le 24 juillet une attaque est lancée contre les convois de la Manche 15 Do 17 du I./KG2 et les Bf 109 du III./JG 26 attaquent vers midi. ils seront contrés par les 54,65, et 610 SQ.
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https://www.youtube.com/watch?v=V_Axi5C1AeE
Vers 14h30 15h00 les appareils du 11ème group sont envoyés sur la mer affronter des vagues successives de Ju 88 de la KG 4 et Des stukas escortés par les III./JG 26 et la JG 51.
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https://www.youtube.com/watch?v=cIyyXJf_qxE
En fin d'après midi le II./JG 51 attaque les ballons de barrage cotier dans le secteur de Douvres et tombe nez a nez avec le N°74 Sq .
5 victoires seront revendiquées . 3 Spitfires seront effectivement portés manquants.
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https://www.youtube.com/watch?v=gVy1q6Sy0LI
La bataille de Morhange, Schlacht bei Dieuze pour les Allemands, est l'une des batailles de la Première Guerre mondiale lors de sa première phase . Elle se déroule les 19 et 20 août 1914 sur un front qui s'étire sur près de 30 kilomètres et impliquant séparément les villes de Morhange et de Dieuze dans l'actuel département de la Moselle, alors territoire allemand. En fait, il y a eu deux batailles séparées : celle de Morhange à l'ouest avec le 20e corps d'armée commandé par le général Foch et celle de Dieuze à l'est avec les 15e et 16e corps d'armée commandés respectivement par les généraux Espinasse et Taverna. Les deux villes — distantes de 14 kilomètres — étaient en effet séparées par les lignes fortifiées des hauteurs de la forêt de Bride tenues par les unités allemandes. De plus, comme les batailles de Morhange et de Sarrebourg ont eu lieu en même temps, elles sont parfois regroupées sous le nom de bataille de Lorraine
La journée du 20 août Cette 39e division 146e,153e,156e, et 160e régiments d'infanterie
et 41e,43e régiments d'infanterie coloniale) s'est ruée de Château‑Bréhain et Oron vers Marthil et Chicourt. Elle a été soumise à un feu violent de l'artillerie allemande, cette artillerie se trouvant renforcée par les grosses pièces amenées du camp retranché de Metz. La 39e division a subi des pertes irréparables.
Vers 7h30, la situation devient plus tragique encore. Le IIIe Corps bavarois débouche de la région de Destry, et se lance à la contre-attaque dans le flanc gauche de notre 39e division L'offensive de nos troupes est immédiatement enrayée. La poussée ennemie se fait de plus en plus violente. Partout des masses « feldgrau » surgissent des bois, où elles se dissimulaient, et se glissent dans les avoines. Les Bavarois avancent, en tirant sans relâche. Ils sont à 200 mètres, puis à 100 mètres de nos lignes.
C'est presque à bout portant qu'on se fusille. En vain les canonniers du 8e et du 60e d'artillerie couvrent de projectiles les formation ennemies.
Leurs pièces sont prise à partie par les artilleurs allemands, et nos canons, les uns après les autres, doivent se taire. Plusieurs de nos batteries sont enlevées après un sanglant corps à corps. L'infanterie bavaroise est partout, venant de partout.
Les marsouins du 43e tiennent énergiquement; ils ne cèdent que pied à pied le terrain. Des vides se creusent sans cesse dans leurs rangs. Il semble que toute la 39e division doive être submergée par la vague gris vert
. A 8 heures, notre retraite se dessine sur Château‑Salins. Les coloniaux vont résister encore, au prix des plus durs sacrifices, pour contenir l'ennemi sur notre gauche, et permettre à la 39e division de se dérober de l'étreinte des Bav
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https://www.youtube.com/watch?v=CnfA8b-q-Pw