1959 - La Bête à l'affût - par Pierre Chenal, avec Françoise Arnoul, Henri Vidal, Michel Piccoli, Gaby Sylvia, Agnès Laury, Jean Brochard (852x480)
Melun, 1959. Au retour d’une vente aux enchères, une jeune et jolie veuve, Elisabeth Vernon, trouve chez elle un évadé de prison blessé. Le fugitif, Daniel Morane, est beau garçon et se justifie des crimes dont on l’accuse. La jeune femme se laisse convaincre, séduire, s'apitoie, et accepte de l’aider. Mais lors de leur cavale, le doute s’empare d’elle…
Fiche technique : Titre : La Bête à l'affût Réalisation : Pierre Chenal, assisté de Tony Aboyantz et Jean Léon Scénario : Rodolphe-Maurice Arlaud, Michel Audiard, Pierre Chenal et André Tabet, d'après le roman Forests of the Night de Day Keene Dialogues : Michel Audiard et André Tabet Décors : René Petit Photographie : Christian Matras Montage : Suzanne Rondeau Son : Antoine Petitjean Musique : Maurice Jarre Cadreur : Gilbert Chain Producteurs : Nino Constantini et Ray Ventura Sociétés de productions Le Trident, Hoche Productions, U.C.I.L., et Films Odéon. Directeur de production : Christian Stengel Distributeur : Coronis Tournage : du 20 janvier au 6 mars 1959 Pays d'origine : France Pellicule : Noir et blanc - 35 mm Genre : Thriller; Policier Durée : 95 min Date de sortie : France - 17 juin 1959
Distribution : Françoise Arnoul : Élisabeth Vermont Henri Vidal : Daniel Morane Michel Piccoli : le commissaire Jacques Guimard Gaby Sylvia : Gilberte Agnès Laury : Agnès Le Guen Jean Brochard : le commissaire François Madeleine Barbulée : Maria Lucien Barjon : Fernand Albert Dinan : Yves Le Guen Pierre Sergeol : l'inspecteur Beauvais Jack Ary : un inspecteur Georges Douking : le gardien du phare Philippe Mareuil : Alain de Bauvoir Harry-Max : Me Doucet, le notaire Gabriel Gobin : l'hôtelier Jacques Marin : Lesquet Philippe Dumat Nicole Hanriot Ariane Lancell Hubert de Lapparent : un mondain Jacqueline Marbaux Paul Mercey : un mondain Colette Régis Jean-François Rémi : le prétendant offrant la cave à liqueurs Georges Spanelly
Le commissaire Maigret revient à Saint-Fiacre1, village où il a passé son enfance, à l'invitation de la comtesse de Saint-Fiacre.
Celle-ci connaît le « petit Jules » devenu commissaire, car le père de Maigret fut régisseur du domaine du château des Saint-Fiacre. La comtesse a reçu une lettre anonyme lui annonçant sa mort le mercredi des Cendres (premier jour du Carême).
Le lendemain, Maigret la retrouve morte à l'église, victime d'une crise cardiaque, le commissaire est convaincu que cette crise cardiaque n'est pas due au hasard et commence son enquête...
Fiche technique :
Réalisation : Jean Delannoy
Scénario : D'après le roman L'Affaire Saint-Fiacre de Georges Simenon, Editions Librairie Arthème Fayard, Paris, 1932, 251 p.
Adaptation : Jean Delannoy et Rodolphe-Maurice Arlaud
Dialogues : Michel Audiard
Assistants réalisateur : Pierre Zimmer et Joseph Drimal
Directeur de la photographie : Louis Page
Opérateur : Henri Tiquet, assisté de Marc Champion
Son : Jacques Carrère
Décors : René Renoux, assisté de Jacques d'Ovidio et Pierre Tyberghein
Montage : Henri Taverna, assisté de Ginou Bretoneiche
Musique : Jean Prodromidès
Script-girl : Claude Vériat
Maquillage : Marcel Bordenave
Régisseur général : Éric Geiger
Régisseurs d'extérieur : Roger Joint et Louis Seuret
Photographe de plateau : Marcel Dole
Production : Filmsonor, Intermondia Films, Cinétel (Paris), Titanus, Pretoria Film (Rome)
Directeur de production : Claude Hauser
Producteurs : Jean-Paul Guibert, Robert Gascuel, Georges Lourau, Goffredo Lombardo
Distribution : Cinédis
Tournage : du 18 février au 15 avril 1959
Lieux de tournage : intérieurs dans les Studios Eclair (Paris) ; extérieurs au Château de Courquetaine (77), à Gaillon-sur-Montcient (78) pour l'église, l'épicerie et le village, à Vaux-sur-Seine (78) pour la scène de la gare, Grand café de Moulins reconstitué en studio.
Tirage : Laboratoire Eclair - Société Optiphone - Enregistrement Western Electric - Magnétique Pyral
Format : Pellicule 35 mm - 1,65 - Noir et blanc - son mono
Durée : 97 min
Première présentation : 2 septembre 1959
Visa d'exploitation: 21.742
Distribution :
Jean Gabin : le commissaire divisionnaire Jules Maigret
Michel Auclair : Maurice de Saint-Fiacre, le fils
Valentine Tessier : la comtesse de Saint-Fiacre
Robert Hirsch : Lucien Sabatier, le secrétaire
Paul Frankeur : le docteur Bouchardon
Michel Vitold : l'abbé Jodet, curé de Saint-Fiacre
Camille Guérini : Gautier, le régisseur de la comtesse
Serge Rousseau : Émile Gautier, le fils du régisseur
Micheline Luccioni : Arlette, l'entraîneuse
Jacques Morel : Maître Mauléon, l'avocat de Lucien
Gabrielle Fontan : Marie Tatin, l'épicière
Jean-Pierre Granval : le journaliste
Armande Navarre : Myriam, l'amie de Lucien
Jacques Marin : Albert, le chauffeur de la comtesse
Hélène Tossy : Adèle Gautier, la femme du régisseur
Jacques Hilling : le garçon de café bavard
Marcel Pérès : le sacristain
Christian Rauth : l'enfant de chœur Ernest Bouffard
Bruno Balp : le livreur de journaux
Andrée Tainsy : la patronne de la boîte « Hula-Hoop »
Évelyne Istria : la bonne du château
Laure Paillette : la bonne de l'abbé
Georgette Peyron : la dame du vestiaire
Henri Coutet : un client de l'épicerie
René Hell : un typographe
Marcel Bernier : un inspecteur
Robert Balpo : le directeur de la banque
Yvon Sarray : un homme aux condoléances
Christian Brocard : un journaliste
Guy Henry : un inspecteur
Charles Bouillaud
Jeune aristocrate qui fête ses seize ans le 14 juillet 1789, Caroline de Bièvre vit péniblement la Révolution tout en cherchant à retrouver son premier amour : Gaston de Sallanches. Ballottée de droite et de gauche, chez les blancs et chez les bleus, Caroline doit souvent la vie à son physique avenant et à sa volupté naturelle.
Fiche technique :
Réalisation : Richard Pottier
Scénario : D’après le roman éponyme de Cécil Saint-Laurent
Adaptation et dialogues : Jean Anouilh, Michel Audiard
Assistant réalisateur : Jean Valère
Images : Maurice Barry
Son : René-Christian Forget
Musique : Georges Auric
Montage : Jean Feyte
Décors : Jacques Krauss
Costumes : Marie Ange Schlicklin1
Production : Cinéphonic, Société nouvelle des établissements Gaumont
Directeur de production : Paul Cadéac
Durée : 140 min
Pellicule 35 mm, noir et blanc
Genre : Comédie dramatique
Première présentation le 07/08/1950
Distribution :
Martine Carol : Caroline de Bièvre
Jacques Dacqmine : Gaston de Sallanches
Marie Déa : Mme de Coigny
Raymond Souplex : Le docteur Belhomme
Jacques Clancy : Georges Berthier
Pierre Cressoy : Pont-Bellanger
Paul Bernard : De Boimussy
Jacques Bernard : Henri de Bièvre
Nadine Alari : Charlotte Berthier
Germaine Kerjean : La Chabannes
Madeleine Barbulée : Mlle de Tourville
Yvonne de Bray : La duchesse de Bussez
Alfred Adam : Jules, le postillon
Jane Marken : Cathy, la nourrice
Jacques Dufilho : Le valet de Pont-Bellanger
Jacques Varennes: Le marquis de Bièvre
Colette Régis : La marquise de Bièvre
Danièle Seller : Louise de Bièvre
Sophie Leclair : Marie-Anne de Forbin
Claire Olivier : La chanoinesse
Jacques Baumer : Le noble chez Belhomme
Robert Hommet : Charmeil
Olivier Hussenot : Un commissaire
Robert Seller : Un commissaire
Marcelle Praince : La citoyenne Bouchon
Germaine Reuver : La citoyenne Poilu
Catherine Fonteney : La vieille belle
Henri Niel : Van Krift
René Hell : Le cocher
Georges Paulais : Le domestique chez Coigny
Alexandre Mihalesco : L'aubergiste
Hubert Noël : Un ami de Gaston
Zélie Yzelle : Une voyageuse du coche
Geneviève Morel : Une voyageuse du coche
Jacques de Féraudy : Un aristocrate blessé
Julienne Paroli : Une voisine de Cathy
Pierre Duncan : Un voisin de Cathy
Solange Guibert : Une prisonnière
Paule Emmanuèle : Une prisonnière
Jacky Blanchot : Un chouan
Christian Fourcade : P'tit Louis, le gamin
Jean Debucourt : La voix narrateur
Nadine Tallier : La doublure de Martine Carol
Georges Geret : Un gardien de la Conciergerie
Chaumel : Le maréchal-ferrant
Léon Berton
Pierre Cadot
Jack Claret
Yvonne Dany
Bernard Farrel
Claude Le Lorrain
René Marjac
Louis de Nalair
Joëlle Robin
Brigitte Bargès
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Pour la scène de nu, Martine Carol fut doublée par Nadine de Rothschild, veuve du baron Edmond de Rothschild.
Léon Dutilleul, petit fonctionnaire de bureau encadré par une hiérarchie moraliste et dirigiste, se découvre un jour la capacité de passer à travers les murs. Immédiatement, il en avertit son ami le piètre artiste-peintre Gen-Paul. Celui-ci lui donne des idées pour en profiter, par exemple jouer quelques mauvais tours à ses supérieurs hiérarchiques, faire quelques petites farces à des inconnus, ou profiter de l'occasion pour un peu de voyeurisme dans le magasin de mode d'à côté. Mais le hasard de la vie lui fait découvrir une « lady », Susan, anglaise, en réalité souris d'hôtel qui fait équipe avec Maurice, portier du même palace, pour des fric-fracs nocturnes dans les chambres de l'hôtel. Malgré les appels à la prudence de son fidèle ami, Léon veut la remettre dans le droit chemin en lui faisant la morale, mais il est si amoureux qu'il est tenté aussi de la séduire, attirer l'intérêt de la belle pour lui, et pour cela il va lui-même se faire passer pour un grand aventurier, grand voleur sous le nom de Garou-Garou. Les occasions de jouer de son don vont alors se multiplier.
Fiche technique :
Titre : Garou-Garou « Le Passe-Muraille »
Réalisation : Jean Boyer, assisté de Jean Bastia, Gérard Ducaux-Rupp
Scénario : d'après la nouvelle Le Passe-muraille de Marcel Aymé
Adaptation : Jean Boyer, Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Décors : Robert Giordani, Jean Mandaroux et Jean Taillandier
Photographie : Charles Suin
Son : Tony Leenhardt
Montage : Fanchette Mazin
Musique : Georges Van Parys
Régisseur : André Guillot
Doublure lumière Joan Greenwood : Anne Marilo
Tournage du 4 septembre au 20 novembre 1950, dans les studios « Franstudio » de Saint-Maurice
Sociétés de production : Cité Films, Silver Films, Fidès
Chef de production : Jacques Bar, Arthur Sachson
Production associée : Robert Dorfmann
Société de distribution : Corona
Pays : France
Format : Noir et blanc - 1,37:1 - 35 mm - Son mono
Durée : 90 minutes
Genre : Comédie fantastique
Dates de sortie :
France - 22 mars 1951 - 4 avril 1951 à Paris
Visa ministériel N° 10401
Distribution :
Bourvil : Léon Dutilleul, petit fonctionnaire
Joan Greenwood : Lady Brockson dite Susan
Raymond Souplex : Gen-Paul, l'artiste peintre
Marcelle Arnold : Germaine, la sœur de Léon
Jacques Erwin : Gaston, le beau-frère de Léon
Gérard Oury : Maurice, le complice de Susan
Henri Crémieux : Gustave Lécuyer
Georges Lannes : le directeur de la prison
Roger Tréville : Félix Burdin
Frédéric O'Brady : le médecin spécialiste
René Worms : un employé du ministère
Nina Myral : Madame Héloïse
André Dalibert : un employé du ministère
Nicole Riche : La dame qui s'habille
Germaine Reuver : Madame Ménard, la concierge
Jeanne Véniat : la sud-américaine
Georges Flateau : Monsieur Robert
Edmond Beauchamp : Arturo, le sud-américain
Non Crédités :
Nicolas Amato : un gardien de prison (non crédité)
Georgette Anys : Maria, la bonne du directeur (non créditée)
Claude Barbé : le groom (non crédité)
Maurice Biraud : un employé du ministère (non crédité)
Jacky Blanchot : le gardien qui reçoit les coups de pied au derrière à travers le mur (non crédité)
Gérard Buhr : un vendeur de journaux (non crédité)
Raymond Carl : le collègue de travail de Léon
Marcel Charvey : le barman (non crédité)
Dominique Davray : un mannequin du magasin (non créditée)
Fignolita : la femme noire surprise dans son lit (non créditée)
Franck Maurice : un gardien de prison (non crédité)
Marcel Méral : un employé du ministère (non crédité)
Laure Paillette : une dame dans la file d'attente (sous réserve de confirmation) (non créditée)
Titys : le détenu de la prison (non crédité)
Paméla Wilde : Un mannequin du magasin (non créditée)
Film français réalisé par Guy Lefranc en 1951 qui fut le dernier avec Louis Jouvet, qui décèdera quelques jours après la fin du tournage.
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Deux jeunes gens, Catherine Mareuil et Jean Bompart, sont retrouvés morts dans un terrain vague. L'inspecteur Plonche s'informe. Le père du jeune homme, sculpteur, de condition modeste, lui révèle qu'ils devaient se marier bientôt. Plonche poursuit son enquête et interroge les parents de la jeune fille, de riches industriels. La vérité apparaît enfin. Les Mareuil ont tout fait pour empêcher leur fille d'épouser ce jeune homme qu'ils jugeaient sans avenir. Les jeunes gens effrayés ont préféré se suicider plutôt que d'être séparés. Plonche dit son mépris aux Mareuil convoqués au Quai des Orfèvres.
Fiche technique :
Réalisation : Guy Lefranc
Scénario, Adaptation et Dialogue : Michel Audiard
Assistants réalisateur : Maurice Delbez, Michel Monbailly
Décors : Robert Clavel, assisté de André Bakst et Jacques Douy
Photographie : Louis Page
Opérateur : André Dumaître, assisté de Jacques Duhamel et Marc Champin
Musique : Paul Misraki (Éditions Impéria)
Son : Paul Boistelle
Montage : Monique Kirsanoff, assisté de Raymonde Delor
Script-girl : Nicole Besnard
Tournage du 11 juin au 31 juillet 1951 dans les studios de Boulogne
Production : Jacques Roitfeld, Jacques Bar, Cité Film (France)
Directeur de production : Wladimir Rotfeld
Distribution : Victory Film
Visa d'exploitation : 11543
Durée : 90 min
Genre : Drame psychologique, policier
Première présentation le
France - 14 novembre 1951
Distribution :
Louis Jouvet : L'inspecteur Ernest Plonche
Dany Robin : Catherine Mareuil, la fille
Yolande Laffon : Mme Mareuil, la mère
Daniel Gélin : Jean Bompart, le fils
Georges Chamarat : Mr Auguste Bompart, le père
Marcel Herrand : Mr Charles Mareuil, le père, industriel
Marius David : Le brigadier
Renée Passeur : Léa, la compagne d'Auguste
Catherine Erard : Odile, une amie de Catherine
Palmyre Levasseur : La voyante
Madeleine Lambert : Une invitée
Colette Régis : Une invitée
Blanche Denège : Une invitée
Madeleine Gérôme : Une invitée
Germaine Stainval : Une invitée
Pierre-Jacques Moncorbier : Le domestique
Jean Sylvain : Le père au buffet
Robert Le Béal : Un inspecteur
Paul Barge : Le commissaire divisionnaire Constant
Daniel Ceccaldi : Le militaire qui tire mal
Malka Ribowska : Une amie de catherine
René de Obaldia : Le planton de la P.J.
Michel Nastorg : Un invité
Pierre Duncan : Un forain
Jean Pommier
Guy Henry
René Pascal
Pierre Ferval
Gaston Garchery
Marcel Portier
Claude Achard
Catherine Arley
Micheline Rolla
Egalement disponible (en480) ici : https://odysee.com/@LouisDeFunes:5/Ma-femme-est-formidable-1951:d
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Sculpteur, Raymond Corbier a une femme formidable, Sylvia, qu'il adore. Pour sauver un admirateur passionné qui simule un suicide parce qu'elle ne répond pas à ses avances, Sylvia, épouse irréprochable, est obligée de mentir pour la première fois à Raymond. Ce petit mensonge va mettre en grand danger leur bonheur. Convaincu que Sylvia le trompe avec Francis Germain, Raymond se déclare fou amoureux de Marguerite, la très infidèle épouse de son meilleur ami Gaston Rival. De nombreuses épreuves comiques vont surgir pour le quatuor, qui se retrouvera dans une station de sports d'hiver. Lors d'un bal masqué, Raymond et Sylvia se réconcilieront tendrement alors que Gaston comprendra son infortune.
Fiche technique :
Titre original : Ma femme est formidable
Réalisation : André Hunebelle
Assistants : Jacques Garcia et Jean Bacqué
Scénario : Jean Halain et Michel Audiard (non crédité)
Décors : Lucien Carré, assisté de Sydney Bettex et Jean Galland
Costumes : Mireille Leydet, robes de Pierre Balmain
Photographie : Paul Cotteret
Opérateur : Robert Schneider, assisté de Roger Ledru, Guy Suzuki
Son : René-Christian Forget
Musique : Jean Marion - Chansons : Jean Halain
Montage : Jean Feyte, assisté de Jacqueline Givord
Maquillage : Marcel Rey, Odette Carouge
Photographe de plateau : Guy André
Script-girl : Madeleine Lefèvre
Régisseur général : Roger Boulais, assisté de Jean Piette
Administrateur : René Thévenet
Ensemblier : Roger Bar
Tournage du 14 février au 14 avril 1951 dans les studios Franstudio de Saint-Maurice
Tirage : Laboratoire G.T.C de Saint-Maurice
Production : André Hunebelle
Directeur de production : Paul Cadéac
Secrétaire de production : Charlotte Choquert
Sociétés de production : Production Artistique et Cinématographique, Pathé Cinéma
Société de distribution : Pathé Consortium Cinéma
Pays d’origine : France
Langue originale : français
Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Système sonore Western Electric)
Genre : Comédie
Durée : 92 minutes
Date de sortie : France - 5 décembre 1951
Visa d'exploitation : 10904
Distribution :
Fernand Gravey : Raymond Corbier, sculpteur et mari de Sylvia
Sophie Desmarets : Sylvia Corbier, la femme de Raymond
Simone Valère : Marguerite Rival, la femme de Gaston
Alfred Adam : le docteur Gaston Rival, dentiste et mari de Marguerite
Suzanne Dehelly : la mère de Sylvia
Jacques Dynam : Francis Germain, le trompettiste
Pauline Carton : la concierge
Louis de Funès : le skieur qui cherche une chambre d'hôtel (filmographie ici : https://odysee.com/@LouisDeFunes:5)
Alan Adair : Mr Hartley, l'Anglais
Pierre Destailles : le portier de l'hôtel
Noël Roquevert : le directeur de l'hôtel
Max Dalban : un déménageur
Paul Demange : un déménageur
Paul Faivre : le chauffeur de taxi
Anne-Marie Duvernay : l'infirmière
Nicole Jonesco : Henriette, la bonne des Rival
André Gabriello : lui-même cherchant Maurice Escande
Raymond Rouleau : lui-même recevant une gifle de Sylvia
Paul Meurisse : lui-même chez le dentiste
Yves Vincent : lui-même en trompettiste
Charles Bouillaud : le chef de réception de l'hôtel
Louis Bugette : le clochard
Claude Garbe : la jeune mère
Jean-Paul Moulinot : le docteur voisin de Raymond
Gaston Orbal : un déménageur
Andrée Tainsy : la femme de ménage
Paul Ville : le concierge
Gianni Esposito : le barman de l'hôtel
Jack Ary : un pensionnaire de l'hôtel
Bernard Lajarrige : lui-même jouant à la belote
Harry Max : le veilleur de nuit de l'hôtel
Henri Niel : le garçon de la boîte de nuit
Charles Bayard : un joueur d'échecs
Henri Cote
Claude Beauclair
Yannick Muller
Claude Le Lorrain
Le perroquet "Tino"
Récompenses :
Grand prix du meilleur film français 1951
Grand prix de la meilleure interprétation féminine pour Sophie Desmarets
Grand prix de la meilleure interprétation masculine pour Fernand Gravey
Enième adaptation du roman de Dumas où l'on retrouve d'Artagnan et ses amis favorisant les amours d'Anne d'Autriche et du duc de Buckingham, encourant le courroux du Cardinal, s'exposant à la froide cruauté de Milady de Winter. On y retrouve aussi la tendre Mme Bonacieux, l'inénarrable Planchet, les ferrets de la reine et le bourreau de Bethune sur fond d'épées cliquetantes.
Fiche technique :
Titre : Les 3 Mousquetaires
Réalisation : André Hunebelle
Assistants : Jacques Garcia, Bernard Toublanc-Michel
Scénario : Michel Audiard d'après le roman homonyme d'Alexandre Dumas Père
Décors : Lucien Carré, assisté de Sydney Bettex, François Sune
Costumes : Mireille Leydet
Coiffures : Odette Rey
Photographie : Marcel Grignon
Caméraman : Billy Villerbue
Son : René-Christian Forget
Montage : Jean Feyte
Musique : Jean Marion et Costantino Ferri1
Effets spéciaux : Nicolas Wilcke
Maquillage : Marcel Rey, Georges Bourban, Hagop Arakelian
Photographe de plateau : Henri Thibault
Maître d'armes : André Gardère
Maître écuyer : François Nadal
Maître d'armes : Claude Carliez
Script-girl : Madeleine Lefèvre
Régisseur : René Boulais
Tournage aux studios de Saint-Maurice et au château de Fontainebleau entre avril et juillet 1953
Production : André Hunebelle, Adrien Remaugé, Pierre Cabaud, Charles Delac
Production étrangère : Goffredo Lombardo, Silvio Clementelli
Directeur de production : Paul Cadéac
Sociétés de production :
Production Artistique et Cinématographique, Pathé Films, Société Générale de Cinématographie
Titanus Produzione
Société de distribution : Pathé Consortium Cinéma
Pays d'origine : France, Italie
Langue originale : français
Format : Couleurs, par Gevacolor — 35 mm - 1,37:1 (Procédé sphérique) - son Mono
Genre : Film de cape et d'épée
Durée : 116 minutes
Dates de sortie : France : 7 octobre 1953 ; Italie : 8 décembre 1953
Distribution :
Georges Marchal : D'Artagnan
Bourvil : Planchet, valet de D'Artagnan
Yvonne Sanson (VF : Hélène Tossy) : Milady de Winter
Gino Cervi (VF : Pierre Morin) : Porthos
Claude Dauphin : le narrateur Alexandre Dumas
Danielle Godet : Constance Bonacieux
Jean Parédès : le comte de Wardes
Louis Arbessier : le roi Louis XIII
Georges Chamarat : M. Bonacieux
Paul Demange : l'aubergiste de Beauvais
Jean Martinelli : Athos
Renaud Mary : le cardinal de Richelieu
Jean-Marie Robain : La Chenais, serviteur du Roi
Marie Sabouret : la reine Anne d'Autriche
Jean-Marc Tennberg : le comte de Rochefort
Félix Oudart : M. de Tréville
Jacques François : Aramis
Steve Barclay : le duc de Buckingham
Charles Bouillaud : l'aubergiste de Calais
Christian Bertola
Raoul Billerey
Alain Bouvette : Lubin, valet du comte de Wardes
Paul Clérouc : le valet de Milady/Kitty
Danielle Dumont : Annette, la servante de Meung
Anne-Marie Duverney : la servante de Milady/Kitty
Lucien Frégis : un aubergiste
Nicole Guezel : une servante
D. Herquin
Lucienne Legrand : Mme de Sannois
Jacques Legras : un garde de Rochefort
Geneviève Morel : la marchande de volaille
Gaston Orbal : M. de Soisson
Françoise Prévost : Ketty, dame de compagnie de Milady
Jean Poiret : un garde du cardinal
Marcel Perès : le geôlier
Édouard Rousseau
Roger Saget : un aubergiste
Michel Vadet
A. Vitrac
C. Verneuil
André Wasley : le capitaine
Non Crédités :
Nicole Gamma : une servante
Florence Arnaud : une dame de la cour
Bernard Musson : un laquais
Louis Velle : un garde du cardinal assommé
Nicole Guézel : une servante
Raphaël Patorni
Marcel Rouzé
Ivan Govar
Jean Sylvère
Autour du film :
Première rencontre entre le réalisateur Hunebelle et l'acteur Bourvil qui aura une suite par trois fois avec Cadet Rousselle (1954), Le Bossu (1959) et Le Capitan (1960). Quatre films de cape et d'épée qui favoriseront grandement la popularité de l'acteur.
Michel Audiard par la bouche de Planchet (joué par Bourvil) :
Il faudrait une révolution
On devrait fonder un syndicat des gens de maison.
Réception critique
Samuel Douhaire dans le journal Libération juge cette adaptation des Trois Mousquetaires « inepte ». Et dans le domaine, il s'y connaît, le gars. Libération, quand même.
Sous l'occupation allemande, Jeanne Moncatel, jolie mais complexée, doit supporter sa mère, vieille acariâtre, qui lui répète sans cesse qu'elle est laide, ce qu'elle croit aussi. Elle recueille dans leur maison Pierre Ségur qui fuyait les Allemands et a eu les yeux brûlés. Sa vie en sera bouleversée.
Fiche technique :
Titre : Les Yeux de l'amour
Réalisation : Denys de La Patellière
Assistant : Pierre Granier-Deferre
Scénario : Denys de La Patellière et Roland Laudenbach d'après le roman Une Histoire Vraie de Jacques Antoine
Dialogues : Michel Audiard
Décors : Paul-Louis Boutié
Costumes : Paulette Coquatrix
Photographie : Pierre Petit
Montage : Georges Alépée
Musique : Maurice Thiriet
Son : Raymond Gauguier
Producteurs : Jacques Bernard-Levy, Louis Bernard-Levy et Bertrand Javal
Société de production : Films Pomereu, Boréal Films, Serena Films
Société de distribution : Pathé-Consortium-Cinéma
Pays de production d'origine : France France/ Italie
Format : Noir et blanc - Son : mono
Genre : Drame
Durée : 100 minutes (1 h 40)
Date de sortie :
France : 25 novembre 1959 (Paris)
Distribution :
Danielle Darrieux : Jeanne Montcatel
Jean-Claude Brialy : Pierre Ségur
Françoise Rosay : Mme Montcatel mère
Bernard Blier : docteur Andrieux
Eva Damien : Denise
Louis Seigner : Lemaître
André Reybaz : le curé
Pierre Vernier : ?
Dominique Zardi : un homme sur le quai de la gare
Suzanne Nivette : ?
Egalement disponible (en 1792x1080) ici : https://odysee.com/@JeanLefebvreFan!:1/1965-Quand-passent-les-faisans-1080:5
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Arsène Baudu, escroc à la petite semaine, rencontre par hasard Hyacinthe Camus, ancien policier, et le convertit aux arcanes de l'arnaque. Au cours de leur pérégrinations ils rencontrent Alexandre Larsan-Bellac, escroc d'un tout autre niveau. À eux trois, ils montent une arnaque en faisant croire à un pigeon que les obligations de l'Emprunt russe de 1906 vont être remboursées à bon prix par le gouvernement de l'Union soviétique. Riméro, industriel naïf, tombe dans le panneau. Mais, parallèlement, Alexandre Larsan-Bellac s'entiche de Lady Valérie Paterson, une prétendue milliardaire californienne. Elle aussi pratique l'escroquerie…
Fiche technique :
Titre original : Quand passent les faisans ou Les Escrocs
Réalisation : Édouard Molinaro
Assistants-réalisateurs : Philippe Monnier, Patrick Saglio
Dialogues : Michel Audiard
Scénario et adaptation : Albert Simonin et Jacques Emmanuel
Montage : Monique Isnardon et Robert Isnardon
Photographie : Raymond Lemoigne
Musique : Michel Legrand
Décors : Jacques Paris
Son : Jean Labussière
Producteur délégué : Alain Poiré
Société de production : Gaumont International
Distribution nationale et internationale : Gaumont
Directeur de production : Irénée Leriche
Pays de production : France
Langue de tournage : français
Format : Noir et blanc - Son mono - 35 mm (positif et négatif)
Genre : comédie policière
Durée : 89 minutes
Date de sortie :
France : 10 septembre 1965
Portugal : 26 août 1966
Distribution :
Paul Meurisse : Alexandre Larsan-Bellac
Bernard Blier : Hyacinthe Camus
Jean Lefebvre : Arsène Baudu (filmographie ici : https://odysee.com/@JeanLefebvreFan!:1)
Michel Serrault : Rimero
Yvonne Clech : Lady Valérie Paterson
Claire Maurier : Micheline Camus
Daniel Ceccaldi : le directeur Barnave
Robert Dalban : Le concierge de l'hôtel
Roger Dutoit : Arthur Thibaut
Jacques Dynam : Le chauffeur de Rimero
Véronique Vendel : Jeanne
Paul Demange : Le marchand de vieux papiers
Philippe Castelli : le barman
Jean-Henri Chambois : Un homme escroqué
Sophie Leclair : Pierrette Baudu
Franck Villard : M. Gino (non crédité)
Paul Préboist : Le brocanteur (non crédité)
Louise Chevalier : La concierge (non créditée)
Édouard Molinaro : Un serveur qui cherche le chien de Larsan-Bellac (non crédité)
Yves Arcanel
Jean-Marie Arnoux
Dominique Delpierre
Michel Duplaix
Yves Elliot
Jean Julliard
Henri Marteau
Viviane Méry
Lysiane Rey
Claude Richard
Jean-Jacques Steen
Robert Secq (non crédité)
Grand reporter à "Paris-Matin", le désinvolte et séduisant Georges Masse est un homme couvert de femmes. Il interrompt ses vacances pour éliminer une bande de gangsters opérant sur la Lagune de Venise. Aidé du gaffeur mais fidèle P'tit-Louis, il démasque successivement l'énigmatique Sophocle Zélos et Alessandro Cassidi, époux trop âgé de la troublante Clara qui meurt dans ses bras. Il ne reste plus à Masse qu'à poursuivre ses vacances avec l'adorable commissaire de police Thérésa Larsen.
Fiche technique :
Titre original : Massacre en dentelles
Autre titre : Une aventure de Georges Masse à Venise
Réalisation : André Hunebelle
Assistants : Jacques Garcia, Jean Bacqué
Scénario : Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Décors : Lucien Carré, assisté de Jean Galland
Costumes : robes de Jeanne Lafaurie et Marcelle Desvignes, chapeaux de Gilbert Orcel
Photographie : Marcel Grignon
Opérateur : Billy Villerbue, assisté de Raymond Le Moigne et Marcel Gilot (optique Angénieux)
Son : René-Christian Forget, Louis Guilbot (recorder)et Guy Maillet (perchman)
Accessoiristes : François Suné, Edouard Duval
Montage : Jean Feyte, assisté de Jacqueline Givord
Script-girl : Madeleine Lefèvre
Ensemblier : Roger Bar
Maquillage : Marcel Rey, Odette Rey
Habilleuses : Andrée Guilbort, Irène Brangard
Musique : Jean Marion
Secrétaire de production : Charlotte Choquert
Administrateur de production : René Thévenet
Photographe de plateau : Guy André
Chargé de presse : Jean-Claude Labat
Directeur de production: Paul Cadéac
Régisseur général : Roger Boulais
Production : Adrien Remaugé, Pierre Cabaud, André Hunebelle
Sociétés de production : Production Artistique et Cinématographique, Pathé Films
Société de distribution : Pathé Consortium Cinéma
Pays d'origine : France
Langue originale : français
Tournage du 13 août au 9 octobre 1951, dans les studios Franstudio (Saint-Maurice)
Format : Noir et blanc - 1,37:1 - 35 mm - Son mono (Système Sonore Western-Electric)
Genre : comédie policière
Tirage : Laboratoire G.T.C
Durée : 97 minutes
Dates de sortie :
France : 22 janvier 1952 (Présentation corporative au Cinéma Marignan, Paris), en salles : 12 mars 1952
Visa d'exploitation : 11492
Distribution :
Raymond Rouleau : Georges Masse, le journaliste détective
John Kitzmiller : Rocky Sadler, un chef de bande sur la lagune, ennemi de Zélos
Anne Vernon : le commissaire spécial Thérésa Larsen, chargée d'enquête de l'Office International d'Investigations
Tilda Thamar : Clara Cassidi, la femme du constructeur automobile
Bernard Lajarrige : P'tit-Louis, le photographe et complice de Georges
Jacques Dynam : Pablo le Bègue, l'homme de main bègue de Sophocle
Georges Chamarat : Alessandro Cassidi, le constructeur automobile, le mari paralysé de Clara
Maurice Teynac : Sophocle Zélos, un chef de bande sur la lagune
Monique Darbaud : Nora Cassidi, la nièce d'Alessandro, qui essaie ses voitures et joue du revolver
Robert Vattier : le baron Arsène de Loubiac, un ami de Georges
Louis Bugette : Carlos, un homme de main de Sophocle
Anne-Marie Duvernay : La secrétaire de l'agence
Lud Germain : Sam Barnett, un homme de main de Rocky, ennemi de Zélos
Monique Aïssata : Petite Lisette, une danseuse de cabaret, maîtresse de Sam
Charles Bouillaud : un journaliste
Henri Niel : un serveur et employé du Triana-Club
Jack Ary : un danseur
Marc Arian : un danseur
Marius Gaidon : un serveur du Triana-Club
Henry Laverne
Jean-Louis Allibert
Paul Clérouc
Claude Garbe
Tania Soucault
René Brun
Harry-Max
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Le personnage de Georges Masse apparaît dans deux autres films d'André Hunebelle : Mission à Tanger (en 1949) (https://odysee.com/@MichelAudiardFan!:a/1949-Mission-a-Tanger-720:5) et Méfiez-vous des blondes (en 1950) (https://odysee.com/@MichelAudiardFan!:a/1950-Mefiez-vous-des-blondes-480:9), à chaque fois interprété par Raymond Rouleau