André-BERKOFF-face-à-Karine-LACOMBE,-mon-analyse-du-débat
Je manque de place pour tout retranscrire, retrouvez la suite sur mon blog avec toutes les références : https://sandra-ganneval.blog4ever.com...
Lien vers le débat : https://www.youtube.com/watch?v=kEQC3...
09/11/20, sur LCI, débat LACOMBE/BERCOFF
André Bercoff (AB) : Quand le président de la République qui dit dans quelques semaines, si on fait pas la modélisation, on aurait 400 000 morts, d’où il sort ce chiffre ? 400 000 morts ? Deuxièmement et surtout et vous le savez comme moi, quel est l’âge médian des décès du covid en France ? Je parle du covid et pas de la comorbidité.
David Pujadas (DP) : Entre 80 et 85.
AB : Voilà ! Très bien ! 84/85. C’est quoi l’âge médian de la mortalité en France ? C’est quoi ? Bien. Deuxièmement, le taux de létalité est à 0 ,5 %. Ce que je trouve extraordinaire, c’est cette espèce de terrible gonflement de cette chose. Attendez, je vais dire, 0,15% de mortalité, 98% des individus ayant contracté le virus guérissent.
Karine Lacombe sourit derrière son masque en regardant sa voisine de table.
AB : 98 % des gens qui sont mort avaient une espérance de vie de 1 an. Je veux dire, remettons un tout petit peu la réalité en face. Nous avons été, excusez-moi, manipulés par une espèce d’extraordinaire fantasme de pandémie comme si c’était et regardez les chiffres de l’INSEE de 2018, 2019 et 2020. Faut arrêter le délire, pardon !
Karine Lacombe rit.
AB : Vous vous êtes tous absolument excités comme des fous. Dites-moi la véri… ah oui, mais j’aime bien, Karine Lacombe se marre.
Elle rit de plus belle.
AB : Alors, c’est pas vrai ? Ces chiffres sont vrais ou faux ?
Karine Lacombe (KL) : Mais non, vos chiffres sont faux, dit-elle en riant. Mais je me demandais quand vous alliez prendre votre voix de polémiste. Je vois depuis le début de l’émission, vous étiez…
AB : Mais non, mais, écoutez, j’essaie de voir ce qui se passe…
Elle rit encore.
AB : On nous présente comme une pandémie et vous aussi, quelque chose qui est de l’ordre, excusez-moi, où est la pandémie ? Où sont les morts dans la rue, où sont les gens, qu’est-ce que c’est que ça ? Et vous avez dit, Karine Lacombe (…) il faut porter le masque tout le temps, alors vous, magnifique, le masque, il faut le porter tout le temps, matin, midi, soir, dans l’intimité, tout le temps, c’est comme ça qu’on va guérir, Karine Lacombe, soyons un peu sérieux.
Elle rit.
DP : Pardon, mais la courbe, elle partait quand même très haut et là, on voit qu’elle amorce une baisse, alors, c’est peut-être une coïncidence mais…
AB : Alors, c’est pour ces 15 jours-là que ça a changé (sous-entendu de couvre-feu et de confinement) ? Allons, allons.
DP : Karine Lacombe, le chiffre de 400 000 morts.
KL : Non mais, on peut pas répondre, non mais, je veux dire (elle rit toujours), M. Berkoff, voilà, nous a lancé tout, la théorie des complotistes, on va pas répondre…
AB : Voilà, et alors c’est merveilleux…
KL : Mais bien sûr.
AB : La seule réponse qu’a Karine Lacombe des laboratoires , complotiste. Magnifique ! Formidable !
DP : Moi, la question que je me pose, c’est le chiffre de 400 000 morts. Attendez, André.
AB : C’est complotiste, bravo !
Il applaudit.
DP : Laissez circuler la parole.
KL : Je me fais agresser.
La 4ème intervenante dont le nom n’est pas précisé : Mais on peut dire que les chiffres de l’INSEE qui ont été mis en avant sont simplement faux, ils ont été démentis plusieurs fois donc heu…
AB : Ils ont été démentis ?
La 4ème intervenante : Mais oui !
AB : Ah oui ?
La 4ème intervenante : Ben oui, évidemment, ces chiffres sont faux.
AB : Combien de chiffres de létalité ? Allez-y !
La 4ème intervenante : Moi, j’ai pas les chiffres, je vous dis juste que ces chiffres…
DP : S’il vous plaît, moi, je vais poser une question précise au professeur Lacombe. Le chiffre de 400 000 morts annoncé par Emmanuel Macron, si on n’avait rien fait, si on n’avait pas confiné au printemps, si on n’avait pas reconfiné aujourd’hui, on serait à 400 000 morts aujourd’hui, est-ce qu’ils vous semblent reposer sur des bases sérieuses ?
KL : Oui, c’est de la modélisation, c’est-à-dire qu’il avait…
AB : Ah ben voilà !
KL : Non mais, attendez, laissez-moi parler.
DP : Oui, oui, chacun son tour.
AB : Modélisez, modélisez.
KL : Donc, c’est de la modélisation, c'est-à-dire qu’il a pris le taux de reproduction initiale qui était de 3 pour 1 en l’absence de mesures barrières et avec la vitesse de dissémination de l’épidémie quand on fait les calculs de modélisation, on arrive à 400 000 décès, ensuite, heureusement qu’on a appliqué toutes ces mesures qui ont permis de maintenir l’épidémie à un taux de décès qui était quand même assez élevé, beaucoup plus élevé quand on regarde, contrairement à ce que vous dites, les chiffres de 2016, 2017, 2018, 2019…
AB : Ah oui ?
KL : On voit qu’on a un pic, non c’est pas vrai M. Berkoff.
AB : Pour 3000 morts de plus qu’en 2007, 2018, chiffres de l’INSEE.
DP : Allez-y, allez-y.
(...)
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