Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, un grand nombre de décisions ont été prises, pour donner suite aux promesses de la campagne présidentielle ou bien, plus souvent, pour réagir à une actualité économique, sociale ou sanitaire brûlante. En économiste et citoyen attentif, Rémy Prud’homme a rédigé au jour le jour, tout au long des trois dernières années, de brèves analyses au sujet des nombreuses mesures qu’il a estimées surprenantes, infondées ou carrément absurdes. Toujours étayés par des sources chiffrées incontestables, ses billets en forme de miniatures sont autant de petits cailloux qui marquent les erreurs et autres partis pris qui ont trop souvent émaillé le chemin de ce quinquennat.
25 mars 2022
En direct #11
Avec @Persk1760
8 heures (Québec)
14 heures (France)
Véritable direct très enrichissant dans un mélange d'histoire et d'actualité pour des échanges philosophiques et de connaissance.
Persk fait partie des derniers qui a des interactions dans le clavardage en direct.
Un moment relaxe et sans prise de tête dans un esprit de réflexion collective.
Pour tous ceux qui aiment les vrais directs, n'oublier pas les rendez-vous du vendredi.
Avançons tous ensemble pour la compréhension actuels et les solutions futures.
Merci a @Persk1760 pour tout ses directs
P.S: Abonnez-vous sur son canal pour rester informé.
Une parties du plan mondialiste, celui du pompier pyromane.
Deux juristes explorent les implications sécuritaires et politiques des nouvelles technologies révolutionnaires, des drones aux imprimantes 3D, et expliquent comment les gouvernements doivent s'adapter à notre nouveau monde courageux de menaces dispersées.
De la guerre des drones au Moyen-Orient à l'espionnage numérique par la National Security Agency, le gouvernement américain a exploité la puissance de la technologie de pointe avec un effet impressionnant. Mais que se passe-t-il lorsque les gens ordinaires ont les mêmes outils à portée de main ? Les progrès de la cybertechnologie, de la biotechnologie et de la robotique signifient que plus de personnes que jamais auparavant ont accès à des technologies potentiellement dangereuses - des drones aux réseaux informatiques et aux agents biologiques - qui pourraient être utilisées pour attaquer les États et les particuliers.
Dans L'avenir de la violence, les experts en droit et en sécurité Benjamin Wittes et Gabriella Blum détaillent la myriade de possibilités, les défis et les risques énormes présents dans le monde moderne, et affirment que si nos gouvernements nationaux ne peuvent plus nous protéger de manière adéquate, ils perdront leur légitimité. Par conséquent, les gouvernements, les entreprises et les citoyens doivent repenser leurs efforts de sécurité pour protéger les vies et la liberté. Dans ce nouveau monde courageux où de nombreux petits frères sont aussi menaçants que n'importe quel grand frère, la sauvegarde de notre liberté et de notre vie privée peut nécessiter une surveillance et des contrôles réglementaires nationaux et internationaux solides. Maintenir la sécurité dans ce monde où n'importe qui peut attaquer n'importe qui nécessite une perspective globale, avec plus de forces multinationales et une plus grande action pour protéger (et se protéger contre) les États les plus faibles qui n'ont pas encore la capacité de contrôler leur propre population.
L'avenir de la violence est à la fois une introduction à notre monde émergent - un monde dans lequel les étudiants peuvent imprimer des armes à feu avec des imprimantes 3D et les manipulations de virus par les scientifiques peuvent être recréées et déclenchées par des gens ordinaires - et un plan faisant autorité sur la façon dont le gouvernement doit s'adapter pour survivre et nous protéger.
FMI, RESERVE FEDERAL, BANQUE CENTRALE, DEMOCRATIE, GOUVERNEMENT, SERVICE PUBLIQUE, DIRIGEANTS, FISC
COMMENT FRACASSER CHAQUE AGENCE BUREAUCRATIQUE CONFISCATOIRE DE MONNAIE CONNU A CE JOUR
Ce sont les peuples qui produisent tous les biens et services mis sur le marché, or sans ces biens et services, la monnaie n’aurait aucune raison d’être, donc aucune valeur. Ce sont donc les peuples qui font la valeur de la monnaie. Celle-ci n’apparaît pas spontanément dans la nature, comme les biens et services, elle est la création de l’homme. Le droit à la création de la monnaie appartient donc au peuples puisqu’ils en font la valeur.
Pourtant ce droit de création monétaire a été retiré aux peuples pour être confié aux banques auprès desquelles ils doivent s’endetter pour disposer de la monnaie nécessaire à l’échange de leur propre travail et production. Ainsi l’humanité est assise sur une montagne de dettes artificielles dont les conséquences sont dramatiques : diminution générale du pouvoir d’achat, extension de la pauvreté, et misère absolue pour une majeur partie de la population terrestre.
Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’état (et c’est pareil dans les autre pays européens) s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc l’état, c'est-à-dire nous tous, s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêt, et cela rend évidament tout beaucoup plus cher.
On ne l’a pas dit clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la banque centrale, ce n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104 disait : « les états ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissement publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait une révolution.
Ce holde-heupe scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an, et nous ru ine année aprè année. Ce sujet devrait être au cœur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.
Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le péché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils en créeront suffisamment pour la racheter. Otez leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes disparaîtront, et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage, laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.
Lisez Bankster... lisez... lisez... lisez encore…et réveillez vous enfin !
Dans Histoire du Siècle à venir, Philippe Fabry mettait au jour une méthode de comparaison historique basée non pas sur des similarités ponctuelles, comme les commentateurs de l'actualité en usent souvent, mais sur des trajectoires longues offrant plusieurs points de contrôle et permettant une prévision plus fiable. Aujourd'hui, dans l'Atlas des guerres à venir, il applique cette méthode à la situation géopolitique mondiale afin de rechercher les lignes de force des grands conflits à venir, et utilise les schémas historiques pour déterminer quelles seront les zones affectées, dans quelle ampleur et selon quelles modalités. A travers une cinquantaine de cartes amplement commentées sont ici illustrés les parallèles historiques et projetés leurs résultats appliqués au monde d'aujourd'hui pour les trois grandes régions qui seront touchées par les guerres à venir : l'Europe, l'Asie et le Moyen Orient. Une dernière partie est consacrée au rôle central des Etats-Unis dans l'ensemble de ces conflits à venir et à la position américaine dans l'ordre mondial qui en résultera. Dans un monde dont l'avenir paraît de plus en plus incertain à mesure que l'ordre mondial américain post-URSS s'estompe et laisse émerger de fortes tensions régionales, l'Atlas des guerres à venir vient éclaircir notre vision en présentant le champ restreint des possibles.
Les Gouvernements savent la vérité sur COVID-19 depuis le 26 mars 2020 sur un rapport de John P IOANNIDIS.
Les Gouvernements ne sont plus dans l'ignorance, ils sont responsable.