Vous dire quelle est étrange c'est bizarre non ? Enfin ce n'est pas la planète qui est étrange, mais les animaux qui se disent évolués qui la peuple, alors eux ils sont étranges, merde j'en fais partie, je suis un "homme" un être "humain" ! Désolé j'ai honte de ce fait ! Car quelle vie on nous fait mener ! Enfin si dans ces méandres infernaux vous vous y retrouvez, je dirais que vous avez une sacré chance, ou alors vos yeux à l'instar de votre esprit sont fermés !
Je vous partage un peu de ma folie !
il faut que je m’y colle car ma tête est folle comme un Ravachol
au-delà des mots j’essaie de penser oui mais rien ne colle
me voilà lancer j’peux plus m’arrêter oui je caracole
mais si je m’envole veuillez me stopper il y a danger
J’ai fais un rêve cette nuit
le vent la forêt et ses bruits
la simplicité de vivre dans la nature
loin de cette folie d’aujourd’hui
C’était il y a longtemps
quelque part près de l’océan
le long d’une côte sous le vent
et le bruit des rires des enfants
En ce temps là pas de roi
nous vivions entre êtres humains
la nature nous nourrissait
de son abondance et ses bienfaits
nous étions alors des chasseurs cueilleurs
nous vivions dans des huttes un village lacustre
les forêts étaient immense l’air était pur
la vie était douce sans penser au futur
La grotte de Platon ou comment détourner l'attention diviser pour mieux régner ! Enfin de la philo accessible à tous ! c'est important écoutez jusqu'au bout !
Un message subliminal aux enfants de la haine à ceux qui nous mènent, enfin qui essayent ! Ces gens veulent le monde pour eux seuls, mais ce sont des veules cachés derrière leur F-D-O et leur pognon, quelques familles maléfiques et leurs subordonnés qui président à nos destinées, allons-nous laisser ces médiocres pleutres et traitres nous la mettre à l'envers, ou bien allons-nous leur jouer un tour ?
le texte :
La haine
Ami ressens-tu le vol noir du rapace et sa haine
Ami connais-tu le cri sourd dans ton ventre de la peine
Ce cri que tu lances quand déborde la haine
Celui qui déclenche d’étranges phénomènes
Ami dans tes murs même l’espoir te nourrit de colère
Les murs de ces prisons qui t’enchaînent et t’emmènent en enfer
La loi dans sa fureur nous emmène à la guerre
La guerre contre nos frères parce qu’ils sont militaires
La faim, la peur, la haine
Regarde ton pays la pire des trahisons le gangrène
Au fond de ta prison tu enrages chaque soir ton cœur saigne
Les murs tomberont la bastille est tombée
Un jour tous ces traitres finiront au gibet (au gibet)
Regarde l’horizon la couleur de la vie est la même
Seigneurs aux châteaux et esclaves qui triment sur les plaines
Le fouet qui caresse tout brillant de dorures
La main qui domine le monde des ordures
La faim, la peur, la haine
Ami écoute-moi la douleur pour moi est la même
Le sang qui bouillonne dans mes veines répond à ton appel
La loi n’est qu’injustice au nom d’la pourriture
Politique et police du sang sur nos futurs (no futur)
Ami entends-tu le bruit sourd de la révolte dans les ombres
Ami lève-toi abattons la corruption qui nous inonde
Alors nous nous battrons la cravate aux bourgeois
Et dans ce nouveau monde nous rayerons de la loi
La faim, la peur, la haine
H-Matos 1989
Nous sommes dévorés de l'intérieur par des forces obscures des esprits pourtant pas fameux de finesse, mais plutôt des ogres organisés en corporations maléfiques, la sagesse a disparue, la force est dévoyé, le monde se meurt et le troupeau pait et paye sa propre fin !