Pongo et Perdita, deux magnifiques dalmatiens, ont un beau jour quinze bébés chiens. Leur joie et celle de leurs maîtres, Roger et Anita, serait sans ombre si l’infâme Cruella, ancienne camarade de classe d’Anita, ne convoitait les chiots pour la réalisation d’un manteau de fourrure. Un soir, profitant de l’absence du couple, les méchants Jasper et Horace font main basse sur la portée. Pongo et Perdita se lancent alors dans un plan de sauvetage désespéré qui va les conduire à mener vers l’évasion non pas 15, mais quelques 99 chiots…
Titre original One Hundred and One Dalmatians
Récompense 1 prix
Pendant l'occupation allemande à Paris, Robert Klein, un Alsacien qui rachète des oeuvres d'art à bas prix, reçoit, réexpédié, à son nom, le journal Les Informations juives qui n'est délivré que sur abonnement. Il découvre bientôt qu'un homonyme juif utilise son nom, et décide alors de remonter la piste qui le mènera à cet inconnu.
Récompenses 3 prix et 7 nominations
Nathalie, adolescente en révolte, a quitté sa mère depuis six mois, pour vivre avec une petite bande de jeunes loubards. Un jour, un certain Tellier, dit « le boiteux », propose à la petite bande un « casse » : le braquage d'une banque de quartier. Ce que les trois jeunes loubards ignorent, c'est que ce braquage est un leurre, dont le but est de couvrir l'attaque d'un transporteur de fonds dans le même quartier au même moment. Le braquage échoue, mais les trois jeunes parviennent tout de même à s'échapper. Ils n'ont qu'une idée : retrouver les gangsters qui les ont manipulés et obtenir leur part du butin. Ils arrivent à effectivement les retrouver, mais la rencontre imprévue se passe mal. Seul David, l'un des jeunes, s'en sort indemne. Il se rend chez la mère de Nathalie, ne pouvant que lui remettre la dépouille de sa fille.
Désormais, Jeanne Dufour (Annie Girardot), la mère de Nathalie, ancienne pilote de course automobile, n'a plus qu'une idée en tête : venger la mort de sa fille. Elle va bénéficier de la complaisance du commissaire de police Kalinsky. https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_noire_(film,_1984)
Toute la presse ne parle que de ça : le maniaque tueur d'enfants, qui terrorise la ville depuis quelques temps, vient de faire une nouvelle victime. Chargé de l'enquête, le commissaire Lohmann multiplie les rafles dans les bas-fonds. Gênée par toute cette agitation la pègre décide de retrouver elle même le criminel : elle charge les mendiants et les clochards de surveiller chaque coin de rue...
Aucun film, mieux que M le Maudit, n'a su mettre en évidence le poids du destin qui accable l'individu, destin incarné par la pieuvre sociale dans toute son arrogance. Voulant se démarquer des allégories expressionnistes qui avaient fait sa gloire au temps du muet, Fritz Lang, préoccupé par les crises que traversait l'Allemagne à l'aube des années 30, choisit de traiter, pour son premier film parlant, un cas clinique en le greffant sur une analyse impitoyable d'un pays malade, mûr pour la dictature. M est une dénonciation sans équivoque des structures sociales officielles ou souterraines qui n'ont d autre objet que de détruire l'individu, de chercher des victimes expiatoires, alors que le mal est en chacun de nous. Vigoureuse revendication pour l'inviolabilité de la liberté humaine, si monstrueux qu'en soit le dépositaire, M est aussi un magistral exercice de style, un module absolu de mise en scène considérée comme une mise en équation de tous les éléments constitutifs du film. Le moindre détail est chargé de sens, les plans s'imbriquent selon un ordre infaillible, comme les lignes de force d'un champ magnétique. Le meurtre de la fillette, l'enquête policière, la traque du coupable, ses aveux pitoyables, tout est scruté, disséqué comme au scalpel. --Claude Beylie - Les films-clés du cinéma
« Quand j'ai voulu tourner le film, son titre était Les meurtriers sont parmi nous, mais je reçus des lettres de menace et le studio me fermait ses portes. Je compris alors que les Nazis pensaient que le titre les désignait. Quand ils découvrirent qu'il s'agissait de Peter Kürten, le tueur de Düsseldorf (que j'ai connu personnellement), ils exigèrent juste que le titre soit changé en M, pour meurtrier... Je ne sais pas si l'homme est bon ou mauvais. Je pense qu'il devrait chercher à devenir meilleur, parce que s'il ne le fait pas, il devrait alors se détruire. Je crois qu'il faut sans cesse combattre le mal sous toutes ses formes. Il faut le combattre même quand l'issue du combat est incertaine. » --Fritz Lang
Qu'est-ce qui nous rend humains ? Est-ce le fait d'aimer, est-ce le fait de lutter ? Le fait de rire ? De pleurer ? Notre curiosité ? Notre quête de découvertes ?
Poussé par ces questions, le réalisateur et photographe Yann Arthus-Bertrand a passé trois années à collecter les histoires de 2 000 femmes et hommes dans 60 pays. Avec son équipe passionnée de traducteurs, journalistes et cameramen, Yann a capturé en profondeur les émotions et les sujets qui nous unissent tous : les luttes contre la pauvreté, la guerre, l'homophobie et le futur de notre planète, mêlées à des moments d'amour et de bonheur.
HUMAN est un diptyque de récits et d’images de notre monde pour créer une immersion au plus profond de l’être humain.
À travers les témoignages remplis d’amour, de bonheur, mais aussi de haine et de violence, HUMAN nous confronte à l’Autre et nous renvoie à notre propre vie. De la plus petite histoire du quotidien, jusqu’aux récits de vie les plus incroyables, ces rencontres poignantes et d’une sincérité rare, mettent en lumière ce que nous sommes, notre part la plus sombre mais aussi ce que nous avons de plus beau et de plus universel. La Terre, notre Terre, est sublimée au travers d’images aériennes inédites accompagnées de musique tel un opéra, qui témoignent de la beauté du monde et nous offrent des instants de respiration et d’introspection.
HUMAN est une œuvre engagée qui nous permet d’embrasser la condition humaine et de réfléchir au sens même de notre existence.
Ce film ayant pour vocation d'être diffusé librement et le plus largement possible, il bénéficiera d'une sortie atypique et multiplateforme.
http://www.human-themovie.org/
En cinq volets, le quotidien d'une dizaine de personnes aux États-Unis, suivies durant les mois précédant la présidentielle.
Troisième volet : à Clairton, ville sinistrée de Pennsylvanie, le maire fait distribuer des vivres à ses administrés, privés de revenus par la pandémie.
3. Au bord de la guerre civile
À Clairton, ville sinistrée de Pennsylvanie, le maire, Rich Lattanzi rêve de bâtir des logements abordables. En attendant, il fait distribuer des vivres à ses administrés, privés de revenus par la pandémie de Covid-19. Suractive sur les réseaux sociaux depuis le confinement, Isabel Brown est devenue l’une des porte-parole de Turning Point. Peiné que l’église fasse partie des “activités non essentielles”, Charles Kaighen propose un office religieux en drive. Cafardeuse après la mort de George Floyd, puis regonflée à bloc, Ameena veut susciter l’espoir. De retour à Minneapolis, où le policier blanc Derek Chauvin a commis le meurtre, Doug Pagitt a rejoint la foule en colère qui proteste, face à une police hostile.
À vif
Cette incroyable virée dans l’immensité des États-Unis et ses fractures, à la rencontre d’Américains de tous bords, de toutes origines et confessions, montre un pays à vif, surarmé, bigot, barricadé en communautés étanches. Aux inégalités criantes qui frappent les Afro-Américains et les sans-papiers, dont la situation a empiré sous l’ère Trump, répond le déni non moins flagrant dans lequel s'enferme le camp conservateur, jamais avare de slogans choc et de contre-vérités. Cette série au long cours permet de mesurer la déflagration causée par l’assassinat de George Floyd et la pandémie, événements qui vont exacerber les tensions raciales et sociales mais aussi les solidarités. Une immersion captivante dans une Amérique à la fois plus divisée et plus mobilisée que jamais.
Série documentaire (Allemagne, 2020, 52mn)
Lorsqu'Obélix percute le pauvre Panoramix avec un menhir, le druide s'évanouit et, au réveil, devient incapable de retrouver la formule de sa potion magique. Astérix et son fidèle compagnon vont alors devoir s'employer pour déjouer les tours des Romains et d'un étrange devin...
Charles Tatum, journaliste sans scrupules, va exploiter un scoop. Au Nouveau-Mexique, Léo Minosa, un Indien, est coincé au fond d'une galerie effondrée. S'arrangeant pour être le seul journaliste sur le coup, il va persuader le shérif de choisir la formule de sauvetage la plus lente. Tatum va devenir l'amant de la femme de la victime et poussera l'hypocrisie jusqu’à devenir l'ami de Léo.
Titre original Ace in the Hole
Le Major Sholto dîne avec ses deux fils quand son majordome lui apporte un pli déposé pour lui… Ce pli est ce qui ressemble à un plan de bâtiment, et provoque chez le maître de maison une vive émotion qui vire à l’attaque d’apoplexie.
Le Major Sholto explique qu’avec quatre compères, il avait mis la main sur un trésor qu’il garde planqué dans le grenier et qu’il a été injuste car il n’a jamais remis la part du trésor de l’un de ses compères décédé à la fille de ce dernier… Qui n’est autre que Miss Mary Morstan.
Pendant que le père essaie de se remettre ou agonise dans son lit, les fils se disputent sur la pertinence de donner ou pas un tiers du dit trésor à Miss Morstan. On voit que les deux fils sont bien prgamatiques et se voient déjà hériter.
Et ils ont raison puisque tandis qu’ils sont trop occupés à chercher le trésor dans le grenier, un type à jambe de bois a réussi à entrer dans la demeure et est arrivé régler ses comptes avec le Major Sholto qui meurt de peur avant de laisser satisfaction à l’intrus.
Quelques temps plus tard, Miss Mary Morstan vient rencontrer Holmes et Watson, ayant reçu un gros diamant ainsi qu’une invitation à rencontrer un étrange inconnu pour une affaire de la plus haute importance.
Le gros diamant s’avère d’après Holmes qui sait tout (j’avoue que des fois il m’énerve à tout savoir comme ça !), être le deuxième plus gros diamant du monde !
Voilà Holmes ferré comme un beau poisson, et Watson aussi. Holmes est évidemment intéressé par l’affaire…
Quant à Watson… C’est par la charmante orpheline (à moins que ce soit pour la fortune qu’elle vient de recevoir ? Hummm… Pourquoi il n’y aurait que les femmes qu’on soupçonnerait de vénalité ? Hein? Je vous le demande! )