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La vaccination, booster de pandémie ?
Il ne se passe pas un jour sans qu'on entende dire que les personnes non vaccinées sont responsables de la pandémie qui persiste. La « pandémie des non vaccinés », c’est le slogan par excellence. Mais cela correspond-il à la réalité ?
Regardons les chiffres officiels : Selon ces chiffres, en Allemagne, du mois d'août au mois d'octobre 2020, alors que 100 % de la population était encore NON vaccinée, on a officiellement recensé 1 377 morts du Covid. Au cours de la même période en 2021, 3 718 personnes sont officiellement décédées du Covid, c'est-à-dire 2,5 fois plus. Selon le ministère fédéral allemand de la Santé, 75 % de la population âgée de 12 ans et plus était toutefois vaccinée au 30 octobre 2021.
S'il s'agissait réellement d'une « pandémie des non-vaccinés », de sorte que seuls ces derniers seraient touchés, les 25 % non-vaccinés devraient tomber malade ou mourir au moins dix fois plus du Covid. Or, ce n'est manifestement pas le cas.
En ce qui concerne ces faits, l'Allemagne n'est pas un cas isolé. Ainsi, pratiquement aucun des pays dans lesquels plus de la moitié de la population a été vaccinée n'a signalé moins de décès Covid qu'en 2020 au cours de la même période. La plupart des pays ont même enregistré nettement plus de décès et un nombre d'infections plus élevé qu'avant le début des vaccinations. En voici quelques exemples :
En Lituanie et en Malaisie, où le taux de vaccination est similaire à celui de l'Allemagne : près de 16 fois plus de personnes sont décédées du Covid en Lituanie au cours des trois derniers mois et 160 fois plus de personnes en Malaisie en comparaison aux trois mêmes mois de l'année dernière.
Le comté de Waterford, en Irlande, présente les taux d'infection les plus élevés, bien que 99,7 % de la population âgée de 18 ans et plus y soit vaccinée.
Le Kenya n'a pratiquement plus de cas de Covid, avec un taux de vaccination d'à peine 2 à 6 %.
Israël a enregistré le plus grand nombre de cas de Covid en juillet 2021, avec 60 % de personnes vaccinées, bien qu'il ait été le premier pays à atteindre un taux de vaccination aussi élevé.
Une étude israélienne portant sur 23 patients infectés par le Covid, lors d'une nouvelle épidémie dans un hôpital, montre que sur les 21 patients entièrement vaccinés, cinq sont morts et dix autres ont eu une évolution modérée ou critique de la maladie. En revanche, les deux patients non vaccinés n'ont eu qu'une évolution bénigne de la maladie.
Aux États-Unis, une analyse faite dans 2 947 des 3 144 comtés montre que les trois comtés qui ont les taux de vaccination les plus élevés (plus de 90 %) ont tous un taux de contagion élevé. En revanche, sur les 57 comtés ayant un faible taux d'infection, 15 d’entre eux ont un taux de vaccination inférieur à 20 %.
Une étude comparative mondiale portant sur 68 pays montre que les pays à faible taux de vaccination ont moins de cas de Covid que ceux à taux élevé.
Comment alors expliquer que des taux de vaccination élevés entraînent généralement des taux de mortalité et d'infection au Covid plus élevés ?
L'une des raisons semble être l'efficacité insuffisante des vaccins. Le ministère israélien de la Santé a déterminé que l'efficacité de deux doses de vaccin de Pfizer-BioN Tech était nettement inférieure aux 96 % indiqués dans l'étude d'autorisation. Pour les vaccinations datant de trois à six mois, la protection moyenne contre une infection avec symptômes n'était plus que de 39 %. Pour les personnes vaccinées depuis plus longtemps, la protection n'était même plus que de 16 %. D'autre part, de nombreux scientifiques et médecins éminents ont averti à l'avance que les vaccins n'étaient pas sûrs et pouvaient entraîner de graves problèmes de santé. L'un d'entre eux est le professeur Sucharit Bhakdi, spécialiste en microbiologie et en épidémiologie infectieuse. Il a déclaré qu'une inflammation causée par le SRAS-CoV2 pouvait être renforcée par les amplificateurs immunitaires contenus dans le vaccin.
« Et ce que je vais vous dire, c'est mon hypothèse, dont j'aimerais qu'on discute. Les amplificateurs immunitaires renforcent l'émission de messagers immunitaires qui augmentent l'inflammation. Cela signifie que si vous avez une infection virale et que vous développez une inflammation et que des amplificateurs immunitaires sont impliqués quelque part, parce qu'ils ont été injectés auparavant, alors cette inflammation est renforcée par le SRAS-CoV2. »
Le Dr Carrie Madej, spécialiste en médecine interne et en ostéopathie, estimait également qu'il y aurait plus de décès et une fréquence plus élevée de maladies suite à la vaccination. « Supposons donc qu'ils nous administrent ce vaccin. Tout le monde a l'air bien au début, non ? Et puis, que se passe-t-il si ces personnes sont exposées à un simple rhume, une grippe, un Covid-20 ou quoi que ce soit de semblable ? Je m'attends donc, tout comme mes collègues, à plus de décès, plus de morbidité, plus de problèmes...
Source: https://www.kla.tv
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