En cinq ans seulement, les overdoses d’anti-douleurs ont causé quelque 200 000 morts aux États-Unis.
Ces substances à base d’opioïdes, de la morphine de synthèse redoutablement efficaces pour calmer la douleur s'avèrent très addictif.
Faute de suivi, une épidémie s'est déclarée outre-Atlantique, ravageant des familles et des communautés entières, jusqu'à peser sur l'économie du pays.
Tous les âges et toutes les couches sociales sont concernés.
Depuis le pic de l'épidémie, les plaintes se sont multipliées contre des médecins, cliniques et pharmaciens qui ont prescrit et délivré ces molécules sans discernement, mais surtout contre les laboratoires pharmaceutiques boostant leurs ventes à coups de publicité mensongère.
Celles-ci minimisent le caractère addictif des opioïdes.
En première ligne : le laboratoire Purdue, dont le produit phare, l'Oxycontin, lui a rapporté plus de 35 milliards d’euros.
Si le marché est mieux contrôlé, c'est désormais auprès de dealers et sur le Darknet que les consommateurs s'approvisionnent, avec des conséquences parfois dramatiques.
Cette crise des opioïdes n'est pas circonscrite en Amérique.
En Allemagne, les prescriptions ont grimpé d'un tiers entre 2006 et 2015.
Il semblerait que la France soit aussi touchée par ce phénomène.
L’une des premières apparitions du mind control (contrôle mental, Mind Kontrolle, MK) dans la culture médiatique grand public est un roman intitulé The Manchurian candidate, écrit par Richard Condon et publié en 1959. Il fut adapté deux fois au cinéma avec le même titre : en 1962, avec Frank Sinatra dans le rôle principal ; en 2004, avec Denzel Washington et Meryl Streep, sorti en France sous le titre Un crime dans la tête. C’est de là que vient l’expression de « candidat mandchou » pour désigner un individu prêt à risquer sa vie ou celle d’autrui à la suite d’un conditionnement psychologique de type hypnotique ou « lavage de cerveau ».
Le MK consiste donc à détruire autrui, mais de façon méthodique et rationnelle, car il est essentiel de garder le contrôle de la situation. Il s’agit donc de la forme scientifique et mise à jour de ce que l’on appelait jadis la magie, soit l’emprise totale sur autrui et sa transformation à volonté.
L’ethnographie des rituels occultes et de magie noire de différentes cultures, occidentale, vaudou, asiatique (« voie de la main gauche »), etc., met en évidence les mécanismes psychologiques sur lesquels ils reposent : à chaque fois, il s’agit d’infliger des traumatismes émotionnels à la sensibilité, de sorte à repousser les limites de ce que le sujet peut supporter. La transgression des limites est recherchée pour son efficacité en termes de conduite du changement par le stress.
Quand cette modification planifiée et agissant sur l’infra conscient du comportement est mise en œuvre au niveau des groupes, on parle même d’ingénierie sociale, qui est du MK de masse.
Le traumatisme visant à faire bouger les lignes pour les recomposer ensuite peut être conçu pour être spectaculaire, par exemple un grand attentat terroriste lourdement médiatisé. Mais il peut aussi être infusé à petites doses, comme on le voit avec la théorie de la confusion des genres, virus cognitif conçu pour induire un flou identitaire psychotique, dont la divulgation massive est niée en tant que telle mais avance masquée sous couvert d’autre chose (principe du hameçonnage). Dans les deux cas, les lésions peuvent être irréversibles.
Si le président Trump n’est pas réélu la situation décrite dans cette vidéo de 2014 a probablement de fortes chances de se poursuivre.
Les trois phases de résistance idéologique :
- 1) Réveiller le plus de personnes sur la situation actuelle.
- 2) Désobéissance civile (Résistance non-violente)
- 3) L’affrontement physique (Le dernier recours qu’il faut éviter ou retarder)
Genre : BD
Année : 2021
Résumé :
Un livre d’une brûlante actualité sur le choix des dirigeants européens, depuis le début des années 1980 jusqu’à aujourd’hui, de sacrifier l’emploi… et les effets dévastateurs de ce choix.
C’est une enquête fouillée, documentée, riche des témoignages d’anciens ministres, de conseillers de présidents de la République, d’anciens directeurs du Trésor ou du FMI, de banquiers, d’économistes, de juristes, de sociologues et de philosophes…
Benoît Collombat, journaliste à France Inter, a enquêté sur ce qui a fait basculer les choses : comment et pourquoi les hommes politiques ont « remis les clés » de l’organisation du monde à l’économie et à la finance. Ce basculement repose sur la victoire idéologique, à un moment donné, d’une pensée : le néolibéralisme, pour qui le rôle de l’État est avant tout de servir le marché.
Quelles personnalités sont à l’origine de ces grands choix économiques ?
Quel rôle a joué la construction européenne ?
Aujourd’hui, l’épidémie du coronavirus montre bien l’urgence de s’interroger sur ces choix politiques et économiques.
Documentaire du réalisateur Erwin Wagenhofer, une démonstration implacable sur les conséquences humaines, démographiques et écologiques de la dérégulation économique.
C'est l'histoire de deux mondes qui s'interpénètrent sans jamais se rencontrer.
Dans l’un, on ramasse du coton ou on casse du minerai, dans l’autre, on "fait" de l’argent. Entre les deux, une passerelle à sens unique, qu’empruntent les flux invisibles de la finance mondiale.