Les preuves archéologiques sur les origines négroïdes du peuple élu de Dieu. Après que les prouesses de la génétique moderne, de concert avec l’archéologie et l’histoire eurent démontré, sans ambages, les origines africaines de Jésus-Christ, les conspirationnistes de ce siècle et usurpateurs de l’identité juive demeurèrent perplexes. Humiliés dans leur arrogance raciale, et englués dans le piège de leurs mensonges séculaires, leur ultime plaidoirie, en désespoir de cause, fut que « La couleur noire de Jésus-Christ n’a pas d’importance ». Assurés de leur élection divine, les douze tribus d’Israël qui sont noirs par nature, aussi bien que tous les Noirs en général, ayant longtemps souffert de ces préjudices raciaux et de la perte de leur identité juive, exigent des suprémacistes blancs une réponse ultime à cette question : « Puisque le Christ crucifié était noir, pourquoi l’avez-vous alors blanchi à travers l’iconographie et vos films ? » Bien que la couleur noire de Jésus-Christ ne soit pas un thème de portée évangélique et qu’elle ne puisse aucunement sauver une âme, sa question demeure une vérité biblique occultée, depuis des siècles, qu’il convient de dévoiler pour la restauration de l’identité noire des auteurs de la Bible. Oui ! Tout aussi surprenant que cela puisse paraitre, sachez-le : dans sa nature humaine, le Dieu de la Bible est noir de peau ; Jésus-Christ, son fils unique, est noir et toutes les grandes figures de la Bible étaient de race négroïde. La Bible fut écrite par des Noirs, puisqu’elle est l’histoire du peuple noir. Explorez donc dans cet ouvrage, ces vérités indéniables et captivantes au travers des preuves archéologiques, historiques, bibliques et scientifiques. C’est l’heure du rétablissement de la vérité.

Des centaures, des sirènes, des dragons, des griffons, des lions, des oiseaux… Un cavalier pourchasse un cerf, un héros affronte un lion, un acrobate fait une roue de son corps, un visage barbu surgit des feuillages… D’où viennent ces personnages chimériques et ces scènes inattendues, qui peuplent les murs de nos églises anciennes ? Ce décor carnavalesque n’est à l’évidence pas tiré de la Bible. De nombreuses pistes indiquent que cette mythologie est d’origine celtique.

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Jésus-Christ est noir. Dans sa nature humaine, Dieu le Père est noir. Après que les prouesses de la génétique moderne, de concert avec l’archéologie et l’histoire eurent démontré, sans ambages, les origines africaines de Jésus-Christ, les conspirationnistes de ce siècle et usurpateurs de l’identité juive demeurèrent perplexes. Humiliés dans leur arrogance raciale, et englués dans le piège de leurs mensonges séculaires, leur ultime plaidoirie, en désespoir de cause, fut que « La couleur noire de Jésus-Christ n’a pas d’importance ». Assurés de leur élection divine, les douze tribus d’Israël qui sont noirs par nature, aussi bien que tous les Noirs en général, ayant longtemps souffert de ces préjudices raciaux et de la perte de leur identité juive, exigent des suprémacistes blancs une réponse ultime à cette question : « Puisque le Christ crucifié était noir, pourquoi l’avez-vous alors blanchi à travers l’iconographie et vos films ? » Bien que la couleur noire de Jésus-Christ ne soit pas un thème de portée évangélique et qu’elle ne puisse aucunement sauver une âme, sa question demeure une vérité biblique occultée, depuis des siècles, qu’il convient de dévoiler pour la restauration de l’identité noire des auteurs de la Bible. Oui ! Tout aussi surprenant que cela puisse paraître, sachez-le : dans sa nature humaine, le Dieu de la Bible est noir de peau ; Jésus-Christ, son fils unique, est noir et toutes les grandes figures de la Bible étaient de race négroïde. La Bible fut écrite par des Noirs, puisqu’ elle est l’histoire du peuple noir. Explorez donc dans cette vidéo, ces vérités indéniables et captivantes au travers des preuves archéologiques, historiques, bibliques et scientifiques. C’est l’heure du rétablissement de la vérité. Correction sur la vidéo en cours: En hébreu le mot Kusch signifie « noir » et le chiffre (1) qui lui est affecté se réfère à dieu. Ce qui revient au même de dire que Dieu est noir. (Il s'agit plutôt du Chiffre 26 et non le 1. En hébreu, la valeur numérique du nom de Dieu est la même que celle de l'adjectif Noir. Ce chiffre est le 26).