AdEXT / Saison 1 - Episode 6 – Relayant les conclusions des travaux de Jean Magne, les chercheurs universitaires ont ruiné depuis lors les thèses de Dom Botte
Le sixième épisode expose le ralliement du milieu universitaire aux travaux du Dr Jean Magne, dès sa thèse en Sorbonne en 1974. Le Père Gy s’est dédit sur ce sujet avant sa mort. Ainsi un colloque universitaire de l'Université de Laval (Québec) a-t-il confirmé encore en 2014 les conclusions du Docteur Jean Magne en dénonçant publiquement le « document fantôme » de Dom Botte.
Ce huitième et dernier épisode présente, sous forme d’un dialogue le plan de la subversion de la FSSPX par la Rome apostate. Puis il présente les faits de l’entrée progressive dès 2019 d’un intrus, sans sacerdoce valide, le dit « Mgr » Vitus Huonder, au sein de l’œuvre de Mgr Lefebvre. Il illustre également la personnalité de Richard Nelson Williamson. Après avoir présenté les véritables combattants de la Foi qui dénoncèrent le nouveau rite de consécration épiscopale de 1968, l’épisode expose l’indéfectibilité de l’Eglise catholique, éclipsée par un astre mort conciliaire, comme annoncé par Notre-Dame à La Salette en 1846, et confirmé par Léon XIII en 1890. Il commente les déclarations de l’abbé Vigano, insuffisantes sur ce point et l’exposant à être manipulé. Il présente aussi l’onctionisme ou la Christologie de l’esprit, fondement du nouveau rite. L’épisode pointe les clés et les enjeux de cette attaque historique contre le Sacerdoce sacrificiel établi par Notre-Seigneur Jésus-Christ. L’extinction biologique des lignées épiscopales de l’ordination selon le rite sacrificiel de Melchisedech de la Nouvelle et Eternelle Alliance établie par Notre Seigneur Jésus-Christ en son propre Sang, est en ce moment ce qui est en jeu ! Satan cherche ainsi à faire échouer la Rédemption des âmes par l’Incarnation puis le Sacrifice de Réparation de Notre-Seigneur Jésus-Christ en vue d’effacer le Péché Originel et offrir aux âmes leur Salut éternel.
L’épisode conclut : « Quel évêque catholique valide sacrera enfin validement de véritables évêques catholiques pour amorcer la fin de l'éclipse ? »
Le troisième épisode expose la subversion cléricale dans l'Eglise dès 1917, autour des rites orientaux, sur fond de révolution bolchevique et de conflit entre Staline et Trotski, pion de la finance mondiale. Après l'échec quasiment miraculeux des anglicans britanniques en 1896 (Léon XIII, Bulle Apostolicae Curae) à faire reconnaître leurs rites invalides d’ordination par Rome, une vraie conjuration liturgique, pensée comme telle, se met en place. En 1917, Fatima en pointe l'enjeu et son contexte géopolitique en Russie. Les jésuites y jouent un rôle central mais dissimulé.
Ce sixième épisode expose les faits constatables prouvant l’invalidité du nouveau rite de consécration épiscopale. Après un bref commentaire, il expose le contenu du communiqué sur CIRS en date du 1er octobre 2007.
Saison n°2 – La liquidation finale par le faux argumentaire soutenu par Avrillé depuis 2005
Cette saison montre que, contrairement à la présentation du Coetus XX en 1967, reprise en 2005 par les dominicains d'Avrillé, une fois rectifiées les sources erronées utilisées par ces dominicains, les points d’analogie de ce texte de 1968 avec le rite d’intronisation du patriarche maronite, n’en font nullement un rite sacramentel, car le code de droit canon oriental (canon 235) approuvé par Pie XII exige encore expressément le 02 juin 1957 le sacre préalable du futur patriarche (lettre apostolique Cleri sanctitati).
La saison fait un point d’actualité dans son épisode 8. Elle déchiffre l’infiltration, depuis 2019, dans la FSSPX d’un intrus, au Sacerdoce invalide selon le Magistère de l’Eglise Catholique, «Mgr » Vitus Huonder, conduisant avec le temps à la perte du Sacerdoce par la FSSPX. Le rôle de Richard Williamson est présenté, ainsi que la position du Magistère de l’Eglise annonçant l’éclipse de la Sainte Eglise authentique, Léon XIII ayant repris en 1890, dans un texte magistériel, la substance de cette annonce révélée par Notre-Dame à La Salette en 1846.
Elle présente aussi les clercs courageux, jamais réfutés, qui depuis 1968 se sont levés à leurs risques et périls pour faire éclater publiquement l'invalidité du nouveau rite de consécration épiscopale : le Père Kröger, l’abbé Mouraux, le Dr Coomaraswamy, l’abbé Cekada, , l’abbé Zins, l’abbé Adam, l’abbé Maury, l’abbé Vérité et l'abbé Schoonbroodt. Elle récapitule la démonstration déjà publiée par le CIRS, et situe cette attaque contre le Sacerdoce catholique en perspective de l'invention d'une « Christologie de l'Esprit » parfaitement hérétique et de l’élaboration en cours d'une « Religion mondiale unifiée ».
Episode 1 – Les enjeux du mutisme des clercs sur l’invalidité du nouveau rite
Ce premier épisode pointe les enjeux du faux argumentaire des réformateurs, prolongé en 2005 par les dominicains d’Avrillé. C’est en 2005 que les travaux du CIRS ont pu réfuter publiquement et en détails ce faux argumentaire. La déclaration du 26 avril 2006 effectuée par le CIRS est rappelée. (cf. www.rore-sanctifica.org, http://rore-sanctifica.org/documents-recents.html)
Ce troisième épisode expose la méthode utilisée par le Père Pierre-Marie du couvent dominicain d’Avrillé pour « prouver » la prétendue validité du nouveau rite de consécration épiscopale. Ainsi que cet épisode l’expose, il s’agit en réalité d’un montage, doublé de l’introduction d’une troncature et effectué à partir de sources erronées ou falsifiées.
Ce cinquième épisode démontre que le rite maronite d’intronisation du patriarche Maronite n’est pas sacramentel, comme l’atteste le code de droit canonique oriental de Pie XII (canon 235). L’intronisation juridictionnelle du patriarche requiert le sacre préalable sacramentel de l’impétrant. (cf. www.rore-sanctifica.org)
Pour ce qui concerne le faux argument du comparatif au rite copte de consécration épiscopale, il est fait renvoi au communiqué de Rore Sanctifica du 25 avril 2006, ainsi qu’à la Notitia VIII (De ritu coptorum) du CIRS publiée sur le site rore-santifica.org.
Ce deuxième épisode démontre que Paul VI-Montini a menti, en utilisant l’apparence des formes extérieures de l’infaillibilité pontificale, pour prétendre que ce pseudo-rite de « consécration épiscopale » aurait été en usage dans l'Eglise primitive et qu’il serait encore en usage dans les Eglises orientales. En effet, n’ayant pas existé avant 1963, ce texte du nouveau rite de 1968 n’a jamais pu être en usage dans l’Eglise primitive, ni dans les Eglises orientales Ce mensonge est en totale contradiction avec l’infaillibilité, dont jouissent de Fide les vrais Papes, ainsi qu’ils l’ont toujours historiquement démontrée, en dépit des faux historiques calomniateurs définitivement établis.
Saison n°1 – La destruction de l’épiscopat catholique valide
A partir d’avril 1969, l’Eglise romaine a totalement, à 100%, abandonné ce rite ancestral de consécration des évêques de rite romain, et l’a remplacé par un nouveau rite élaboré depuis 1967, et promulgué le 18 juin 1968.
L'abandon du rite latin en vigueur depuis plus de 1700 ans pour une création de 1967 jamais utilisée auparavant. Elle est basée sur la pseudo-Tradition apostolique d'Hippolyte de Rome qui est désormais scientifiquement établie pour être un "document fantôme" selon les universitaires, contredisant ainsi les affirmations « infaillibles ex cathedra » de Paul VI, Montini, le promulgateur du nouveau rite.
Episode 1 – Les enjeux de la suppression du rite traditionnel
Le premier épisode expose les enjeux de la rupture opérée par la suppression du rite catholique et son remplacement par un rite artificiel invalide selon le Magistère. La suppression progressive du sacerdoce en a résulté.
Le quatrième épisode présente le Dr Jean Magne (1910-2009), Docteur en Sorbonne sous la direction du célèbre Professeur Henri Irénée Marrou, ancien élève de l’EPHE, opposant de Dom Botte dans les colloques et discussions universitaires savantes, ainsi que les acteurs cléricaux de cette subversion liturgique (Cardinal Bea, Dom Botte, Père Lécuyer, Père Bouyer, Père Martimort, revue Maison-Dieu).