Reprendre le pouvoir. Le titre du dernier essai de François Boulo a le mérite d’être compréhensible par tout citoyen qui a un jour goûté à la sensation étrange de n’avoir, en réalité, aucun moyen de peser réellement dans le cours de l’histoire de son pays. Une sensation d’autant plus étrange qu’à première vue, nous sommes en démocratie. Nous pouvons élire notre président de la République, notre député, notre maire, nos conseillers régionaux.
Et pourtant. Il y a un malaise démocratique en France et plus largement dans le monde. Il se double aussi d’une sorte de lent déclassement des classes populaires en Occident, où un néolibéralisme conquérant impose désormais sa règle d’airain. Ce mouvement préoccupant s’est accéléré avec la crise financière de 2008 et s’accentue avec la crise sanitaire que nous vivons.
Que deviennent les Gilets jaunes, courant né du refus de l’ordre qui se consolidait avant même le COVID 19 et ses confinements ? Le mouvement est-il mort ? Peut-il se réinventer ? Ne vaut-il que parce qu’il a été le signe du retour de la lutte des classes qui s’exprimera dès que la vie sociale reprendra ?
C’est autour de ces questionnements que se structure cet entretien avec François Boulo, avocat au barreau de Rouen, très vite devenu une figure de proue des Gilets jaunes. Une figure de proue qui a aujourd’hui pris du recul sans cesser de combattre, et qui s’exprime désormais sur sa chaîne Youtube, dénommée Praxis.
Source - https://www.youtube.com/watch?v=jJVbSHdttbY
Avec le Dr Maudrux, qui tient un site très suivi :
https://blog.gerardmaudrux.lequotidie...
La liberté des médecins, hélas écartés de la gestion de crise, leur peur de s'exprimer, son regard sur le vaccin "expérimental"...
Autant de sujets évoqués en toute liberté.
https://www.francesoir.fr/opinions-en...
Source - https://www.youtube.com/watch?v=E7RrwFrpZqg&ab_channel=FranceSoir
Le Grand Réveil passe par la nécessaire prise de conscience du biais médiatique et du formatage de la pensée par la presse journalistique. Nous sommes à l'aube d'un tel réveil.
Source - https://odysee.com/@Radio-Quebec:a/medias:4dd
Conférence de Ernst Wolff ( https://www.youtube.com/watch?v=VM-sNKNd-CU ) au WEFF ( https://www.weff.ch/ ) de Davos (en pied de nez au WEF de Schwab)
Pour la 1ère fois en version originale + sous-titrage ?? pour LLP ( https://lelibrepenseur.org/ )
Auteur, journaliste et expert en matière d'économie et de finance mondialisée, Ernst Wolff ( https://de.wikipedia.org/wiki/ErnstWolff (Journalist ) )
a probablement prononcé l'un des meilleurs discours de l'histoire contemporaine, une exposition concise sur l'ensemble du faux narratif Covid qui démystifie la fraude de A à Z.
Il révèle et montre en détail les personnes dans les coulisses, où ils nous mènent, pourquoi ils le font et pourquoi éventuellement, ils échoueront...
Il termine par un message plein d'espoir sur ce que nous pouvons faire pour empêcher que la vision dystopique du Schwabisme et de ses partisans ne devienne « la nouvelle normalité » et ainsi sauver l'humanité de la dictature totale et de l'esclavage.
⚠️Les preuves citées en début de vidéo ont été publiées depuis par un Allemand anonyme ( https://t.me/Salim_Laibi_LLP/3984 ). ?
Source - https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org:2/d%C3%A9possession-totale-Ernst-wolff-LLP:e
Paroles de Jean-Baptiste Clément sur l'air du Chant des Paysans de Pierre Dupont.
Cette chanson a été écrite en juin 1871 en pleine période de répression.
Après que les Communards aient tenu la capitale pendant deux mois, les cent mille hommes de Thiers reconquièrent Paris rue par rue, maison par maison, du 20 au 27 mai, au cours de la Semaine sanglante. La répression est impitoyable.
Elle fait au moins trente mille morts."
Interprétation 1969 Marc OG
En savoir plus sur "La commune de Paris 1871" - Site de "L’Association des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871"
http://www.commune1871.org/
Sous-titrage des textes : http://drapeaurouge.free.fr/semaine_sanglante.html
Source vidéo - https://www.youtube.com/watch?v=o8Xh_RGS3_Q
Paroles
La Semaine Sanglante
Sauf des mouchards et des gendarmes,
On ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,
Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère,
Les heureux mêmes sont tremblants.
La mode est aux conseils de guerre,
Et les pavés sont tout sanglants.
Refrain
Oui mais !
Ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront.
Et gare ! à la revanche
Quand tous les pauvres s’y mettront.
Quand tous les pauvres s’y mettront.
Les journaux de l'ex-préfecture
Les flibustiers, les gens tarés,
Les parvenus par l'aventure,
Les complaisants, les décorés
Gens de Bourse et de coin de rues,
Amants de filles au rebut,
Grouillent comme un tas de verrues,
Sur les cadavres des vaincus.
Refrain
On traque, on enchaîne, on fusille
Tous ceux qu’on ramasse au hasard.
La mère à côté de sa fille,
L'enfant dans les bras du vieillard.
Les châtiments du drapeau rouge
Sont remplacés par la terreur
De tous les chenapans de bouges,
Valets de rois et d'empereurs.
Refrain
Nous voilà rendus aux jésuites
Aux Mac-Mahon, aux Dupanloup.
Il va pleuvoir des eaux bénites,
Les troncs vont faire un argent fou.
Dès demain, en réjouissance
Et Saint-Eustache et l’Opéra
Vont se refaire concurrence,
Et le bagne se peuplera.
Refrain
Demain les manons, les lorettes
Et les dames des beaux faubourgs
Porteront sur leurs collerettes
Des chassepots et des tambours
On mettra tout au tricolore,
Les plats du jour et les rubans,
Pendant que le héros Pandore
Fera fusiller nos enfants.
Refrain
Demain les gens de la police
Refleuriront sur le trottoir,
Fiers de leurs états de service,
Et le pistolet en sautoir.
Sans pain, sans travail et sans armes,
Nous allons être gouvernés
Par des mouchards et des gendarmes,
Des sabre-peuple et des curés.
Refrain
Le peuple au collier de misère
Sera-t-il donc toujours rivé ?
Jusques à quand les gens de guerre
Tiendront-ils le haut du pavé ?
Jusques à quand la Sainte Clique
Nous croira-t-elle un vil bétail ?
À quand enfin la République
De la Justice et du Travail ?
Refrain