, guerre civile… Nombreuses ont été les conséquences de l’invasion américaine de l'Irak lancée le 20 mars 2003. Si les répercussions sont toujours palpables dans le monde arabe, Washington n’a pas tiré de leçons de ses erreurs, détaillent à Sputnik des experts irakien, iranien et américain. Le 5 février 2003, lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'Onu, le secrétaire d'État américain Colin Powell a exposé les raisons de l'invasion des États-Unis et de leurs alliés en Irak. Présentant un flacon de poudre blanche et se référant à des sources irakiennes anonymes, il a clamé qu'il ne faisait aucun doute que Saddam Hussein avait des armes biologiques de destruction massive. Ces données de renseignement n’ont pourtant jamais été confirmées. Le 20 mars, la coalition menée par les États-Unis a déclenché son invasion, baptisée Liberté irakienne. Le 1er mai 2003, le Président George W.Bush a officiellement déclaré la fin victorieuse des combats. Toutefois, la violence contre les forces de la coalition a rapidement conduit à une guerre civile impliquant plusieurs groupes d'insurgés, des milices, des membres d'Al-Qaïda*, l'armée américaine et les forces du nouveau gouvernement irakien. En fuite, Saddam Hussein a été capturé le 13 décembre. Le nombre de victimes du conflit n'est pas connu avec exactitude et varie selon les études et les estimations de 100.000 à plus d'un million de morts pour la période 2003-2011, tant parmi les combattants que les civils. Les conséquences Les États-Unis se sont servis de ce type d’invasion pour intervenir ensuite dans d’autres pays arabes, avance auprès de Sputnik l’ancien ambassadeur irakien en Grèce Farouk al Fityan. "Si nous regardons la réalité arabe aujourd'hui, nous voyons que le schéma testé en Irak a ensuite été mis en œuvre en Libye, au Soudan et en Syrie. Le monde arabe a été mis dans une situation difficile il y a 20 ans", détaille-t-il. Selon lui, les dirigeants étaient convaincus qu'il n'y aurait pas d'invasion américaine, ils s'attendaient à ce que tout se limite à des frappes aériennes ciblées. Selon le diplomate iranien Musa Alizade-Tabatabai, les conséquences dévastatrices de l’intervention se font sentir même après sa fin: "En tant qu'ambassadeur adjoint d'Iran en Irak [à l’époque], j'ai été témoin du fait que les États-Unis ont détruit toutes les infrastructures de ce pays. Et pour cette raison, aujourd'hui, 20 ans plus tard, malgré l’abondance de pétrole et d'autres ressources naturelles nombreuses, le peuple irakien fait face à de nombreux problèmes pour satisfaire ses besoins de base. Même à Bagdad, les gens souffrent de coupures d'eau et d'électricité pendant plusieurs heures, jour et nuit". Les leçons n’ont pas été tirées Deux décennies après l'invasion, il y a peu de preuves que la classe politique américaine ait appris de ses erreurs, considère Scott Ritter, inspecteur en chef des armes des Nations unies dans le pays de 1991 à 1998. D’après cet ancien militaire américain, la principale raison pour laquelle George Bush a décidé d'intervenir militairement est qu’il craignait que la richesse pétrolière existante de l'Irak ne donne à Saddam Hussein une influence disproportionnée sur les marchés pétroliers mondiaux. Nous nous souvenons des prétextes de la guerre contre l'Irak

Le traité de l'OMS sur les pandémies pourrait dicter TOUS les domaines de la vie 8. Une organisation mondiale qui s'est entrainée à édicter ses règles aux Etats est en passe d'en faire un usage habituel de plus en plus fréquent grâce à la modification de règles de plus en plus intrusives. Selon le nouveau traité mondial de l'OMS sur les pandémies, une pandémie pourrait à l'avenir être déclarée par l'OMS également pour les maladies cardiaques, le cancer, etc. En fin de compte, l'OMS annulerait le pouvoir de décision des gouvernements souverains et donnerait des instructions dans tous les domaines de la vie. Cette émission montre ce que cela pourrait signifier dans la pratique.

Le pouvoir de grosses entreprises telles que Pfizer est démesuré. Les responsables politiques sont devenus des démarcheurs commerciaux privilégiant les intérêts économiques aux intérêts de ses citoyens. Le senateur australien, Gerard Rennick affirme que les gens n'ont pas été informés comme il se doit : "Le guide de la vaccination stipule que les gens doivent être pleinement informés des risques du médicament avant de le prendre. Et bien sûr, ils n'ont pas été pleinement informés du tout. On leur a menti. Le gouvernement et les grandes sociétés pharmaceutiques leur ont menti…Ce vaccin crée une réponse auto-immune"