Le film expose la vie de Napoléon de 1769 à 1821. L'épopée de Napoléon Bonaparte racontée par M. de Talleyrand à ses amis ; sa naissance en Corse, ses études à l'école militaire de Brienne, ses fiançailles à Toulon, son arrivée à Paris, sa rencontre avec Joséphine de Beauharnais.
Henri Serin (Jean-Pierre Marielle), un représentant en parapluies de Saumur, partage sa vie entre son travail, sa famille et sa passion : la peinture, surtout celle de Courbet. Toutefois, Henri s'octroie, durant ses nombreux déplacements professionnels, quelques frasques amoureuses qui le changent du quotidien lassant dans lequel sa femme puritaine (Gisèle Grimm) l'enferme, tandis que son fils et sa fille mènent leurs vies sans lui.
Allociné : 3/5
Sens Critique : 6,3/10
Imdb : 5,6/10
Au plus chaud de l'été, un braqueur américain poursuivi par les forces de l'ordre après avoir cambriolé une banque à Orléans aboutit dans une ferme de la Beauce où il devient l'objet de toutes les très fortes tensions de ce milieu de rustres aussi fermés que violents, y compris les poursuites sexuelles d'une nymphomane.
L'histoire se déroule au début des années 1980, un beau jour ensoleillé vers la fin de l'été, dans un petit hameau du nom de « Malevil » situé dans le sud-ouest de la France. Le facteur et sa Renault R4 siglée PTT vient distribuer le courrier comme chaque matin avant de continuer sa course. Le personnage principal, notable viticulteur réunit dans sa cave, le maire, le pharmacien, plusieurs cultivateurs, commerçants, la très vieille grand-mère et un simple d'esprit. Il faut débattre de l'emplacement d'un lampadaire dans l'une des rues du bourg. Soudain, le petit poste de radio qu'écoute le benêt ne capte plus aucune fréquence. Quelques instants plus tard, une intense et très longue explosion retentit ainsi qu'un violent et éclair, qui irradie sous la porte d'entrée du sous-sol. L'extrême bruit, la chaleur considérable, l'humidité qui suinte des murs et fait bouillir les bouteilles de vin les assomment tous. Sortant peu à peu de leur léthargie sans dire un mot, ils contemplent leur nouvel univers où rien ou presque ne subsiste. Des explosions nucléaires semblent avoir ravagé toute la région, voire tout le pays... Dès lors, ils vont devoir aborder une nouvelle existence faite d'isolement, d'entraide, de recherche de nourriture et de violence.
Raoul a tout essayé pour effacer l'éternel air triste affiché par son épouse, Solange. En vain. Il se dit alors que seul l'amour peut lui redonner le sourire et décide de faire cadeau de la jeune femme à un inconnu, rencontré dans un restaurant. Une fois remis de sa surprise, Stéphane, professeur d'éducation physique dans un petit collège du Nord, finit par accepter ce singulier « présent ». Mais il doit bientôt se rendre à l'évidence : malgré Mozart et les livres de poche, Solange ne se déride pas plus en sa compagnie qu'avec son mari.
Dans l’Italie d’après-guerre, dans le cadre de l'industrialisation accélérée du Nord du pays et de l'émigration intérieure, du sud vers le nord, l’innocence, la naïveté et les traditions méridionales se heurtent à la réalité des temps modernes et de la vie urbaine.
L'arrivée d'une jeune femme, Sharon (Charlotte Rampling), dans un petit village du comté de Clare en Irlande bouleverse le quotidien fait d'amitiés et de silence de Philippe Marchal (Philippe Noiret), qui s'est réfugié dans ce village après la mort de son fils, et de Jerry (Edward Albert), frère de Sharon, cadet d'une famille de milliardaires, exilé en Irlande par sa famille à la suite d'une sombre histoire. Dans ce pays sauvage, tout semble se dérouler paisiblement sauf quand surgit Taubelman (Peter Ustinov), personnage fantasque semblant connaître tout sur tout le monde, accompagné de sa ravissante et muette fille Anne (Agostina Belli) dont Jerry ne va pas tarder à tomber fou amoureux.
Allociné : 3,9/5
Sens Critique : 7,4/10
Imdb : 7,2/10
François Perrin est ailier dans l'équipe réserve de la ville de Trincamp, où tout est football. Lors d'un entraînement il bouscule, de façon réglementaire, Berthier, le joueur vedette du club, qui tombe. Bien que Berthier n'ait rien, cet incident vaut à Perrin l'exclusion d'abord de l'équipe, puis de l'usine, dont le patron Sivardière est aussi le président du club. Puis, essayant tant bien que mal de gagner sa vie par des petits boulots, il est viré du bistro « Le Pénalty », où il a ses habitudes, par le patron Berri, après avoir été provoqué par Berthier.
1837. Elisabeth a accepté secrètement de porter l'enfant de l'aristocrate anglais Charles Godwin, en échange du rachat des dettes de son père. 7 ans plus tard, hantée par le souvenir de cet enfant abandonné et déchirée par son instinct maternel, elle rompt la promesse faite de ne jamais revoir sa fille, et se fait engager comme sa gouvernante...
Toine est ouvrier et valet de ferme. De plus, il est bossu et cette infirmité lui pèse car il aime en secret la belle Naïs. Celle-ci est la fille unique du père Micoulin, le métayer de la famille Rostand, pour qui il travaille.