Jamais une tricherie électorale n’aura été aussi flagrante, éclatante !
Ne rien voir relève de la mauvaise foi.
Quelle attitude les français vont-ils adopter face à cette monumentale arnaque ?
Adresse de Patricia Savinel-Clercx : patriciasavinelclercx@gmail.com
Osons causer / Alerte : Macron va trahir les soignants : https://www.youtube.com/watch?v=oPiNAXyAtdg
Source: AGORA TVNEWS
Votre lien d'invitation: https://odysee.com/$/invite/@DualitéUniverselle
Source: Carrefours du monde @Carrefoursdumonde
Revenons pour commencer sur les évènements récents en Birmanie.
La leader Birmane Aung San Suu Kyi et d'autres chefs du parti au pouvoir de la Ligue nationale pour la démocratie ont été arrêtés par l'armée birmane tôt le matin du 1er février.
Dans la plupart des régions de Birmanie, les communications ont été interrompues, les services bancaires ont été suspendus et les aéroports bloqués.
Malgré les menaces de certains cadres de l’armée la semaine dernière, qui avaient été démenties vendredi, cette action militaire soudaine a surpris, et le peuple birman et le monde.
Le coup d'État a été déclenché par des allégations de l'armée birmane selon lesquelles Aung San Suu Kyi et son parti avaient commis une fraude lors des élections générales de novembre dernier.
L'armée a rejeté les résultats des élections, mais la commission électorale birmane a quant à elle rejeté les allégations de fraude électorale de l'armée.
La Birmanie est un pays important dans le départ des nouvelles routes de la soie, l’initiative Belt and Road.
En janvier 2020, il y a un an, Xi Jinping et Aung San Suu Kyi ont paraphé 33 accords, dont le projet-phare d'une gigantesque zone industrielle et un port en eaux profondes d'1,3 milliard de dollars dans l’ouest du pays.
En janvier de cette année, donc peu avant le coup d'État, des hauts fonctionnaires du Parti communiste chinois ont visité la Birmanie à deux reprises.
Lors de sa visite en Birmanie le 12 janvier, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré pour la première fois Suu Kyi.
Il a ensuite rencontré seul Min Aung Hlaing, le principal chef militaire et cerveau actuel du coup d'État, considéré comme plus pro-communiste.
Wang Yi a dit des choses lors de sa rencontre avec Min Aung Hlaing qu'il n'a pas dit quand il a rencontré Aung San Suu Kyi.
Wang Yi lui a dit que le Parti communiste chinois était un "Pauk-Phaw (frère)" de la Birmanie.
De même, Min Aung Hlaing n'a pas hésité à parler de ce «frère», lui disant directement qu'il pensait que les résultats des élections de novembre étaient problématiques et que l'armée pourrait prendre des mesures.
Nous n'avons pas encore suffisamment d'informations pour comprendre ce que fait le Parti communiste chinois dans les coulisses de ce coup d'État en Birmanie.
Mais l'ambiguïté du grand frère chinois est quelque chose qui mérite d’être étudié de plus près.
La Birmanie s'est déjà aliéné l’Occident au sujet des Rohingyas, et un coup d'État de l'armée birmane élargirait encore le fossé entre eux et l'Occident, permettant au régime chinois de profiter de la situation.
YT: https://www.youtube.com/watch?v=pJPLMiupm38
Le Japon snobe les sanctions et renouvelle ses accords gaziers avec la Russie.
Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a annoncé que le Japon a l'intention de continuer à participer aux projets pétroliers et gaziers sur Sakhaline, en Russie, car ils sont importants du point de vue de la garantie de sa sécurité énergétique. Les entreprises japonaises ont décidé de conserver leur participation dans les projets Sakhalin-1 et Sakhalin-2, qui représentent près de 9 % de la consommation de gaz naturel liquéfié du Japon. Ce volume est presque entièrement utilisé pour produire de l'électricité, assurant 3% de sa production dans le pays.
Le Japon a réduit les importations de pétrole en provenance de Russie de 90% et de charbon de 60% au cours du second semestre de l'année dernière. Cependant, la demande de gaz naturel liquéfié devrait croître à l'avenir, et les projets de Sakhaline sont importants du point de vue de la sécurité énergétique du Japon. Le gouvernement japonais a déclaré à plusieurs reprises qu'il était extrêmement intéressé par l'approvisionnement en GNL et en pétrole de Sakhalin-2. Avec l'accord des États-Unis et de l'Union européenne, ils sont temporairement soustraits à l'effet des décisions relatives au plafonnement des prix des importations de pétrole en provenance de Russie.
En conservant leur participation dans les projets Sakhalin-1 et Sakhalin-2, le Japon montre son intérêt pour la garantie de sa sécurité énergétique. Les projets représentent une part importante de la consommation de gaz naturel liquéfié du Japon, qui est utilisé pour produire de l'électricité dans le pays. Bien que le Japon ait réduit les importations de pétrole en provenance de Russie, la demande de gaz naturel liquéfié devrait augmenter à l'avenir. Les projets de Sakhaline sont donc considérés comme importants pour répondre aux besoins énergétiques du Japon.
Source : EBENE MEDIA TV
"Les troupes ukrainiennes sont entrées dans une zone de feu et sont activement neutralisées par nos troupes, elles ont réussi à avancer sur une distance de 1,5 à 2 kilomètres, cela a été fait pour que le président ukrainien Vladimir Zelensky puisse annoncer avec joie un autre succès, mais il ne dit rien à propos du fait qu'il envoyait ses combattants à une mort certaine », a-t-il déclaré. "Les forces armées ukrainiennes sont désormais sous le feu de trois côtés de nos forces et de celles de la Russie, la région administrative de la République populaire de Lougansk systématiquement neutralisée".
Source : EBENE MEDIA TV
Le président français Emmanuel Macron est au cœur de plusieurs controverses récentes, notamment en raison de montages trompeurs impliquant les Gilets Jaunes et d'une déclaration dans laquelle il aurait critiqué les Français. La réforme des retraites a également conduit à des manifestations violentes, y compris le blocage du pont de Saint-Nazaire. Les citoyens expriment leur frustration et leur mécontentement, ce qui nuit à la popularité de Macron et à la confiance envers le gouvernement.
Les événements en France contrastent avec les paroles de Macron en 2020, lorsqu'il avait affirmé que le peuple décide de la révolution. Cependant, en 2023, il a changé de discours en déclarant que la foule n'a pas de légitimité face aux représentants du peuple. Cette position a suscité des critiques supplémentaires à l'encontre de Macron, qui est de plus en plus critiqué par les citoyens.
La crise politique en France est suivie de près par les médias internationaux. Les événements actuels ont conduit à une baisse de la popularité de Macron, tandis que les citoyens continuent d'exprimer leur frustration et leur mécontentement dans les rues. Restez informé des dernières actualités internationales en suivant les mises à jour sur Ebene Media TV.
Source : EBENE MEDIA TV