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L'UE a-t-elle maintenant reconnu un lien entre le déploiement de la 5G et les dommages sanitaires ? Sinon, on peut difficilement expliquer une approche aussi rigoureuse contre les critiques de la 5G.
L'UE prévoit une répression contre les détracteurs de la 5G
La 5G est une base importante pour l'expansion des objets connectés et de l'intelligence artificielle. Les détracteurs de la 5G, tels que les médecins, les scientifiques et les militants, constituent une menace pour son déploiement. Ces détracteurs sont qualifiés de « menaces pour la santé » par le Conseil de l'Union européenne. Par conséquent, ils doivent être combattus par tous les moyens de l’autorité judiciaire. Dans le document « Façonner l'avenir numérique de l'Europe » du 9 juin 2020, le Conseil demande, au point 36, que le pouvoir judiciaire prenne des mesures contre la diffusion de « fausses informations » au sujet des réseaux 5G, notamment les allégations selon lesquelles ce réseau constitue une menace pour la santé ou qu'il est lié au COVID-19. Étant donné qu'un débat public sur les risques sanitaires de la 5G est empêché sous la menace de sanctions, la légitimité des intentions des auteurs doit être fortement remise en question.
Source: https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&category=politik&lang=fr
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Source: Carrefours du monde @Carrefoursdumonde
Revenons pour commencer sur les évènements récents en Birmanie.
La leader Birmane Aung San Suu Kyi et d'autres chefs du parti au pouvoir de la Ligue nationale pour la démocratie ont été arrêtés par l'armée birmane tôt le matin du 1er février.
Dans la plupart des régions de Birmanie, les communications ont été interrompues, les services bancaires ont été suspendus et les aéroports bloqués.
Malgré les menaces de certains cadres de l’armée la semaine dernière, qui avaient été démenties vendredi, cette action militaire soudaine a surpris, et le peuple birman et le monde.
Le coup d'État a été déclenché par des allégations de l'armée birmane selon lesquelles Aung San Suu Kyi et son parti avaient commis une fraude lors des élections générales de novembre dernier.
L'armée a rejeté les résultats des élections, mais la commission électorale birmane a quant à elle rejeté les allégations de fraude électorale de l'armée.
La Birmanie est un pays important dans le départ des nouvelles routes de la soie, l’initiative Belt and Road.
En janvier 2020, il y a un an, Xi Jinping et Aung San Suu Kyi ont paraphé 33 accords, dont le projet-phare d'une gigantesque zone industrielle et un port en eaux profondes d'1,3 milliard de dollars dans l’ouest du pays.
En janvier de cette année, donc peu avant le coup d'État, des hauts fonctionnaires du Parti communiste chinois ont visité la Birmanie à deux reprises.
Lors de sa visite en Birmanie le 12 janvier, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré pour la première fois Suu Kyi.
Il a ensuite rencontré seul Min Aung Hlaing, le principal chef militaire et cerveau actuel du coup d'État, considéré comme plus pro-communiste.
Wang Yi a dit des choses lors de sa rencontre avec Min Aung Hlaing qu'il n'a pas dit quand il a rencontré Aung San Suu Kyi.
Wang Yi lui a dit que le Parti communiste chinois était un "Pauk-Phaw (frère)" de la Birmanie.
De même, Min Aung Hlaing n'a pas hésité à parler de ce «frère», lui disant directement qu'il pensait que les résultats des élections de novembre étaient problématiques et que l'armée pourrait prendre des mesures.
Nous n'avons pas encore suffisamment d'informations pour comprendre ce que fait le Parti communiste chinois dans les coulisses de ce coup d'État en Birmanie.
Mais l'ambiguïté du grand frère chinois est quelque chose qui mérite d’être étudié de plus près.
La Birmanie s'est déjà aliéné l’Occident au sujet des Rohingyas, et un coup d'État de l'armée birmane élargirait encore le fossé entre eux et l'Occident, permettant au régime chinois de profiter de la situation.
YT: https://www.youtube.com/watch?v=pJPLMiupm38
Le président français Emmanuel Macron est au cœur de plusieurs controverses récentes, notamment en raison de montages trompeurs impliquant les Gilets Jaunes et d'une déclaration dans laquelle il aurait critiqué les Français. La réforme des retraites a également conduit à des manifestations violentes, y compris le blocage du pont de Saint-Nazaire. Les citoyens expriment leur frustration et leur mécontentement, ce qui nuit à la popularité de Macron et à la confiance envers le gouvernement.
Les événements en France contrastent avec les paroles de Macron en 2020, lorsqu'il avait affirmé que le peuple décide de la révolution. Cependant, en 2023, il a changé de discours en déclarant que la foule n'a pas de légitimité face aux représentants du peuple. Cette position a suscité des critiques supplémentaires à l'encontre de Macron, qui est de plus en plus critiqué par les citoyens.
La crise politique en France est suivie de près par les médias internationaux. Les événements actuels ont conduit à une baisse de la popularité de Macron, tandis que les citoyens continuent d'exprimer leur frustration et leur mécontentement dans les rues. Restez informé des dernières actualités internationales en suivant les mises à jour sur Ebene Media TV.
Source : EBENE MEDIA TV
"On n'a jamais été aussi proches de la victoire. Je fais un appel solennel à l'ensemble des secteurs du monde ouvrier, du privé comme du public : il faut se mettre à l'arrêt, il faut bloquer l'économie, on peut gagner cette bataille ! Il n'y a pas besoin de faire 250 jours si on est tous mobilisés"! Anasse Kazib, cheminot, militant Révolution Permanente s'est exprimé à la TIRU d'Ivry ce matin 27 mars.
Source : Révolution Permanente
Florian Filippo, chef du parti français de droite Patriotes, a exprimé ses préoccupations quant à une possible contre-offensive américaine et de l'OTAN en Ukraine. Il a averti que cette opération pourrait rapidement se transformer en une guerre mondiale, car certains pays comme la Pologne et les pays baltes veulent que ce conflit devienne mondial et sont prêts à tout. Le journal VZGLYAD a analysé en détail les mesures que la Russie pourrait prendre pour contrer cette offensive des forces armées ukrainiennes dans la région de Zaporozhye.
La situation en Ukraine est donc à surveiller de près. Les craintes de Filippo pourraient-elles se réaliser ? Les États-Unis et l'OTAN lenceront-ils cette contre-offensive ? Et si oui, quelle sera la réponse de la Russie ? Les développements futurs sont à suivre.
Source : EBENE MEDIA TV
"Dans deux jours notre grève va fermer les aéroports parisiens. C'est bien pour ça que le gouvernement est autant à l'offensive avec les réquisitions chez nous et les violences policières partout dans le pays. Il faut rien lâcher !" Alexis Antonioli, CGT Total au piquet de grève de la raffinerie Total Normandie (Gonfreville l'Orcher)
Source : Révolution Permanente
Paul Magnette, président du Parti Socialiste belge était l'invité du 7/9 de France inter ce matin face à Léa Salamé. Paul Magnette s’est offusqué de la stratégie de communication “totalement déplacée” du gouvernement français en matière de sobriété énergétique. Il a également souligné “l’échec absolu” du “modèle libéral”, responsable selon lui de la crise actuelle.
Source : France Inter https://www.youtube.com/watch?v=2JY5AOxfAf8