Jo (film 1971) avec Louis de Funès, Bernard Blier, Claude Gensac
Jo est un film français réalisé par Jean Girault, sorti en 1971. Synopsis Antoine Brisebard, auteur comique à succès, est victime de Jo, un maître-chanteur qui menace de dévoiler les origines familiales douteuses de sa femme. Résolu à se débarrasser de lui, Brisebard prétexte l'écriture d'une pièce policière afin de recueillir les ingrédients du crime parfait auprès de son ami avocat.
Malheureusement, lorsque la personne vient chercher la somme d'argent exigée, le plan de Brisebard ne se déroule pas comme prévu. À peine l'encaisseur éliminé (par accident, Brisebard n'ayant pas eu le courage de lui tirer dessus), les visiteurs les plus farfelus se succèdent dans sa maison : une dame tenace, exerçant le métier d'agent immobilier, accompagnée d'un couple excentrique d'acheteurs potentiels, une gouvernante émotive et un entrepreneur ayant récemment installé une gloriette offerte par Sylvie Brisebard à son mari à l'occasion de sa fête.
Brisebard a alors l'idée de dissimuler le cadavre encombrant dans les fondations de la gloriette, mais celle-ci s'avère bien plus fragile que ce qui était annoncé par l'entrepreneur, et il devient alors indispensable de cacher le corps ailleurs. Survient alors l'inspecteur Ducros qui ne tarde pas à révéler que Jo a été retrouvé assassiné loin du domicile des Brisebard. Antoine se demande alors qui il a bien pu tuer et devra dépenser des trésors d'ingéniosité pour dissimuler le corps aux yeux de la police et de tous les personnages qui vont et viennent dans la maison.
Réalisation Jean Girault Scénario Claude Magnier Jacques Vilfrid Musique Raymond Lefevre Acteurs principaux Louis de Funès Bernard Blier Claude Gensac
Sociétés de production Trianon Production Pays d’origine Drapeau de la France France Genre Comédie Film policier Durée 85 minutes Sortie 1971
Du mou dans la gâchette est un film français, coproduit avec l'Italie, réalisé par Louis Grospierre, sorti en 1967.
Synopsis
Nicolas Pappas et Léon Dubois, deux tueurs particulièrement calamiteux, arrivent à Paris, où un chef de gang en mal de « personnel », Jo Laguerre, les a engagés pour couvrir la fuite des auteurs d'un hold-up. Ils s'en tirent tant bien que mal et se voient ensuite chargés de liquider un certain « Magnum »…
Fiche technique
Titre : Du mou dans la gâchette
Réalisation : Louis Grospierre
Scénario : René Havard et Louis Grospierre, d'après une idée de Louis Grospierre
Dialogues : René Havard
Décors : Claude Bouxin
Photographie : François Charlet
Montage : Eric Pluet
Musique : Claude Bolling
Arrangement et direction musicale : Vladimir Cosma
Budget : NC
Production : Fida Cinematografica (Rome) et Les Productions Belles Rives (Paris)
Distribution : Les Films Fernand Rivers
Pays : Drapeau de la France France
Langue : français
Format : Eastmancolor - 1,37:1 - 35 mm - son mono
Durée : 85 minutes
Genre : Comédie
Date de sortie :
France - 30 août 1967
Distribution
Bernard Blier : Nicolas Pappas
Jean Lefebvre : Léon Dubois
Gastone Moschin : Jo Laguerre
Francis Blanche : « La Prudence »
Marc Lawrence : Magnum
Corinne Marchand : Valérie
Michel Serrault : l'armurier
Marcel Gassouk : un membre du service d'ordre (non crédité)
Carlo Cioccolanti
André Badin : « M. Badin » un homme de main de Jo Laguerre
Jacques Bertrand
Sébastien Floche
Fernand Berset : un homme de main de Magnum
Katia Christine
Francesco Rosano
Bernard Faure : l'élève de "La Prudence"
Jean-Paul Cisife : l'oncle de Léon Dubois
The Last Casino est un film canadien de 2004 sur le comptage des cartes . Ce film est également en français , intitulé La Mise Finale. Le film a été produit par Greg Dummett, Lorraine Richard et Madeleine Henri, réalisé par Pierre Gill
Résumé
Le professeur de mathématiques , Doug Barnes, joue au blackjack dans les casinos en utilisant une tactique connue sous le nom de comptage de cartes pour déplacer les chances en sa faveur. Wilson, un responsable de la sécurité du casino, capture le visage de Barnes et le met effectivement sur une liste noire du casino. L'usurier de Barnes, Orr, rencontre Barnes pour discuter de la manière dont il récupérera son argent après que Barnes soit banni du casino. Barnes suggère l'idée de créer une équipe de compteurs de cartes à partir des étudiants de l'université où Barnes enseigne. Orr coupe le bout des doigts de Barnes en expliquant que cela l'aidera à se souvenir de lui, et lui dit qu'il examinera sa proposition d'équipe. [5]
Après avoir cherché autour de l'université, Barnes recrute trois étudiants: George, qui a mémorisé pi 70 unités au-delà de la décimale; Scott, qui a réussi un test de mémorisation complexe; et Elyse, une serveuse qui mémorise avec succès une commande compliquée que Barnes prépare pour une pizza en peu de temps. Après les avoir convaincus que son plan comporte peu de risques, Barnes apprend aux élèves à compter les cartes. Barnes amène les étudiants à Orr et leur dit qu'il est leur investisseur. Orr accepte de donner de l'argent et dit à Barnes qu'ils sont partenaires et qu'il obtiendra 75% de la part de 50% de Barnes. [5]
Avant que le groupe ne se rende à son premier casino, Barnes leur donne des identités différentes. Au premier casino, George est submergé par le jeu et Elyse intervient pour aider. Après leur première nuit, ils gagnent 6 000 $. Le film se déroule dans un montage des étudiants au casino et à l'extérieur du casino, gagnant et dépensant leur argent en articles de luxe. Un soir au casino, Elyse est approché par un homme qui prétend qu'il poursuit les joueurs. Elyse lui demande s'il a remarqué des pros au casino ce soir-là et il fait remarquer à Scott, en disant qu'il est évident qu'il est un compteur de cartes. [5]
Réalisé par Pierre Gill
Produit par Greg Dummett
Lorraine Richard
Madeleine Henri
Écrit par Steven Westren
En vedette Charles Martin Smith
Katharine Isabelle
Kris Lemche
Julian Richings
Albert Chung
Musique par Martin Roy
Édité par Sylvain Lebel
Société de
production
Films astraux
Distribué par The Movie Network
Date de sortie
26 juin 2004
Temps de fonctionnement 92 minutes
Pays Canada
Langues Anglais
français
Le Pacha est un film franco-italien réalisé par Georges Lautner, sorti en 1968.
Synopsis
L'inspecteur de police Albert Gouvion est chargé de convoyer une importante collection de bijoux d'une valeur inestimable. Mais un dangereux et perfide truand, Marcel Lurat, dit « Quinquin » et ses complices font sauter le fourgon blindé au bazooka avant de s'emparer du butin. Quinquin va ensuite tuer un à un ses complices, y compris Gouvion, dont le meurtre est maquillé en accident ou en suicide.
Le commissaire divisionnaire Louis Joss, supérieur et ami d'enfance de Gouvion, ne croit pas à la thèse de l'accident et veut le venger. Il entreprend le ménage dans le milieu parisien (le « mitan » en argot).
Il organise la rencontre de deux bandes rivales (dont l'une est dirigée par Quinquin) à l'occasion d'un braquage, avec l'aide de la maîtresse de Gouvion, Nathalie Villar. Celle-ci, une jeune et belle serveuse dans une boîte de nuit, est la sœur de Léon de Lyon, un des complices éliminés par Quinquin après le braquage. L'inspecteur comprend que son vieux pote, (qu'il surnomme affectueusement « Albert, la galoche », « le Bonheur des Dames » ou « l'empereur des cons ») avait ce don de s'attirer les ennuis, toujours de pire en pire selon lui, en s'impliquant par faiblesse au milieu des gangsters pour impressionner et plaire à sa séduisante maîtresse.
Réalisation Georges Lautner
Scénario Georges Lautner
Michel Audiard
Albert Simonin
Acteurs principaux
Jean Gabin
Robert Dalban
Dany Carrel
Jean Gaven
André Pousse
Maurice Garrel
Louis Seigner
Sociétés de production Gafer
Rizzoli Film
Société Nouvelle des Établissements Gaumont
Pays d’origine Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Policier
Durée 82 minutes
Sortie 1968
Elle cause plus... elle flingue est un film franco-italien réalisé par Michel Audiard, sorti en 1972
Synopsis
La « princesse » d'un bidonville de Champigny-sur-Marne, à l'aide de ses serviteurs dignes d'une cour des miracles, recycle, dans une machine qui joue une samba, tous ceux qui lui tombent entre les mains. Leurs os servent ensuite parfois de « saintes reliques » aux autorités ecclésiastiques.
Un jour arrive une commande spéciale pour les reliques de Jésus. Un beatnik qui lui ressemble survient au même moment dans le bidonville. Suivront un journaliste et des gardiens de la paix.
Données clés
Réalisation Michel Audiard
Acteurs principaux
Annie Girardot
Bernard Blier
Charles Southwood
Maurice Biraud
Sociétés de production Les Films de La Boétie
Pays d’origine Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie
Sortie 1972
La Chatte est un film français réalisé par Henri Decoin en 1958. Ce film est fondé sur une histoire réelle, celle de Mathilde Carré, dite La Chatte.
Synopsis
Sous l'Occupation, après le décès de son mari, Cora (Françoise Arnoul) le remplace dans un réseau de Résistance pour dérober les plans d'une fusée allemande dans une usine. Elle prend le nom de code de La Chatte.
Prisonnière, elle refuse d'être libérée en livrant des noms de partisans. Cependant les Allemands ont déjà des photos et les identités précises. Vexés de son intégrité, ils manipulent la situation et la font apparaître comme traitre devant ses partenaires. Les Allemands la libèrent ensuite, sachant pertinemment qu'ils la livrent à la vindicte des rescapés. La Chatte est abattue peu après sa libération, en marchant dans une rue déserte, longeant les murs de la prison d'où elle a été libérée...
Fiche technique
Titre : La Chatte
Réalisation : Henri Decoin
Assistants réalisateur : Michel Deville, Edmond Agabra
Script-girl : Annie Rozier
Scénario : Henri Decoin, Jacques Rémy et Eugène Tucherer, adapté du roman de Jacques Rémy
Dialogue : Jacques Rémy
Décors : Lucien Aguettand, assisté de Alexandre Hinkis, Jacques Dugied
Costumes : Gladys de Segonzac
Photographie : Pierre Montazel
Opérateur : Robert Foucard
Son : Robert Teisseire
Musique : Joseph Kosma
Coiffures : Alex Archambault
Maquillage : Monique Archambault
Régisseur général : Maurice Hartwig, assisté de J. Fauvel
Régisseur extérieur : L. Germain
Montage : Claude Durand, assisté de M. L. Barberot
Production : Eugène Tucherer pour Élysée Films, Films Metzger et Woog
Distribution : Disci-Film
Photographe de plateau : Roger Forster
Pays d'origine : Drapeau de la France France
Format : noir et blanc - son mono (Western Electric) - 35 mm
Genre : drame
Durée : 108 minutes
Date de sortie :
France : 18 avril 1958 (Paris)
Distribution
Bernard Blier : capitaine Debrun
Françoise Arnoul : Suzanne Ménessier dite Cora
Roger Hanin : Pierre
André Versini : Henri
Bernhard Wicki : Bernard Werner
Mario David : un résistant
Kurt Meisel : capitaine Heinz Muller
Michel Jourdan : Olivier
Louison Roblin : Bernadette
Harald Wolff : colonel Richting
Marie Glory : la concierge
Pierre Mirat : cheminot
Lutz Gabor : ordonnance
Jacques Meyran : Fred, le barman
Grégoire Gromoff : un résistant
Claude Vernier : un soldat allemand
Christian Brocard : le cycliste abattu
Pierre Durou : un résistant
Albert Daumergue : un homme qui achète le jambon
Dominique Zardi
Françoise Fabrice
Vanna Urbino
Daniel Mendaille
Le Guignolo est un film franco-italien réalisé par Georges Lautner, sorti en 1980. C'est la deuxième des cinq collaborations entre Georges Lautner et Jean-Paul Belmondo, après Flic ou Voyou, sorti l'année précédente. Suivront Le Professionnel (1981), Joyeuses Pâques (1984) et L'Inconnu dans la maison (1992).
Alexandre Dupré (Jean-Paul Belmondo) est un séducteur et surtout un voleur, expert en cambriolage et autres méthodes de larcin, et tout particulièrement en « escroquerie vaudevillesque ». Récemment libéré de prison, il fait la connaissance de Sophie Chaperon (Mirella D'Angelo), une jeune femme qui pratique le même métier que lui. Ils s'associent mais, suite à un malentendu, leur première grande affaire tourne court. Dupré la quitte et prend alors l'avion pour Venise.
Au cours du voyage, il est abordé par un passager qui, sous un prétexte anodin, lui demande de passer la frontière italienne avec sa mallette. Cette mallette contient un briquet, dont il ignore qu'il cache un microfilm. Après qu'il a passé la frontière sans encombre, il se dirige vers le mystérieux passager pour lui rendre son bagage. Mais celui-ci est assassiné au même moment par un tireur embusqué.
Dupré arrive à son hôtel, sous un faux nom, et il pense pouvoir commencer tranquillement ses « affaires ». Mais il est toujours en possession de la mallette, et il ignore que celle-ci intéresse beaucoup de monde. Les choses se compliquent encore avec l'arrivée de Gina (Carla Romanelli), une ancienne amante et complice de Dupré. Et surtout, des groupes d'espions de différents pays sont prêts à tout pour récupérer le contenu de l'énigmatique mallette.
La Cuisine au beurre est un film franco-italien réalisé par Gilles Grangier et sorti en 1963.
Après quelques années passées en captivité durant la Seconde Guerre mondiale, puis en liberté auprès de Gerda en Autriche jusqu'au retour du mari de celle-ci, Fernand Jouvin, restaurateur marseillais rigolard et menteur, revient à Martigues pour retrouver son épouse Christiane. Mais il découvre que cette dernière, le croyant mort, s'est remariée avec André, un cuisinier normand, qui a transformé son petit restaurant en une table réputée. Fernand s'incruste dans son ancienne maison, et la rivalité s'installe entre le Normand travailleur et rigide, et le Marseillais paresseux et bon vivant.
Impossible... pas français est un film français comique, réalisé par Robert Lamoureux, sorti sur les écrans le 11 décembre 1974.
Synopsis
Antoine Brisset, comptable, se retrouve au chômage à la suite de la faillite de son patron qui a misé aux courses. Il reprend du travail avec son frère Louis, dans une agence de détectives privés dirigée par Albert Lombard. Ayant à fréquenter un club de ball-trap huppé pour les besoins d'une enquête, une série de malentendus le fait passer pour un industriel spécialisé dans l'import-export et se voit ainsi proposer une affaire : il touchera une commission de cent-vingt millions d'anciens francs s'il parvient à acheminer sous neuf jours trois cents tonnes de malachite verte au port du Havre. Les trois hommes se mettent à la recherche du précieux matériau qui s'avère introuvable. Mais, après des jours de recherche infructueuse, ils apprennent par hasard que cette marchandise est disponible à Barcelone.
Cependant, en raison d'une grève des dockers, il ne lui reste comme solution que de transporter la malachite par camion. Une course contre la montre s'ensuit pour répondre aux engagements pris auprès du commanditaire, Nadar. Heureusement, à Barcelone, Antoine retrouve par hasard le comte de Bonfort qui lui propose de l'aide : en particulier, de lui fournir des camions via une de ses relations, le prince Siranos de Pozos. Mais plusieurs problèmes de taille : Antoine, Louis et Albert n'ont pas conduit de poids lourds depuis leur service militaire, les femmes respectives d'Antoine et Louis ont dépensé par avance, dans des biens immobiliers, l'argent de la future commission et le chèque d'acompte, non barré et perdu par Antoine, a été encaissé par un jardinier indélicat.
L'aventure est encore compliquée par la tentative de vol d'un camion par un chauffeur malhonnête, membre d'une mystérieuse organisation et engagé d'urgence à Barcelone, des erreurs d'itinéraires et le bras et la jambe cassés d'Albert…
Données clés
Réalisation Robert Lamoureux
Acteurs principaux
Pierre Mondy
Jean Lefebvre
Pierre Tornade
Claire Maurier
Pays d’origine Drapeau de la France France
Genre Comédie
Durée 92 minutes
Sortie 197
Ne nous fâchons pas est un film français réalisé par Georges Lautner, sorti le 20 avril 1966.
Synopsis
Antoine Beretto, alias « Tonio », est un ancien gangster qui s'est recyclé dans un commerce de location de bateaux, ski nautique, et école de plongée à Collioure. Deux anciens complices, traqués par la brigade anti-gang, lui rendent visite pour lui emprunter de l'argent et lui demander de les faire passer en Italie par la mer. Beretto, d'abord réticent, finit par accepter et leur avance quatre millions (c'est-à-dire 40 000 nouveaux francs).
Afin qu'il puisse récupérer son argent, les deux malfrats en cavale lui donnent le nom de Léonard Michalon, un escroc qui s'est évaporé avec l'argent d'un pari placé à l'hippodrome de Cagnes-sur-Mer. Michalon est un bookmaker véreux. Il prend des paris clandestins aux courses en faisant miroiter des gains mirobolants mais s'escamote en fait avec l'argent. Antoine Beretto retrouve Michalon par l'intermédiaire d'un ami, Jeff, comme lui gangster rangé. Celui-ci le met en garde : Michalon est lâche et traître. C'est un parasite qui fait profession d'escroquer les autres pour des sommes minables. Il ne mérite pas l'effort qu'on aille le chercher et il risque de causer plus de problèmes que d'en résoudre.
Une fois débusqué, Léonard se révèle conforme à la description de Jeff : passif, geignard, poissard, déloyal et insolvable. Mais surtout, il est recherché par le gang excentrique du mystérieux « colonel » McLean, sujet britannique qui, pour une raison inconnue, semble déterminé à le tuer. Antoine et Jeff vont devoir tout mettre en œuvre pour protéger Léonard des essais destructeurs du colonel.
Données clés
Réalisation Georges Lautner
Scénario Michel Audiard
Marcel Jullian
Georges Lautner
Jean Marsan
Musique Bernard Gérard
Acteurs principaux
Lino Ventura
Jean Lefebvre
Mireille Darc
Michel Constantin
Sociétés de production Gaumont
Alain Poiré
Pays d’origine Drapeau de la France France
Genre Comédie policière
Durée 100 minutes
Sortie 1966
Lieux de tournage
Le tournage s'est déroulé à Nice (pour les scènes à l'aéroport), au Cap d'Antibes, et principalement à Roquebrune-Cap-Martin où se trouve toujours le bâtiment du restaurant (Le Homard américain dans le film, Le Sporting de son vrai nom à l'époque, aujourd'hui transformé en villa de luxe). Le haras est le centre équestre de Villeneuve-Loubet1. Pour la scène du pont, Georges Lautner profita de la destruction du pilier central du viaduc de Malvan (coupé en deux en 1944), vestige de la ligne de tramway Cagnes-Vence, situé à proximité de Saint-Paul-de-Vence.