Arthur confie Bohort au maître d’armes pour l’aguerrir un peu. Celui-ci, après l'avoir asticoté, finit par réveiller la fougue martiale du chevalier, qui se déchaine. À la bataille suivante, alors que le roi décide du replis, Bohort charge seul. Une fois Bohort à l'infirmerie, Arthur est obligé de le faire garder, sans quoi Bohort retournerait au combat.
Arthur attend l'espion avec son rapport. Il paraît que c'est un as... Il attend... Pendant ce temps, au camp de Lancelot, on interroge un « marchand... euh... de bêtes ! »
Lancelot et Arthur ont rendez-vous à la taverne. Ferghus et Venec ont organisé la rencontre, mais semblent peu à l'aise à l'idée de s'approcher du bâtiment.
Séli a cuisiné une tarte aux myrtilles qui s’avère immangeable, mais Arthur, Guenièvre et Léodagan sont contraints de la manger. Ce dessert lance une discussion enlevée autour des traditions familiales et de l’absence d’héritier.
Arthur est obligé d'accompagner Perceval et Karadoc en mission, qui font preuve d'une bêtise particulièrement épaisse... mais eux pensent qu'ils progressent.
Guenièvre et Séli contractent des motifs rouges sur la peau, après s’être rendues près d’un cercle de pierre. Arthur et Léodagan font donc construire des remparts autour des cercles de pierre pour éviter les inconvénients. Le jour suivant, la mère et la fille ont de nouvelles marques : elles se sont rendues sur un cercle de culture. Arthur demande à Léodagan de construire des remparts autour des champs, ce qui ne manque pas de faire réagir Guethenoc.
Arthur et Lancelot ont une nouvelle fois quitté le château en tenue de paysans, pour voyager en sécurité. Ils rentrent au château séparément. Une nouvelle fois, Arthur se fait capturer par ses gardes qui ne le reconnaissent pas. Et Lancelot fait son obtus : il ne veut pas le libérer avant d'être sûr que c'est bien Arthur.
Arthur trouve que le personnel de Kaamelott se fait rare. Dans le même temps, il s'adresse à Venec, le marchand d’esclaves, pour libérer des galériens. Mais il découvre que Venec fait travailler le personnel de Kaamelott comme esclave dans d'autres établissements. Arthur explique alors que ces esclaves ont été affranchis.