Depuis que Vladimir Poutine a agité l’épouvantail nucléaire en réponse aux soutiens de l’Ukraine, le monde entier retient son souffle. Quelle est la réalité de cette menace ? Sommes-nous entrés dans une nouvelle ère nucléaire ? Après la chute du rideau de fer, à la fin des années 1980, des milliers d’armes nucléaires ont été retirées du territoire européen : la menace nucléaire semblait alors contenue. Depuis, la tendance s’est inversée. Ces dernières années, alors que les tensions politiques devenaient de plus en plus vives entre l'Est et l'Ouest, elles se sont accompagnées d’une course à l’armement inédite. Après le début de la crise ukrainienne, en 2014, les exercices militaires se sont multipliés, tout autant que les incidents entre Occidentaux et Russes. En Europe, les bases américaines n'ont cessé d'entreposer des missiles atomiques, potentiellement plus destructeurs que les bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki. En 2018, certains experts considéraient qu'il y avait plus de chance qu'une intervention nucléaire se produise maintenant qu’au plus fort de la guerre froide. Quatre ans plus tard, l'invasion de l'Ukraine par la Russie et la menace ouverte de Vladimir Poutine de recourir à l'arme nucléaire ont encore augmenté ces craintes. Quelle est aujourd’hui la probabilité que cette menace soit réellement mise à exécution ? En revenant sur l’histoire de l’armement nucléaire, ce documentaire dresse un inventaire de l’arsenal atomique mondial, passe en revue les stratégies de dissuasion et de riposte déployées par les États et fait le point sur le niveau de risque actuel.
La Société du spectacle est un film français réalisé par Guy Debord, sorti en 1973. Ce film, selon la théorie du détournement développée par les situationnistes, se compose d'extraits d'autres œuvres mis en lien avec certains passages du livre du même nom, lus par lui-même. C'est le quatrième film de Debord.
Guy Debord y développe une théorie de la spectacularisation de la société qui se trouve par là-même vidée de tout contenu, où « le spectacle est une guerre de l'opium permanente pour faire accepter l'identification des biens aux marchandises et de la satisfaction à la survie augmentant selon ses propres lois » (citation du film).
Tout au long de ce documentaire de 52 minutes, illustré d’images d’archives, ces hommes, qui ont joué un rôle essentiel dans la guerre d’indépendance algérienne, racontent l’été 1962, en partant de la signature des accords d’Evian, le 19 mars. Car, pour comprendre les évènements qui ont conduit à la discorde et à la dégradation du processus algérien, il faut avoir une vision nette de cette révolution géographiquement écartelée entre les maquis de l’intérieur (9 000 hommes très affaiblis par la guerre), l’Armée des frontières (70 000 hommes au Maroc et en Tunisie qui n’ont presque pas combattu), le Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA, basé à Tunis) et les chefs historiques de la « rébellion » (arrêtés en octobre 1956 et prisonniers en France). Un écartèlement qui va façonner l’histoire politique algérienne.
https://benjaminstora.univ-paris13.fr/index.php
"Lever un pan du voile sur la face cachée de l’Indépendance, le pari est tenu. Le 5 juillet 1962, tandis que le peuple fait exploser sa joie, les luttes pour le pouvoir s’exacerbent. Entre festivités et événements tragiques, de mars à septembre 1962, un chapitre décisif de l’histoire de l’Algérie s’ouvre. Interviews et images d’archives témoignent de cette période où Ben Bella prend le pouvoir avec l’appui de l’armée dirigée par Boumediene.
19 mars 1962 : accords d’Evian. L’OAS multiplie les attentats. La politique de la terre brûlée conduit à l’exode massif des pieds-noirs et de 60 000 harkis. La division des chefs historiques et l’affrontement entre maquisards et armée des frontières placent le pays au bord de la guerre civile. Si la plate-forme de gouvernement est votée à l’unanimité lors du congrès du FLN à Tripoli, les débats houleux, révélateurs d’une course acharnée pour le pouvoir, entraveront l’élection d’un bureau politique à la faveur d’une suspension de séance. "On est encore restés suspendus à ce jour", note ironiquement un ancien. Quarante ans plus tard, l’Algérie vit toujours sur la crise de cet été 1962."
(Sadia Saïghi)
https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/13895_0
Etcetera: la locution est empruntée du latin et cetera desunt (« et le reste est omis »), de ceterus (« autre, de reste »).
Fréquente dans le latin médiéval juridique, elle est devenue d’usage courant en français. Elle s’écrit aussi et cætera, et caetera ce qui d’un point de vue étymologique est une erreur.
Alors là, j'ai cherché pendant une demi-heure la référence de cette parole en latin, prononcée par ce laudateur, en vain. J'ai trouvé des versets bibliques qui y ressemblent... mais différents, des chansons chrétiennes... différentes aussi.
Celui qui me trouve la référence, je lui offre... toute mon estime.
Cette simulation montre le génocide, l'épuration éthnique et la colonisation de la Palestine par les terroristes juifs soutenus par les Américains, les Anglais, les Français, tous les Européens en fait, et même l'Inde raciste avec son système archaïque de castes, qui se mêle de ce qui ne la regarde pas, mais qui a une telle haine xéonophobe hystérique envers les musulmans, qu'elle soutient la colonisation de la Palestine et le terrorisme sioniste, qui consiste depuis 1948, à massacrer, piller, violer, voler tout un peuple, pour lui prendre sa terre. Tout ceci est fait avec la complicité de l'Occident satanique: l'Amérique, qui est aussi une terre volée par le génocide des dits "Indiens", l'Australie, qui est aussi un pays fondé par le génocide des dits "aborigènes", l'Angleterre, qui a commis tant de génocides dans le monde qu'il serait laborieux de les citer, la France, ce pays de colons racistes "humanistes" qui ont eu le devoir de civiliser les barbares, en les pillant, en créant des faux pays pour voler leurs ressources, et qui continue de néocoloniser ces derniers, et puis le reste de l'Europe, L'Allemagne, qui est devenue une pute de Yankees comme le Japon, et puis tous les autres pays de merde d'Europe, alignés, comme des putes, sur le "grand satan" comme disent les Iraniens, l'oncle Sam. Le grand faiseur de guerres, de morts et de destructions dans le monde. Et ça continue...