En examinant le planisphère de la pollution mondiale, il apparaît que le principal vecteur du Coronavirus serait lié à la présence constante de poches de dioxyde d'azote dans l'atmosphère. La représentation ci-après en dit long sur les dangereux gaz issus de la combustion thermique et des moteurs à explosion. On y voit des poches qui stagnent juste au-dessus de l'écorce terrestre. Inversement, voici un aperçu des zones globalement très épargnées par le virus. Il y a, aussi, les exceptions : Corée du Sud, Taïwan ou Hong Kong (Ces localités sont situées sous les gaz toxiques mais ont tout misé sur la prévention). Grâce à la fermeture hâtive de leurs frontières, et la mise en quarantaine des seules personnes testées positives, ces zones pourtant très peuplées n'ont pas subi le gros impact lié à l'épidémie, qui plus est, sans jamais avoir eu à imposer un confinement total. Le port du masque (Décidé dès le début) ayant permis de faire barrière au virus. Le vecteur principal des nouveaux coronavirus serait, donc, les mollécules de No2 (Oxyde de carbone) circulant dans les basses couches atmosphériques. Le Covid-19 possédant, en outre, une couche externe lipidique, excèle dans cet air gras qui lui permet de prolonger son existence. Afin de pouvoir revitaliser l'atmosphère en évacuant ces multiples poches d'oxyde d'azote, Il faudrait d'abord obtenir l'abolition complète des moteurs à combustion interne, ainsi que l'exploitation des centrales thermiques, ce qui permettrait d'endiguer significativement cette nouvelle menace virale... @Tchan&Lot 04/2020
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