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29 Jan 2023 11:46:08 UTC
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Spécial 40 ans disparition de Funès - Jo.1971_- De Funès et Blier dans une comédie policière Culte
Jo est un film français réalisé par Jean Girault, sorti en 1971. C'est la deuxième adaptation cinématographique de la pièce de théâtre The Gazebo (1958), après Un mort récalcitrant (The Gazebo) de George Marshall en 1959.
Antoine Brisebard, auteur comique à succès, est victime de Jo, un maître-chanteur qui menace de dévoiler les origines familiales douteuses de sa femme, une actrice célèbre. Résolu à se débarrasser de lui, Brisebard prétexte l'écriture d'une pièce policière afin de recueillir les ingrédients du crime parfait auprès d'un ami avocat.
Malheureusement, lorsque le maître-chanteur vient chercher la somme d'argent exigée, le plan de Brisebard ne se déroule pas comme prévu. À peine l'encaisseur éliminé (par accident, Brisebard n'ayant pas eu le courage de lui tirer dessus), les visiteurs les plus farfelus se succèdent dans sa maison : une dame tenace, exerçant le métier d'agent immobilier, accompagnée d'un couple excentrique d'acheteurs britanniques potentiels, une gouvernante émotive, une amie délaissée par son mari, un entrepreneur particulièrement consciencieux ayant récemment installé une gloriette offerte par Sylvie Brisebard à son mari à l'occasion de sa fête.
Brisebard a alors l'idée de dissimuler le cadavre encombrant dans les fondations de la gloriette, mais celle-ci s'avère bien plus fragile que ce qui était annoncé par l'entrepreneur, et il devient alors indispensable de cacher le corps ailleurs. Survient alors l'inspecteur Ducros qui ne tarde pas à révéler que Jo a été retrouvé assassiné loin du domicile des Brisebard. Antoine se demande alors qui il a bien pu tuer et devra dépenser des trésors d'ingéniosité pour dissimuler le corps aux yeux de la police et de tous les personnages qui vont et viennent dans la maison.
Louis de Funès : Antoine Brisebard
Claude Gensac : Sylvie Brisebard
Bernard Blier : l'inspecteur Ducros
Michel Galabru : Tonelotti, le maçon
Christiane Muller : Mathilde, la gouvernante,
Florence Blot : Mme Cramusel
Guy Tréjan : Me Adrien Colas
Ferdy Mayne : M. Grunder
Yvonne Clech : Mme Grunder
Micheline Luccioni : Françoise, l'amie délaissée par son mari,
Jacques Marin : Andrieux, officier de police
Dominique Zardi : le "Duc", gangster
Henri Attal : Grand Louis, gangster,
Paul Préboist : l'adjudant de gendarmerie qui ramène la malle
Louis de Funès s'entoure une fois de plus d'acteurs familiers parmi lesquels Claude Gensac, qui avait déjà interprété son épouse dans 5 films, et Michel Galabru, déjà croisé dans Le Petit Baigneur. Jo marque également la huitième collaboration entre Louis de Funès et le réalisateur Jean Girault, après Pouic-Pouic (1963), Faites sauter la banque (1964), Le Gendarme de Saint-Tropez (1964), Le Gendarme à New York (1965), Les Grandes Vacances (1967), Le Gendarme se marie (1968) et Le Gendarme en balade (1970).
En incarnant Sylvie Brisebard, Claude Gensac poursuit non seulement sa collaboration avec Louis de Funès en tant qu'épouse de ses personnages, mais reprend aussi un rôle qu'elle avait déjà tenu au théâtre aux côtés de Robert Lamoureux en 1964. De même, Florence Blot avait déjà le rôle de madame Cramusel au théâtre[5].
Quatre ans après Les Grandes Vacances (1967), réalisé également par Jean Girault, Louis de Funès retrouve Ferdy Mayne et Christiane Muller qui jouait également le rôle d'une bonne dans le précédent. Quant à Guy Tréjan, il avait joué dix ans plus tôt aux côtés de Louis de Funès dans Pouic-Pouic. Yvonne Clech était l'épouse de Louis de Funès dans Faites sauter la banque.
Bernard Blier reprend également un rôle de commissaire similaire à celui qu'il tenait dans Le Grand Restaurant (1966). La relation de son personnage avec celui de Louis de Funès, gêné face au commissaire, est d'ailleurs la même. Jacques Marin, qui tenait le rôle de l'inspecteur Ducroc au théâtre, est dans le film un de ses assistants, Andrieux. L'autre assistant, Plumerel, est incarné par Carlo Nell, déjà employé par Jean Girault dans Les Gorilles (1964) et apparu aux côtés de Louis de Funès dans Les Grandes Vacances, Hibernatus (1969) et Le Gendarme en balade(1970)
L'équipe technique et artistique rassemble également des familiers de Louis de Funès. Le directeur de la photographie est le prestigieux Henri Decaë, déjà à l'œuvre sur Le Corniaud, et qui avait croisé Louis de Funès durant le bref passage de celui-ci à l'École technique de photographie et de cinéma.
Le film a été tourné aux studios Franstudio de Saint-Maurice. Les scènes situées à l'extérieur de la maison ont été tournées aux Bréviaires dans les Yvelines, au hameau de la Croix Rouge.
Pour accentuer la différence de taille entre Louis de Funès et Bernard Blier, dans la scène où ils sont tous deux assis sur un canapé, une machinerie (dont l'installation et la fabrication ont coûté 250 000 francs) et quatre jours de travail ont été nécessaires. Ce gag avait été imaginé par Louis de Funès lui-même.
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flic-ou-voyou-HD_HD
Ca fait juste un an jour pour jour que Jean-Paul Belmondo a rejoint les étoiles... pour lui rendre hommage j'ai choisi de diffuser Flic ou voyou...
Flic ou Voyou est un film français réalisé par Georges Lautner, sorti en 1979.
À Nice, une guerre des gangs entre deux truands locaux, Achille Volfoni, dit « le Corse » et Théodore Musard, dit « l'Auvergnat » fait rage dans la ville, que la police ne peut stopper en raison de la complicité de certains représentants de l'ordre auprès des deux caïds.
Parallèlement, le commissaire divisionnaire Stanislas Borowitz, de la « police des polices », usant de méthodes particulièrement expéditives pour contrer les ripoux, est envoyé de Paris avec l'accord du commissaire niçois Grimaud afin de « nettoyer » la ville de Nice de ses truands et de la corruption policière, À Nice, une guerre des gangs entre deux truands locaux, Achille Volfoni, dit « le Corse » et Théodore Musard, dit « l'Auvergnat » fait rage dans la ville, que la police ne peut stopper en raison de la complicité de certains représentants de l'ordre auprès des deux caïds. Parallèlement, le commissaire divisionnaire Stanislas Borowitz, de la « police des polices », usant de méthodes particulièrement expéditives pour contrer les ripoux, est envoyé de Paris avec l'accord du commissaire principal niçois Grimaud afin de « nettoyer » la ville de Nice de ses truands et de la corruption policière, tout en enquêtant sur le meurtre du commissaire Bertrand, policier notoirement ripou, assassiné dans une chambre d'hôtel, alors qu'il s'y trouvait en compagnie d'une prostituée, également tuée.
Afin de mener au mieux son enquête, il se fait passer pour le frère de la prostituée, un petit malfrat d'origine calabraise du nom d'Antonio Cerruti.
Au cours de son enquête, il découvre que deux policiers, Rey et Massard, également impliqués dans les meurtres, sont de mèche avec le « Corse ».
Jean-Paul Belmondo : le commissaire divisionnaire Stanislas Borowitz, alias Antonio Cerutti
Georges Géret : Théodore Musard, dit « L'Auvergnat »
Marie Laforêt : Edmonde Puget-Rostand
Jean-François Balmer : l'inspecteur Georges Massard
Claude Brosset : Achille Volfoni, dit « Le Corse »
Julie Jézéquel : Charlotte, la fille de Borowitz
Michel Beaune : Marcel Langlois
Tony Kendall (VF : Gérard Hernandez) : l'inspecteur Rey
Catherine Lachens : Simone Langlois
Venantino Venantini : Mario
Charles Gérard : Cazauban
Michel Galabru : le commissaire Grimaud
Philippe Castelli : l'inspecteur du permis de conduire
Michel Peyrelon : Camille
Flic ou voyou est le premier film de la carrière de Jean-Paul Belmondo à dépasser le million d'entrées sur Paris et sa périphérie...
C'est la première fois que Belmondo est dirigé par Georges Lautner. Au total, ils tourneront ensemble cinq films.
Le film comporte plusieurs allusions aux Tontons flingueurs, film dû au même réalisateur et au même dialoguiste :
le titre du film que plusieurs personnages vont voir dans un cinéma est Le Terminus des prétentieux, titre prévu initialement pour les Tontons flingueurs et mentionné dans une réplique de Bernard Blier.
Les images de ce film sont extraites d’un autre film de Georges Lautner : Pas de problème ! ;
le personnage de Claude Brosset s’appelle Volfoni, nom porté par les personnages de Bernard Blier et Jean Lefebvre dans les Tontons flingueurs ;
l’acteur italien Venantino Venantini, qui joue ici le rôle de Mario, tenait celui de Pascal dans les Tontons flingueurs.
La rencontre de Mario avec Borowitz rappelle également les scènes de « bourre-pif » des Tontons Flingueurs : Mario ouvre la porte et le poing de Belmondo apparaît de la droite de l'écran pour lui infliger un direct au visage.
Bonne séance
???
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Les Vieux de la vieille est un film franco-italien réalisé par Gilles Grangier en 1960 et sorti sur les écrans français le 2 septembre 1960. C'est une adaptation du roman Les Vieux de la vieille (1958) de René Fallet.
Retraité de la SNCF, Baptiste Talon rentre en Vendée dans son village natal de Tioune pour y retrouver deux vieux amis : Jean-Marie Péjat et Blaise Poulossière. Il leur apprend qu’il a décidé d'aller à l'hospice de Gouyette. Jean-Marie Péjat, réparateur de cycles et vieux célibataire, décide de l’accompagner à la suite d'un incident lors d'un bal de la Fête aux Escargots où il a pris conscience qu'il n'était plus tout jeune. Blaise Poulossière, ancien éleveur de cochons vivant dans sa famille désormais dirigée d’une main de fer par son fils, décide aussi de se joindre à eux.
Et voilà les trois compères partis sur la route avec leur sac et leur panier de pinard, pour un voyage ponctué de nombreuses péripéties. Mais, une fois à destination, déçus par l’ambiance austère qui règne dans l’hospice dirigé par des sœurs, ils n'ont d'autre projet que de revenir au village. Ayant réussi à fuir Gouyette, ils retournent au village mais sont vertement sermonnés par le maire qui accepte néanmoins leur retour sous condition d'être sages. Combien de temps ces incorrigibles ganaches toujours à l'affût d'une bonne plaisanterie seront-ils sages ?
Adaptation : René Fallet, Gilles Grangier, Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Jean Gabin : Jean-Marie Péjat, réparateur de vélos
Pierre Fresnay : Baptiste Talon, retraité S.N.C.F.
Noël-Noël : Blaise Poulossière, éleveur de cochons
C'est le dernier film tourné par Pierre Fresnay, avant qu'il n'arrête sa carrière au cinéma.
À l'époque du tournage, alors qu’il interprète un vieillard, Jean Gabin n’avait en réalité que 56 ans, et ses 2 partenaires 62 ans (Noël-Noël) et 63 ans (Pierre Fresnay). C'est le premier film dans lequel Gabin accepta une transformation physique afin de paraître plus vieux que son âge.
Les noms des trois acteurs ne figurent pas au générique en début de film, ils sont remplacés par ceux de leurs personnages : Jean Gabin apparaît en tant que Jean-Marie Péjat, Noël-Noël sous le nom de Blaise Poulossière et Pierre Fresnay en tant que Baptiste Talon.
Quelques extraits de Dialogues
Y'a pas à dire, dans la vie, y faut toujours se fier aux apparences : quand un homme a un bec de canard, des ailes de canard et des pattes de canard, c'est un canard. Et c'qui est valable pour les canards l'est aussi pour les p'tits merdeux.
Eh ben, j'dis que quand c'est qu'on est vieux, on sait quand c'est qu'on se baisse mais on sait pas quand c'est qu'on se relève.
Les fêtes aux escargots, j'en n'ai raté qu'cinq dans ma vie : les années 14, 15, 16, 17, 18. Quand c'était qu'c'est qu'j'étais aux Dardanelles, et pis qu'aux Dardanelles y'avait point d'escargots. J'suis allé plus loin qu'Verdun et la Somme, moi. J'ai pas fait une guerre d'fainéant.
Baptiste : Qui a fait une guerre d'fainéant ?
Blaise : T'oserais insulter ceux qui ont péri sous les obus. Pendant qu'd'autres faisaient danser les moukères ? Fi’ d'garce !
Jean-Marie : Cré vin dieu. Vous n'allez tout de même pas comparer vos bains de boue à mes turqueries…
Jean-Marie : Le premier qui s'aventure dans l'entrepôt ou dans les coursives, je l'tire comme un lapin. J'ai un coup de sept à droite, un coup de cinq à gauche. J'vais en faire un doublé d'connards.
Baptiste : Mollis pas, Jean- Marie : t'as la loi pour toi.
Le conducteur de car : Eh bien, méfiez-vous. Parce que si j'vous revois, moi, j'vous écrase. Et puis, j'n'ai pas d'temps à perdre : il faut que j'aille jusqu'à Aizenay.
Baptiste : Si vous y allez aussi vite que j'vous emmerde, pour une fois, vous serez en avance sur l'horaire.
Jean-Marie : Hoo, c'est point étonnant : c'est une Zodiak.
Le gendarme : C'est pas une bonne marque ?
Jean-Marie : Ben, c'est d'la pourriture. Ben, c'est comme vot'vélo. D'abord, y en qu'une de marque, c'est l'Hirondelle, le reste, c'est d'la merde en tube… Tiens, vot' clou-là, c'est d'l'aciérie. J'suis sûr qu'çà a été monté par des Polonais. C'est pas pour médire des étrangers parce qu'en n'a qui s'y connaissent : les Suisses , les Italiens, y sont pas bons pour la guerre. Mais, pour l'vélo, y s'y connaissent. Les Polonais, c'est d'bons soldats, mais, pour l'vélo : pffffffff…
Bonne séance
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