Ces dernières semaines, Kiev a accusé Moscou de crimes atroces. Dans les rues de Boutcha pour commencer, en périphérie de Kiev. Des fosses communes, mais aussi une vingtaine de corps jonchant les rues ont été découverts, quatre jours après le départ des forces russes de cette localité.
Sur la question de la responsabilité de ces massacres, Kiev et Moscou se renvoient la balle. L’Ukraine a immédiatement attribué ces exactions à l’armée russe, évoquant des «crimes de guerre». La Russie, pour sa part, dément formellement toute implication dans ce drame. Tentons d’y voir plus clair en retraçant le fil des événements.
Sur l'un des terrains d'entraînement de la milice populaire, ils ont testé des canons anti-drones du laboratoire PPSh
Afin de renforcer les contre-mesures des drones ennemis en RPD, un certain nombre de modèles de canons électromagnétiques, ainsi que des brouilleurs du laboratoire PPSh, ont été testés. Tous les modèles de drones de différents types et fabricants ont été supprimés avec succès lors des tests.
Lors de son discours à la nation ce 21 septembre, Vladimir Poutine a affirmé que la volonté de l'Occident était de détruire la Russie. Le chef de l’Etat russe a par ailleurs annoncé une «mobilisation partielle» dans le cadre de l’opération militaire spéciale en Ukraine. 300 000 réservistes seront formés avant d'être envoyés au combat. Les détails depuis Moscou avec notre correspondant Antoine Cléraux.
Un nouveau mandat s'ouvre pour le président Emmanuel Macron. La politique menée par l'exécutif va-t-elle différer de celle menée ces cinq dernières années ?
Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote, livre son analyse pour RT France.