Figure de proue de l'anarchisme français, Alexandre Marius Jacob (1879-1954) fut honnête cambrioleur, écrivain, journaliste et mécène de la presse libertaire. Emprisonné en 1903 pour trois ans avant d'être jugé et envoyé au bagne, il écrivit Souvenirs d'un révolté dans le courant de l'année 1905, durant son procès aux quelques 156 chefs d'accusation. Ce récit retrace la dernière et malheureuse aventure d'Abbeville qui précède son arrestation. On y découvre le banditisme de la Belle Époque avec son franc-parler populaire et, surtout, un idéalisme libertaire en action. La première publication a été faite dans le journal Germinal en plusieurs feuilletons en 1905, et c'est dans ce même périodique et la même année que paraîtra Pourquoi j'ai cambriolé, véritable pamphlet anarchiste qui fait suite aux Souvenirs. Le vol est pour Marius Jacob une arme politique : "Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend." Ceux qu'on appelle les "travailleurs de la nuit" ne cherchent pas l'enrichissement personnel, mais l'effondrement d'un système inique. Les patrons, les détenteurs de capitaux s'enrichissent du labeur d'hommes, de femmes et d'enfants qui, malgré leur travail pénible, demeurent dans une misère insupportable. Le produit des cambriolages sert avant tout à soutenir la cause anarchiste et à venir en aide aux plus démunis, aux familles des anarchistes emprisonnés ou exécutés. Marius Jacob garde à peine de quoi vivre. Il faut relever qu'en 1905 naissait, sous la plume de Maurice Leblanc, le personnage d'Arsène Lupin. Les similitudes avec Marius Jacob sont si évidentes que le rapprochement fut vite fait mais l'écrivain niera s'en être inspiré
Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d'un trésor enfoui au pied des Pyramides. Lorsqu'il rencontre l'Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
"Ni Dieu Ni Maître" revient sur tous les grands événements de l'histoire sociale des deux derniers siècles et dévoile l’origine et le destin de ce courant politique qui combat depuis plus de 150 ans tous les maîtres et les dieux.
Né du capitalisme, frère ennemi du communisme d'Etat, l'anarchisme n'a eu de cesse de souffler son vent de justice et de liberté sur le monde. Et si certains libertaires purent se changer en criminels, jouant du revolver ou faisant parler la dynamite, on oublie qu'ils furent nombreux à proposer des alternatives et initier les grandes révolutions du XXe siècle.
A partir d’images d’archives inédites, de document oubliés, d’entretiens exclusifs avec les plus grands spécialistes du mouvement ouvrier, ce film exceptionnel raconte pour la première fois l’histoire de ce mouvement qui combat depuis plus de 150 ans tous les maîtres et les dieux et qui, de Paris à New York et de Tokyo à Buenos Aires, n'en finit pas de faire trembler le monde.
1ère partie : La Volupté de la destruction (1840-1914)
2eme partie : La Mémoire des vaincus (1911-1945)
Sam se retrouve dans la peau d'un pilote de l'US Air Force. Il doit échapper à la mort en tentant de passer mach 3 et sauver sa femme qui doit accoucher dans des conditions difficiles. Dans cet épisode, Sam est totalement amnésique.
Onze minutes est un roman de Paulo Coelho qui conte l'histoire d'une jeune fille brésilienne (Maria) qui se retrouve entraînée dans une vie de prostitution dans un pays qui lui est inconnu.
Selon l'auteur, le titre du livre évoque le temps réel d'une relation sexuelle sans fond.
The Right to be Lazy is an essay by Cuban-born French revolutionary Marxist Paul Lafargue, written from his London exile in 1880. The essay polemicizes heavily against then-contemporary liberal, conservative, Christian and even socialist ideas of work. Lafargue criticizes these ideas from a Marxist perspective as dogmatic and ultimately false by portraying the degeneration and enslavement of human existence when being subsumed under the primacy of the "right to work", and argues that laziness, combined with human creativity, is an important source of human progress.
"Ni Dieu Ni Maître" revient sur tous les grands événements de l'histoire sociale des deux derniers siècles et dévoile l’origine et le destin de ce courant politique qui combat depuis plus de 150 ans tous les maîtres et les dieux.
Né du capitalisme, frère ennemi du communisme d'Etat, l'anarchisme n'a eu de cesse de souffler son vent de justice et de liberté sur le monde. Et si certains libertaires purent se changer en criminels, jouant du revolver ou faisant parler la dynamite, on oublie qu'ils furent nombreux à proposer des alternatives et initier les grandes révolutions du XXe siècle.
A partir d’images d’archives inédites, de document oubliés, d’entretiens exclusifs avec les plus grands spécialistes du mouvement ouvrier, ce film exceptionnel raconte pour la première fois l’histoire de ce mouvement qui combat depuis plus de 150 ans tous les maîtres et les dieux et qui, de Paris à New York et de Tokyo à Buenos Aires, n'en finit pas de faire trembler le monde.
1ère partie : La Volupté de la destruction (1840-1914)
2eme partie : La Mémoire des vaincus (1911-1945)