Sommé le 6 janvier 2022, par 290 requérant.es des 4 départements de la région académique Bretagne, de répondre à 25 questions précises sur les mesures prétendumet sanitaires de l'Education nationale et véritablement maltraitantes envers des millions d'enfants et d'adolescent.es, le recteur Emmanuel Ethis a fait répondre le 18 janvier... qu'il ne répondrait pas à ces questions !
Né en 1956, Guy Mettan est un journaliste, écrivain et homme politique suisse. Il a notamment été directeur et rédacteur en chef de la Tribune de Genève et a fondé le Club suisse de la presse. Entre autres activités, il a été vice-président de la Joint Chambers of Commerce Suisse-Russie, ainsi que président de la Croix Rouge genevoise. En 1994, son épouse et lui acquièrent la nationalité russe car ils avaient des années plus tôt adopté une petite orpheline russe. Guy Mettan a reçu du gouvernement russe, le 8 février 2017, la médaille de l’amitié. En mai 2015, après avoir été choqué de la couverture médiatique du coup d'état à Kiev en Ukraine, il publie le livre « Russie-Occident, une guerre de mille ans. La russophobie de Charlemagne à la crise ukrainienne » (Éditions des Syrtes).
Jocelyne Chassard diffuse un entretien de Guy Mettan avec le Cercle de l'Aréopage en 2016, à propos de ce livre.
Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=G-W7w7YAFBU
Commentaires sur les points historiques suivants :
querelle du Filioque ayant déclenché le schisme d'Orient en 1054 entre les chrétiens catholiques et les orthodoxes ;
volonté hégémonique des USA dès 1823 (doctrine Monroe), puis 1899 (Portes ouvertes en Chine) ;
soviétophobie des USA des 1918 (intervention entre 1918 et 1921) et Peur des Rouges (Red Scare) en 1919-1921 ;
déclenchement de la Guerre froide par les USA et le RU en 1946 ;
4 exemples récents de dénigrement injustifié de la Russie dans les merdias de grand chemin occidentaux : collision de 2 avions (dont l'un russe) en 2002 ; prise d'otages à l'école de Beslan en Ossétie du Sud en 2004 ; agression de la Géorgie en Ossétie du Nord et riposte de la Russie en 2008 ; Jeux olympiques d'hiver 2014 à Sotchi ;
comparaison des pertes militaires soviétiques (13 millions de soldats) et états-uniens (300.000) à la fin de la guerre 1941-1945 : occultation du rôle essentiel de l'Armée rouge dans la victoire contre les fascismes.
Myriam Sakhri était une gendarme de 32 ans, conscient de sa mission de protection des citoyen.nes, combative et pleine de vie.
Le 24 septembre 2011, elle est retrouvée morte d'une balle dans l'abdomen, dans son logement de fonction à Lyon.
L'enquête de gendarmerie conclura à un suicide pour raisons personnelles mais la famille Sakhri ne croit pas à cette explication et envisage un homicide, vu le contexte professionnel conflictuel que subissait Myriam depuis des mois.
Le 30 avril 2012, Canal + a diffusé un reportage Spécial Investigation de Xavier Deleu sur cette mort controversée : de nombreux témoignages confirment le harcèlement moral subi par cette jeune femme et son intention de riposter au pénal.
Le film est aussi disponible sur Dailymotion : https://www.dailymotion.com/video/xqtw2p
Profession Gendarme : https://www.profession-gendarme.com/la-decision-sur-un-proces-pour-laffaire-de-la-gendarme-sakhri-de-nouveau-renvoyee-par-la-cour-dappel-de-lyon/
Dans cet épisode, j'explique 3 traits de mon caractère : l'investissement dans ma mission d'enseignante, mon intégrité morale et le fait d'être HPI (haut potentiel intellectuel). J'anticipe ainsi sur l'examen de personnalité qui fait partie de l'audience : nul doute que la procureure Ombelline Mahuzier tentera de dresser de moi un portrait caricatural, comme l'ont fait des hiérarques du rectorat de l'académie de Reims depuis que j'ai porté plainte pour harcèlement moral, le 1er juillet 2016.
La guerre que Macron a déclaré à la population française le 16 mars 2020 n'est pas finie !
Chaque citoyen.ne peut faire une ou plusieurs des actions présentées dans cette vidéo.
Action 1 : le Boycott bleu des 15, 16 et 17 août 2022 : boycotter la carte bleue, les paiements numériques, les grandes surfaces, les GAFAM...
Action 2 : 17:40 : soutenir la Marche de l'Indignation, du 13 au 21 août 2022, dans 5 pays d'Europe, à l'initiative du Dr. Benoît Ochs.
Action 3 : 39:09 : interpeller par courriel les membres de l'O.P.E.C.S.T. pour que continue l'enquête sur les effets indésirables des faux-vaccins anti-Covid et que les auditions soient publiques.
Action 4 : 47:17 : porter plainte pour empoisonnement ou tentative d'empoisonnement contre les injections expérimentales anti-Covid, en s'associant à Me Jean-Pierre Joseph.
Action 5 : 1:07:28 : signer et faire signer la pétition pour soutenir le Pr. Christian Perronne, convoqué le 13 septembre 2022 par le conseil régional de l'Ordre des médecins d'Île-de-France.
Le 14 novembre 2021 au Mont Valérien, je dénonce la maltraitance et les agissements criminels de l'Education nationale depuis le printemps 2020, sous prétexte de crise sanitaire Covid-19/
Le vendredi 25 mars de 21h. à 23h., sur les pages FB de JulieLeelouLives et LibrescommelAir, et sur la chaîne Crowdbunker @julieetleeloulives,
retrouvez trois enseignant.es résistant.es, Andreas Pfeiffer, Jocelyne Chassard et Pascal Corradini qui, depuis des mois, dénoncent la maltraitance institutionnelle de l'education nationale envers 12 millions d'élèves, dans les écoles, collèges, lycées et même à l'Université !
Ces trois personnes, minoritaires mais exemplaires, savent que leurs misions sont fondées sur le bien-être et la santé, mentale et physique des jeunes, des ados et des enfants.
Ils et elle ont alerté les responsables de l'Education nationale, leurs collègues et des parents des traumatismes physiques et psychologiques provoqués par l'application bornée et zélée d'un protocole prétendument sanitaire.
Décembre 2021 : les Mamans Louves décident de riposter au durcissement du protocole sanitaire que l'Education nationale impose à 12 millions d'enfants et d'adolescent.es depuis le printemps 2020. Comment participez à des actions concrètes et locales pour interpeller les hiérarques responsables de cette maltraitance : chefs d'établissements, D.A.S.E.N. départementaux, recteurs et rectrices d'académie, maires de communes...
Rencontre le 1er septembre 2022 avec 4 membres du syndicat SLS = Syndicat Liberté Santé.
1ère partie avec la Dre Line Cabot, secrétaire générale, et Yves, référent juridique de la région PACA (Provence-Alpes-Côte-d'Azur). Contexte de la création du SLS en août 2021 et fonctionnement administratif ; rédaction en avril 2022 de la Fiche de recours en cas de refus de soins discriminatoire :
https://www.syndicat-liberte-sante.com/wp-content/uploads/2022/04/Tableau-Arbre-REFUS-DE-SOINS-Online-General.pdf
La coordination des référent.es juridiques ; l'action des sommations interpellatives aux A.R.S. le 17 mars 2022 : https://www.syndicat-liberte-sante.com/action-sommation-interpellative-sls/
Publication de la Lettre confraternelle, en août 2022, de médecins qui doutent des injections anti-Covid : https://www.syndicat-liberte-sante.com/wp-content/uploads/2022/08/confraternel2.pdf
Entretien avec la Dre Line Cabot le 4 août 2022 : https://odysee.com/@CanalJAC-K:8/2022-4-ao%C3%BBt-Direct-Dre-Cabot:f
En mai 2021, Me Guyon avait déposé un référé-suspension au Conseil d’État contre l'article 36 du décret du 29 octobre 2020 imposant le masque dans les établissements scolaires.
Le 1er juin 2021, le Conseil d’État a rendu deux ordonnances (n°452502 et n°452487) qui rappellent que « administrer n'était pas soigner ».
Ainsi l'administration ne peut porter aucune appréciation sur les mentions ou appréciations mentionnées dans un certificat médical. Un.e enfant bénéficiant d'une dérogation au port du masque en vertu d'un certificat médical doit pouvoir se rendre dans son établissement scolaire. L'école doit adapter son organisation et ne peut soumettre à des conditions de forme le certificat médical.
Enfance & Libertés invite Me Guyon à expliquer la portée de ces 2 ordonnances.
Article de Me Guyon : https://www.guyon-avocat.fr/opposabilite-du-certificat-medical-a-lecole/
Dans son considérant 9, le Conseil d’Etat rappelle que les médecins de l’éducation nationale ou l’administration scolaire ne sont pas habilités à remettre en cause les constatations ou indications à caractère médical portées dans un certificat médical.
Ils n’ont pas non plus la possibilité d’apprécier les éléments médicaux en lien avec une pathologie rendant l’enfant vulnérable au risque de développer une forme grave d’infection à la covid19 et susceptibles de déterminer les conditions de maintien de l’enfant en présence dans l’école ou l’établissement scolaire.
Il est clairement reconnu par le Conseil d’Etat que la compétence médicale n’est pas du ressort de l’administration.