Le 5 juillet, la société pétrolière australienne Invictus Energy a annoncé qu’un rapport indépendant effectué sur les réserves de la région de Mukuyu du projet gazier de Cabora Bassa, au Zimbabwe, indique que la zone abrite désormais des réserves récupérables de 20 milles milliards de pieds cubes de gaz. A cela s’ajoutent 845 millions de barils de condensat, soit au total, près de 4,3 milliards de barils équivalents pétrole. Qu’en est-il réellement des réserves prouvées des gisements découverts et quelles sont les possibilités d’exportation du pays notamment vers l’Europe? Réponse avec le Dr Farid Benyahia, politologue spécialiste dans les questions géopolitiques, énergétiques et économiques. ... https://www.youtube.com/watch?v=zKKyPDbTtg4

Lors d’un entretien télévisé en juillet, le Président algérien avait évoqué la possibilité que son pays adhère aux BRICS. Le groupe «constituant une force économique et politique» et «permettant de s'éloigner de l'attraction des deux pôles» est-ouest, selon Abdelmadjid Tebboune. Aujourd’hui, c’est chose faite: Alger a officiellement déposé une demande d’adhésion aux BRICS vivement saluée par la Russie, en attendant les positions officielles des autres membres du club. Concernant les capacités réelles d’Alger à intégrer les BRICS, le chef de l’État algérien avait affirmé que l’adhésion était «tributaire de conditions économiques auxquelles l’Algérie satisfait en grande partie». Dans le même sens, il a souligné le 24 septembre que parmi les objectifs de son gouvernement figurait le développement du revenu national d’une manière qui permette au pays d’entrer dans le groupe des BRICS. Pour rappel, le Nigeria n’exlut non plus pas de rejoindre le format alors que l’Afrique du Sud en fait partie depuis 2011. Dans cette optique l’axe Alger-Abuja-Pretoria sera-t-il le pivot sur lequel va s’articuler la coopération de l'organisation avec l’Afrique? Et si l’Égypte intègre également ce club, l’axe Alger-Le Caire sera-t-il la locomotive de l’Afrique du Nord qui permettra la jonction avec le Moyen-Orient? Quelles seront les retombées sur les plans politique, économique, militaire et géostratégique? Pour répondre à ces questionnements, L’Afrique émergente reçoit Mohamed Achir, économiste et enseignant à l’université Mouloud Mammeri, à Tizi Ouzou. ... https://www.youtube.com/watch?v=E1ziuOOb-ws

Une crise diplomatique s’est déclenchée entre la Tunisie et le Maroc suite à l’accueil du Président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Brahim Ghali, par son homologue tunisien Kaïs Saïed à l'occasion de l'organisation de la TICAD, le Forum de la coopération économique entre le Japon et l’Afrique, en Tunisie. Rappelons que le Président Ghali et le roi Mohamed VI ont participé plusieurs fois ensemble à des événements africains sans que ceci ne suscite la moindre réaction au Maroc. Et pour cause, la RASD est membre fondateur de l’Union africaine que le Maroc a réintégrée en 2016 après 32 ans d’absence. Comment expliquer cette subite position des autorités marocaines envers la Tunisie? La question sahraouie est-elle réellement la pierre d’achoppement entre ces deux pays frères du Maghreb? Réponses avec le Professeur Rafaa Tabib, géopolitologue tunisien, conférencier à l’École supérieure de guerre à Tunis, spécialiste de la Libye. ... https://www.youtube.com/watch?v=4c7X-CNK8HM

Akram Kharief, fondateur et animateur du site d’information militaire Menadefense au micro de l'Afrique émergente. ... https://www.youtube.com/watch?v=7DxAeFkxJZc