Si des molécules de CO2 sont réparties dans un cube V dont l'arête a une longueur de 10 µm, une longueur d'onde typique du rayonnement infrarouge en question. Dans ce contexte, l'application des formules du rayonnement de la cavité est un pur non-sens. On ne saurait trop insister sur le fait qu'une théorie microscopique fournissant la base d'une dérivation de quantités macroscopiques telles que les coefficients de transport thermique ou électrique doit être une théorie à de nombreux éléments. Bien entendu, le transfert de chaleur est dû aux interactions électromagnétiques , interatomiques ,modifiées par le champ électromagnétique. Mais il est trompeur de considérer un photon comme une simple particule ou un paquet d'ondes voyageant d'un atome à l'autre, . Les choses sont beaucoup plus complexes et ne peuvent pas être comprises même dans une dualité (une) particule-onde ou un graphe de Feynman. En revanche:les quantités thermodynamiques macroscopiques contiennent beaucoup d'informations et peuvent être mesurées directement et avec précision dans les laboratoires de physique. Il est intéressant de noter que la conductivité thermique du CO2 ne représente que la moitié de celle de l'azote ou de l'oxygène. Dans une atmosphère à 100 % de CO2, une ampoule classique brille plus que dans une atmosphère d'azote et d'oxygène en raison de la conductivité thermique plus faible de son environnement; Mais cela n'a rien à voir avec le prétendu effet de serre du CO2, qui se réfère aux concentrations de gaz à l'état de traces. Les climatologues mondiaux affirment que l'effet de serre naturel de la Terre la maintient +33 ◦C qu'elle ne le serait sans les gaz à( l'état de traces )présents dans l'atmosphère( sinon elle serait à _18°c!!!). Environ 80 % de ce réchauffement est attribué à la vapeur d'eau, et 20 % aux 0,03 % de volume de CO2. Si Si un tel effet extrême existait, il se manifesterait même dans une expérience de laboratoire impliquant du CO2 concentré comme une anomalie de conductivité thermique, Il se manifesterait sous la forme d'un nouveau type de de "super-isolation" violant l'équation conventionnelle de conduction de la chaleur. Cependant, pour le CO2 de telles propriétés anormales de transport de la chaleur n'ont jamais été observées.