Gourgeot---La-Domination-juive-En-Algerie-1894
La Domination juive En Algérie par F.Gourgeot interprète principal de l'armée d'Afrique en retraite et Officier de la Légion d'Honneur. Livre paru en 1894 à Alger par l'Imprimerie Pierre Fontana et Co. disponible au format PDF.
P R É F A C E
Je déclare, une fois pour toutes, que je m'occupe principalement de la masse de la population juive africaine, des dix-huit vingtièmes, si l'on veut, de celle-ci. Toutefois, les Hébreux, quoique morcelés dans le monde, se rattachant tous par différents liens et par des actions communes, cela m'amènera à parler incidemment de ceux de France.
Je serais injuste si je ne reconnaissais pas qu'il y a d'honorables exceptions individuelles. Elles sont rares, mais elles existent, j'en ai rencontré; je ne leur ai jamais demandé de services, je leur en ai plutôt rendu. J'ai constaté que, parmi les juifs, on trouve parfois des hommes de cœur qui souffrent intérieurement autant que nous de la conduite de leurs coreligionnaires algériens dont ils déplorent les vices et le manque de foi.
Il m'est pénible de penser que je vais peut-être affliger des hommes estimables avec lesquels j'ai pu avoir des relations de bonne amitié sans soupçonner leur origine juive : quelques militaires ayant vaillamment fait leur devoir devant l'ennemi, certains magistrats intègres, des interprètes militaires, anciens camarades, braves comme le furent Ayas, cité en 1845 dans un rapport officiel pour avoir tué cinq arabes, mort des suites d'une blessure reçue en combattant contre Bou-Maza, décoré en 1846;— Lévy, l'ancien, blessé en 1845 à la retraite de Sidi-Brahim, prisonnier de guerre d'Abd-el-Kader, mort après avoir reçu trois coups de feu ;— des interprètes judiciaires, tous gens que j'estime et qui doivent être classés dans la catégorie des hommes de lettres, non dans celle des commerçants prêteurs.
Au reste, il serait indigne de moi, dans une étude comme celle-ci, faite de bonne foi, de ne pas reconnaître que la race juive a fourni dans les sciences, dans les arts, dans la politique, dans les lettres, des hommes de haute valeur dont la civilisation s'honore à juste titre. Parmi eux a figuré avec éclat l'illustre orientaliste Silvestre de Sacy dont aucun arabisant dans le monde entier ne prononce le nom sans le faire suivre des expressions les plus louangeuses, les plus respectueuses, et, j'ajoute, les plus méritées.
Mais ces hommes appartenaient, pour la plupart, à des familles qui, depuis plusieurs générations, avaient renoncé au trafic ainsi qu'à toutes les opérations véreuses qui en découlent d'après l'esprit d'Israël. Ils avaient perdu l'atavisme spécial des Juifs de notre époque si soigneusement soutenu, encouragé, par des comités occultes supérieurs, par les Consistoires et par les rabbins.
Comme le célèbre Sylvestre de Sacy dont le père, Abraham Silvestre, était notaire, c'étaient des exceptions. Or, les exceptions confirment les règles.
Les personnages marquants de nos jours, loin de réprouver les menées ambitieuses et criminelles de leurs congénères, les soutiennent et les dirigent. Un conflit prochain paraît inévitable entre Juifs et Chrétiens. J'ai l'intime conviction qu'il y va du salut de la société française qui, à son insu, se transforme en un monde cosmopolite, interlope, lui faisant perdre les brillantes qualités natives qui ont constitué jusqu'ici le caractère éminemment civilisateur, chevaleresque et distingué du Français de race.
Je n'ai pas de motifs de haine particulière contre les Juifs; ils ne m'ont rien fait personnellement. N'ayant pas de visées politiques ambitieuses, ne m'étant jamais porté candidat à une fonction élective quelconque, je n'ai pas à leur reprocher d'avoir voté contre moi. Mais ce que je leur reproche, ce que je ne leur pardonne pas, c'est leur attitude provocante à l'égard des Français ; c'est de vouloir s'emparer de la France et de l'Algérie, de s'en vanter publiquement auprès des indigènes, au point de fixer à cinq ou six ans, au plus, la date de l'entière réalisation de leurs projets diaboliques.
Une légende qui circule parmi eux, prétend que leur race dominera le monde quand un des leurs aura édifié une tour gigantesque. Ils veulent voir l'accomplissement de cette prophétie dans la construction de la tour Eifel.
Je crois le péril imminent, je défends mon pays comme un fils défend sa mère. Je considère comme un devoir rigoureux de projeter la lumière sur la situation, afin que mes compatriotes puissent voir ramper le monstrueux reptile qui s'apprête à les dévorer.
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