Alors que la France s'enfonce dans des réglementations de plus en plus absurdes que plus personne ne comprend vraiment. L'annonce en cascade de vaccins laisse entrevoir un espoir de fin de crise. Mais à quel prix ? Les médias commencent à préparer l'opinion publique sur des vaccins améliorés permettant de vérifier si les personnes ont été vaccinées ou non. Il est maintenant question de carnet de vaccination intégré sous cutané via des puces RFID ou des nanoparticules. Va-t-on nous faire accepter un flicage généralisé contre notre santé ? Face à cette menace, François Asselineau avait déjà répondu NON en 2011 dans son programme présidentielle. Hors de question pour le président de l'UPR d'accepter le puçage des êtres humains sous toutes ses formes. Si vaccin il doit y avoir, il doit être de composition sûre et exempte de tout composant servant d'autres intérêts que celui de la santé. Il est grand temps de se mobiliser pour ne pas accepter l'inacceptable, c'est à dire offrir nos libertés publiques aux puissances d'argents et gouvernements qui n'ont eu de cesse de démontrer que leur préoccupations étaient leurs intérêts à eux et non l'intérêt commun. #Vaccins #Reconfinement #Covid19 ----- ℹ️ IMPORTANT : toutes les affirmations de cette vidéo sont accompagnées de sources irréfutables qui apparaissent à l'écran.

L'usage des masques est dangereux test qui le démontre Francois Ducrocq : Est-ce que la population n'est pas en train de se suicider collectivement avec un poison lent ? L'usage du masque pouvait se justifier pendant une courte période d'épidémie entre mars et mai 2020 et une pénurie a été malheureusement à la fois voulue et organisée durant cette période. Aujourd'hui, à l'opposé, le masque est devenu un instrument politique de contrainte. Ce revirement n'est pas seulement incompréhensible, il est porteur de conséquences sanitaires néfastes. Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l'inspiration et de l'expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes. Masquer la population aujourd'hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme. Cette ambiance malsaine a, de surcroît, des répercussions désastreuses sur l'activité économique qui repose d'abord sur la confiance. Et elle génère une surenchère sans limite dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.

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Maître Brusa dénonce la réponse du ministère de la santé concernant l efficacité des vaccins