LES MOTS DE LA COVID-19 Étude linguistique d’un corpus français et britannique Blandine Pennec Études linguistiques L’étude présentée dans cet ouvrage propose une analyse linguistique de la communication liée à la pandémie de Covid-19, depuis le début de la crise, en février 2020, jusqu’à juin 2020. Les outils de la linguistique énonciative et de la pragmatique sont ici mobilisés et articulés à ceux de la rhétorique et de la stylistique. L’étude se fonde sur des corpus français et britannique, politique comme journalistique, et s’articule en deux axes. En montrant comment les allocutions politiques tentent de contrôler (discursivement) la situation, l’axe politique de notre analyse examine les structures saillantes et les marqueurs de l’argumentation et de la construction de l’ethos dans les discours d’Emmanuel Macron et de Boris Johnson. Le second axe étudie la manière dont laquelle la communication journalistique met en mots la crise sanitaire au cours de cette période, à travers des positionnements énonciatifs, mais aussi des actes de langage ou des présupposés, notamment dans des titres et sous-titres d’articles fournis par Le Monde, Le Figaro ainsi que The Guardian et The Telegraph. L’ouvrage s’adresse à un public large de personnes intéressées par la communication et les outils qu’on peut utiliser pour la décrypter, l’analyser et la mettre en question. Éditeur : Artois Presses Université Collection : Études linguistiques Lieu d’édition : Arras Année d’édition : 2021 Publication sur OpenEdition Books : 04 novembre 2021 EAN (Édition imprimée) : 9782848325286 EAN électronique : 9782848325385 DOI : 10.4000/books.apu.26025 Nombre de pages : 276 p.

AUTEUR(S)-RÉALISATEUR(S) Jérôme Fritel AUTEUR(S) Marc Roche IMAGE Jean-Luc Bréchat MONTAGE Seamus Haley MUSIQUE ORIGINALE Denis Lefdup PRODUCTION / DIFFUSION CAPA Presse, ARTE France PARTICIPATION CNC, Procirep, Angoa-Agicoa ORGANISME(S) DÉTENTEUR(S) ou DÉPOSITAIRE(S) Newen Distribution ISAN : non renseigné - en savoir plus Jusqu’à l’automne 2008, le grand public ignorait l’existence de Goldman Sachs, l’institution qui prétend faire le "travail de Dieu". Traduire : régner sur la finance mondiale. Sur quelques milliards de milliards de dollars… Depuis la nuit du 15 au 16 septembre 2008, date du déclenchement du krach boursier, Goldman Sachs, GS pour les initiés, est partout : faillite du système financier, crise grecque, chute de l’euro, résistance à toute forme de régulation. La banque d’affaires, créée à New York en 1868, avait bâti son succès et sa réputation sur une loi du silence à toute épreuve. Elle était LA banque : l’institution financière qui dirige le monde dans le plus grand secret. Elle se retrouve aujourd’hui accusée d’avoir joué un rôle moteur dans la débâcle des crédits à risque "subprime", d’avoir précipité la faillite de ses concurrents, d’avoir aidé des Etats comme la Grèce à camoufler leur déficit avant de spéculer contre eux, d’avoir accéléré la chute de la monnaie européenne et d’avoir influencé le "panier de la ménagère". Elle est finalement sortie de cette crise plus riche et plus puissante qu’auparavant. Ce film propose une immersion au coeur de LA banque qui dirige le monde. Raconté comme un thriller, à partir d’images de "news" entrecoupées de témoignages d’acteurs (banquiers, ministres des finances, victimes…) et d’observateurs (économistes, députés européens, journalistes), il nous emmène de New York à Athènes en passant par Londres, Paris et Bruxelles.