TRADUIT ET ADAPTÉ DE L ALLEMAND - LA VIEILLE TAUPE - AAARGH - INTERNET 2006

... Et nous avons vu nous-mêmes, durant cette période, comment la vie des citoyens allemands s'enfonçait de plus en plus profondément. Notre peuple a encore dû subir une inflation qui a dépouillé des millions de personnes de leur épargne. Tout, tout a été fomenté, tout a été réalisé et tout est de la responsabilité des Hommes de novembre 1918. Et puis vint le déclin de notre culture, cette vague de contamination de toute notre vie culturelle, la décomposition de notre littérature, l'empoisonnement de notre théâtre, du cinéma, l'art dans son ensemble, qui est maintenant lentement dévoré. Des millions de nos compatriotes allemands n'y participent plus du tout ! Il ne leur dit plus rien, cet art qui n'est pas né de notre peuple, bien au contraire, il nous est étranger et nous restera étranger. Il n'a rien à voir avec la nature allemande et il n'est pas né dans notre âme ! Il n'a été imposé à notre peuple qu'à travers une presse occupée. On nous l'a mis en bouche. Et parallèlement à cela, commence alors l'attaque contre l'éducation de notre jeunesse, l'empoisonnement des petits cerveaux d'enfants, le retrait de tous les souvenirs de notre passé allemand, le dénigrement de tous les Grands Hommes de notre peuple, l'élimination de leur souvenir à la fois des cœurs et des cerveaux de cette petite jeunesse allemande et donc, en gros, une souillure de l'histoire allemande en général. Rien de ce qui était grand autrefois, rien de ce qui a contribué à fonder et à rendre fort cet État et ce peuple n'a désormais été épargné par ces attaques corrosives et dévorantes. Tout a été rabaissé, à commencer par les symboles du temps passé, les cocardes et les drapeaux, jusqu'aux Grands Hommes de notre Histoire. Parallèlement à cela, on assiste désormais au déclin de l'économie. Eux qui prétendaient autrefois apporter le bonheur et la prospérité au peuple allemand, eux qui parlaient de beauté, de liberté et de dignité, où ont-ils mené cette Allemagne en 14 ans ? Les finances de l'État ont d'abord été désorganisées, les gigantesques matières premières de guerre dilapidées en quelques années ! De ces milliards au total, il ne restait plus un seul mark ! Ils commencent ensuite le crime de l'inflation et après avoir ruiné la nation avec cette nouvelle razzia sous leurs ministères Hilferding et camarades, l'intérêt usuraire se met en place. Des taux d'intérêt usuraires inouïs, qui n'auraient jamais dû être pratiqués auparavant dans aucun État, sont désormais à l'ordre du jour dans la République sociale. Et c'est ainsi que commence alors la destruction de la production, la destruction par ces théories économiques marxistes en elles-mêmes et ensuite par la folie d'une politique fiscale qui se chargera du reste. Et maintenant, nous voyons comment les entreprises s'effondrent les unes après les autres, comment la classe moyenne se désespère peu à peu, comment des centaines de milliers d'existences sont anéanties. Année après année, des dizaines de milliers de faillites, des centaines de milliers de saisies immobilières ont eu lieu, et cela se répercute sur la paysannerie, qui commence à sombrer dans la misère. La profession la plus travailleuse de tout le peuple s'effondre, elle ne peut plus exister. Et puis finalement, cela se retourne vers la ville, là où les chômeurs commencent peu à peu à se multiplier. Un, deux, trois millions, quatre millions, cinq millions, six millions, sept millions. Aujourd'hui, ils sont peut-être sept à huit millions en réalité. Ils ont détruit tout ce qu'ils pouvaient détruire en quatorze ans de "travail", au cours desquels ils n'ont été dérangés par personne ! Aujourd'hui, cette misère peut peut-être être illustrée au moyen d'une seule comparaison : une terre de ce pays, Thuringe. Les recettes totales de ses communes s'élèvent à 26 millions de marks. C'est sur cette somme que doivent être financées leur administration, l'entretien de leurs bâtiments publics, tout ce qu'elles dépensent pour les écoles, pour l'éducation, tout ce qu'elles dépensent à des fins caritatives. Soit 26 millions de recettes au total ! Et rien que pour les aides sociales, 45 millions sont nécessaires ! Voilà ce qui se passe aujourd'hui en Allemagne sous le règne de ces partis qui, pendant 14 longues années, ont ruiné notre peuple ! Et la question est maintenant de savoir combien de temps encore ! C'est pourquoi, parce que je suis convaincu que si l'on ne veut pas arriver trop tard, il faut maintenant commencer le sauvetage, je me suis déclaré prêt le 30 janvier à engager le Mouvement, qui est passé entre-temps de 7 hommes à 12 millions, pour sauver le peuple et la patrie allemande ! Extrait discours Adolf Hitler au Palais des Sports de Berlin. 10 février 1933