Perceval et Karadoc reviennent d’une mission de trois mois en Écosse. Ils étaient allés chasser le serpent géant du lac de l’Ombre ; ils l'ont confondu avec une anguille. Ils ne sont pas les seuls à exagérer leurs exploits, surtout Bohort qui vient de comprendre que tout ce qu'il doit raconter est réel
Séli a cuisiné une tarte aux myrtilles qui s’avère immangeable, mais Arthur, Guenièvre et Léodagan sont contraints de la manger. Ce dessert lance une discussion enlevée autour des traditions familiales et de l’absence d’héritier.
Le Père Blaise en a assez d’entendre des intervalles musicaux païens : pour lui, rien ne vaut la quinte juste. Arthur et Bohort entendent lui prouver le contraire.
C’est le dîner de famille avec Léodagan, son épouse Séli, ses deux enfants Yvain et Guenièvre, ainsi que Arthur. Yvain aurait préféré aller diner chez son ami Gauvain, mais sa mère s’y oppose. Arthur se plaint alors que tous les diners en famille dégénèrent en dispute. Celui-ci n’échappe pas à la règle.
Arthur se fait attaquer dans le couloir de Kaamelott. Parmi les clans revendiquant l'attentat, on retrouve avec étonnement le blason de la Carmélide. Arthur est un peu fâché avec Léodagan.
Arturus et Appius Manilius arrivent en Bretagne et rencontrent Perceval, Karadoc et les autres candidats pour devenir chevaliers, tandis que l'ancien chef de guerre romain qui gouvernait la Bretagne rentre chez lui, en souriant. Arthur retire Excalibur du rocher puis se rend au rassemblement des chefs de clans, où Léodagan le reçoit. Puis le roi Arthur découvre sa promise, Guenièvre.
Karadoc a peur tout seul dans le noir (il a peur des spectres, mais il ne laisse pas une bougie allumée parce qu'il a aussi peur des incendies...). Arthur doit rester avec lui. Karadoc rassure Arthur : il ne regrette pas l'échange. Il n'aime seulement pas être seul. Il était bien conscient que récupérer Guenièvre allait être difficile et il ne savait pas s'ils allaient s'entendre. Il confie à Arthur un pressentiment qui s'avère légitime : Guenièvre n'est pas bien avec Lancelot et il se peut qu'elle soit retenue de force par ce dernier.
Guethenoc accuse, en séance de doléances, le roi d'avoir fait un enfant à sa fille Madenn, qui nie qu'Arthur soit le père. Outré, protestant de sa bonne foi, le roi persuade le paysan de rentrer chez lui. Mais il s’avère qu’il est parfaitement au courant de sa paternité.