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À l’approche de Noël, Le Club des Hommes en Noir évoque ce dogme si souvent mal compris. Pour faire un don et aider le Club des Hommes en Noir : https://www.helloasso.com/association... Cette semaine, le Club des Hommes en Noir composé de l'abbé Barthe, du père Viot, du père Jean-François Thomas et de Jean Pierre-Maugendre, sous la direction de Philippe Maxence aborde l'infaillibilité pontificale à l'occasion des 150 ans de Pastor Æternus. ______________________________________________________________ Pour soutenir cette aventure et bénéficier d'une déduction fiscale cliquez ici : https://www.helloasso.com/association... Abonnez-vous à notre chaine Youtube pour ne rien rater et activez la cloche des notifications ! Un commentaire de Z: Merci infiniment à tous ! Passionnant et profond sujet (en espérant vivement qu' il y en aura d'autres car ce thème est inépuisable ) . Comme on le voit , à l'image de ce débat révélateur de la complexité du sujet sur l'infaillibilité et sa dogmatique en remontant sa genèse jusqu’à aujourd'hui , c'est en effet une thématique très dense à démêler avec des rebondissements historiques et des soubresauts douloureux et qui paraissent si abscons aux yeux du laïc et fidèle . On se demande effectivement pourquoi on en est arrivé là aujourd'hui, dans cette complexification quasi OPAQUE sur l'infaillibilité pontificale de ce dernier concile, avec toutes ces distinctions et ces niveaux de définitions tout en s' entremêlant dans des contours flous et poreux, un flou artistique (apparent) avec cette fameuse "pastorale" qui laisse le champ effectivement à toutes sortes de mésinterprétations et de malentendus divers. D’où est venu (déclencheur clé) en effet, avec le dernier concile, ce fameux mystère sur cette envie dans l’Église de rester éloigné le plus loin possible (frilosité ? Tiédeur ? Entrisme et collusion de fumées de Satan ? Crainte ? Mais de quoi ?) de tout ce qui pourrait s'apparenter à de la dogmatique qu' il aurait fallu embrasser en Vérité (au lieu de circonvolutions dans tous les sens pour ne surtout plus y aller tout en donnant l'impression que l'infaillibilité reste tout de même partout et nul part au final) , comme s'en interroge judicieusement l'abbé Barthe lui même par l’intermédiaire du pertinent père Thomas ? L'abbé Barthe finit par admettre que nous sommes bel et bien dans ce flou aujourd'hui, et termine ce débat par cette conclusion, sous forme de questionnement très perspicace, ou la non possibilité de réponse claire et précise sur ce fameux mystère ou Dieu semble s’être totalement retiré , est très révelatrice, non seulement de l'image et de la couleur indéfinissables qui sont ressorties des fruits amers de ce concile (et/ou de sa mésinterprétation) aux conséquences factuellement , objectivement désastreuses et confuses pour notre époque, constat âpre et incontestable , mais aussi de l'état de déliquescence et de déréliction des relations calamiteuses entre l’Église et son troupeau de fidèles . Fidèles qui se sont égarés dans cette Église , ont fini par douter , et qui (en parti pour ces raisons là) ont fini par déserter les dernières messes graduellement , puis ont pris la fuite subitement en s'étant autorisés par la suite , une liberté de ton contre l’Église , liberté déjà bien amorcée par l'apostasie avancée et la déchristianisation de l'Occident dans une époque et un contexte inédits de libertarisme des mœurs qui plus est . . Comment se fait il que dans l’Église il ne soit pas ou plus possible de redresser la barre et de reprendre un gouvernail et un cap plus clair et mieux défini aujourd'hui ? Serions nous à l'aube d'un changement de paradigme ( pour le meilleur ou davantage pire) ou bien la situation ubuesque , intenable et pour l'heure , kafkaïenne, de cette phase moribonde de l’Église, va t'elle perdurer encore longtemps sur ce registre entamant déjà ainsi l'agonie interminable qu'elle est censée subir , à l'image de la passion du Christ ? Que Dieu vous garde et nous préserve .