Dans le cadre d'un don d'organe, on prélève sur le « mort qui est vivant » son cœur vivant et qui bat et les organes vivants. Et cela nécessite même une anesthésie, car les « morts » réagissent à la douleur de l'opération de la même manière que les vivants. Le pouls s'accélère, la tension artérielle varie, des hormones sont libérées, des mouvements involontaires se produisent. C’est effrayant pour les médecins. C'est pourquoi le prétendu « cadavre » est parfois mis sous anesthésie générale, en Suisse, c'est même obligatoire. Les femmes en état de mort cérébrale peuvent accoucher. Les hommes en état de mort cérébrale peuvent avoir des érections. Les hommes en état de mort cérébrale peuvent réagir à des stimuli extérieurs, les mouvements des bras et des jambes sont possibles
« La mort cérébrale n'est pas un fait scientifique. Ce n'est pas un diagnostic médical. » Dr Robert Truog, pédiatre américain
« La mort cérébrale n'existe pas, c'est une invention de la médecine de transplantation. » Franko Rest, chercheur allemand sur la mort et l’éthique
En 1996 le Dr Zieger a rapporté à la commission sanitaire du parlement allemand que les patients dans le coma réagissent clairement aux événements extérieurs et aux stimuli sociaux, comme par exemple les visites de la famille. Le corps des morts cérébraux est chaud, leur métabolisme fonctionne. Les morts cérébraux combattent les infections et les blessures, en ayant par exemple de la fièvre. Afin qu’ils ne meurent pas, on doit nourrir, soigner, surveiller, tester les morts cérébraux et leur donner des médicaments. Les morts cérébraux sont réanimés si nécessaire. N'est-ce pas une contradiction dans les termes : réanimer des morts ? Le critère de la mort cérébrale a été introduit en 1968 expressément dans le but d'obtenir des organes. Pour les adieux des proches, le personnel infirmier a pour consigne de faire des injections de décontractants musculaires « aux morts agités » afin qu'ils ne bougent pas lors des adieux.
« Le prélèvement d'organes sur une personne encore vivante est un homicide punissable par la loi. La mort cérébrale a été déclarée mort humaine, afin d’obtenir sans se rendre punissables, des organes vivants qui peuvent se conserver. » Prof. Klaus Peter Jörns, directeur émérite de l'Institut de religion-sociologie de la Faculté de théologie de l'Université Humboldt de Berlin
« Le prélèvement d'organes est un meurtre », Dr David Evans, cardiologue et conférencier britannique
Lorsqu’on incise le corps du cou à la symphyse pubienne alors que le cœur bat, la pression artérielle, le rythme cardiaque et l'adrénaline augmentent. Des rougeurs du visage, des rougeurs étendues sur la
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