Démétra constate que Arthur a avant tout besoin de réconfort, et propose à Guenièvre de faire boire au roi une potion pour le rendre triste, afin de pouvoir le consoler (et tenter de passer à l'acte). Sur le point de fonctionner, la ruse tourne pourtant très vite au fiasco total.
Guethenoc, Roparzh et Belt présentent tous trois leurs vins à Arthur, chargé de les départager. Le roi est formel : ils sont tous aussi mauvais les uns que les autres. La dégustation s'achève dans une grande beuverie.
À la Table Ronde, Arthur et ses chevaliers décident à l'unanimité (une fois n'est pas coutume) d'envoyer un espion qui suivra les mouvements de troupes dans le camp dissident de Lancelot.
Ygerne de Tintagel, la mère d’Arthur, vient rendre visite à son fils et elle n’arrête pas de le critiquer, en le comparant en permanence à son père Uther Pendragon. Arthur finit par se fâcher.
Arthur, Léodagan et Bohort doivent négocier face à Attila, roi des Huns. La réunion se passe dans la salle du trône et Attila exige en premier lieu l’intégralité de l’or de Kaamelott sous peine de tout détruire. Face aux protestations du roi, et en dépit de ses terribles cris, Attila montre qu’il n’est pas aussi terrifiant que sa réputation l’affirme. Ainsi, après d’âpres négociations, le chef barbare crie victoire : il repart avec un plat cuisiné (mais froid).
Le roi décide d’organiser de grands sondages pour connaître les aspirations de son peuple. Il s’avère qu'une minorité souhaiterait voir Léodagan à la place d’Arthur. Le roi de Carmélide est galvanisé par ce résultat.