2022_10_03_Guerre_Ukraine_Discours_Elisabeth_Borne_Assemblee_nationale
Alors nous savons bien qu'écouter la Borne bornée, çe n'est pas très réjouissant, c'est même un supplice. Mais sachez bien que si vous voulez comprendre l'Ennemi, quelqu'il soit, et deviner le but qu'il cherche à atteindre, il ne faut pas rechigner à écouter ses discours, lire ses articles, scruter son attitude et ainsi prendre les mesures qui s'imposent, même à notre "petit niveau".
La Borne accuse Poutine de tous les maux, les crimes perpétrés par les bandero-nazis y ont une bonne place et lui sont imputés. Quant on voit le portrait qu'elle nous dresse du Président Russe, on grince des dents. Connaître si mal le Président Russe est une infamie que nous ne pouvons pas tolérer. Quand on sait que cette borne effroyable est diligentée par Macron, on comprend très bien où ils veulent nous mener. A la guerre totale. Ce qui les arrangerait bien pour "solder" leur passif qui nous a endettés au-delà du possible. La borne ne va pas faire long feu, soyons en certains, comme son Maître. Quand on est si MALFAISANT, on ne peut pas durer longtemps car la Vérité émerge toujours...
ARTICLE
La France veut "rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie", assure Elisabeth Borne
"L'économie russe est à l'asphyxie", a assuré lundi la Première ministre lors du débat sur l'Ukraine à l'Assemblée nationale, affirmant que les sanctions contre la Russie "continueraient tant que Poutine s’évertuera dans la spirale du conflit et de la confrontation".
Les députés ont leur rentrée dans l'hémicycle lundi 3 octobre avec un débat sur la situation en Ukraine, plus tendue que jamais après la revendication par Moscou de l'annexion de quatre régions. "Chaque jour, avec le plus grand cynisme, la Russie repousse les frontières de la barbarie", a dénoncé la Première ministre Elisabeth Borne lors de son discours, estimant que "Poutine remet(tait) la démocratie en cause".
"C'est notre modèle qu'on attaque" lorsque la Russie attaque l'Ukraine, a-t-elle jugé, réaffirmant le soutien de Paris à l'Ukraine.
"Ce conflit engage notre responsabilité à tous", a assuré la cheffe du gouvernement, ajoutant que la France devait "être solidaires de l'Ukraine", ce "membre de la famille européenne".
Dans un mot introductif, la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, de retour d'Ukraine où elle a rencontré le président Volodymyr Zelensky, a également insisté sur "l'appui indéfectible de l'Assemblée nationale française à l'Ukraine et à son peuple".
Les sanctions "fonctionnent"
Pour ce faire, "notre objectif est le même depuis le début : rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie, frapper durement son économie, pour l'empêcher de financer son offensive", a martelé Elisabeth Borne. "C'est la Russie qui a lancé cette guerre. C'est elle qui nous pousse à agir", a-t-elle rappelé.
"Les sanctions continueront tant que Poutine s’évertuera dans la spirale du conflit et de la confrontation. Abandonner les sanctions, ce serait abandonner l’Ukraine. Ce serait renoncer à nos valeurs. Ce serait nous soumettre à la Russie. La France, le patriotisme, ce n’est pas l’abandon. Ce n’est pas le renoncement. Ce n’est pas la soumission", a ajouté Mme Borne, en s'adressant indirectement aux députés d'extrême droite du Rassemblement national, accusé de proximité avec Moscou et opposé aux sanctions économiques contre la Russie.
"Et ces sanctions, n'en déplaise à ceux qui masquent leur fascination pour l'impérialisme russe par un prétendu patriotisme : elles fonctionnent", a encore assuré la Première ministre. "L'économie russe s'est considérablement rétractée, avec une chute de 6% de son PIB pour cette année. L’inflation russe a explosé. Et la Russie a perdu l’accès à des matériels de haute technologie", a-t-elle énuméré.
"Avec les prix élevés de l'énergie, Moscou tente pour l’instant de maintenir l’illusion. Mais les faits sont là. La propagande russe ne doit pas nous berner. L’économie russe est à l'asphyxie", a déclaré Mme Borne.
En matière d'aide humanitaire à l'Ukraine, la cheffe du gouvernement a annoncé "la mise en place, à partir de fin novembre, d’une aide" pour les Français qui "accueillent des déplacés ukrainiens chez eux".
Le préfet Joseph Zimet, qui pilote Place Beauvau la cellule interministérielle de crise sur l'accueil des Ukrainiens, avait indiqué dans un entretien au Monde que cette aide était à l'étude et devait s'élever "de 150 à 200 euros pendant quelques mois", afin d'"éviter que cet accueil ne s'effondre".
AFP
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