Invité à Florence, le prix Nobel, qui a remporté un important prix international en 2008 pour ses recherches sur le VIH, a récemment rencontré Ippocrate.org. Il a été accueilli par un groupe de journalistes accrédités et a répondu à quelques questions sur les vaccins et les possibilités alternatives. Concernant son opinion sur les effets secondaires des vaccins, Montagnier a commenté : "Oui, il y a effectivement des effets précoces de la vaccination que nous lisons dans les graphiques, en particulier ceux qui évaluent la gravité des vaccins au début de la vaccination et aussi des décès et des morts qui surviennent dans les jours qui suivent la vaccination". Selon le lauréat français du prix Nobel, il existe donc une corrélation entre ces décès et les vaccins : "Il est difficile de ne pas corréler la survenue de ces événements avec la vaccination elle-même, comme je pense que certaines personnes le font", a-t-il ajouté. Le virologue a ajouté que ces effets indésirables se produiraient chez des personnes en bonne santé, puisque "par définition, ceux qui veulent se faire vacciner sont en bonne santé et ne sont pas malades". Il a poursuivi en disant que la vaccination n'est pas conçue pour guérir une maladie, mais pour prévenir l'infection. Cependant, comme le note Montagnier, les graphiques montreraient que "le pic des décès augmente dans les jours qui suivent la vaccination". Un phénomène qui serait apparu dans n'importe quel pays, conduisant à l'hypothèse de l'existence d'un "résultat du vaccin". Mais quoi ? A la lumière de cette question, selon lui, on ne peut pas parler dans ce cas de véritables vaccins car "ce sont plutôt des produits biologiques avec des effets génétiques". Le doigt est pointé en particulier sur Pfizer et Moderna et en général sur les vaccins contenant de l'ARN. "Il y a des réactions très fortes chez certaines personnes ; il faut reconnaître ces incidents et la liste des effets secondaires. Je pense qu'il y a une limite que nous ne pouvons pas accepter, il y a un pourcentage de décès infiniment plus élevé qu'avec les autres vaccinations", a ajouté le virologue, soulevant d'autres doutes sur les vaccins et émettant l'hypothèse de décès causés par "un choc anaphylactique qui peut être causé par des composants qui ne sont pas des protéines mais qui accompagnent l'ARN du virus". Des déclarations très fortes