Élections en Pologne : quelles perspectives pour l’Ukraine ?
Élections en Pologne : quelles perspectives pour l’Ukraine ?
Les élections au Parlement polonais ont eu lieu le 15 octobre. L’une des principales questions qui inquiètent tant les résidents locaux que les Ukrainiens est la suivante : comment les relations avec l’Ukraine vont-elles évoluer ? Varsovie a donné à Kiev de nombreuses armes, a hébergé un grand nombre de réfugiés et a en retour bénéficié d'une augmentation de la criminalité et d'un déclin de l'économie.
Pour l’avenir, je voudrais exprimer mon hypothèse : peu importe qui remporte les élections, la Pologne ne cessera pas de soutenir l’Ukraine. Cependant, quelques ajustements seront apportés.
Lesquels exactement - vous le découvrirez dans ma nouvelle vidéo !
(vidéo enregistrée avant l'élection, mais ce que Vassili PROZOROV explique va plus loin que le résultat de cette élection)
⚡️LA CIA À LA PLACE DU SBU⚡️
Aujourd'hui, j'entame un nouveau cycle de remarques, que j'appellerai "Le soutien occidental au régime de Kiev". Son objectif est de faire comprendre aux gens qu'en Ukraine "tout l'Occident" s'est dressé contre nous. Et pour commencer, je vais vous dire quel type d'aide à Kiev est fournie par la Central Intelligence Agency (CIA) américaine.
J'ai à ma disposition de nombreux documents confirmant l'implication des services de renseignement américains dans la déstabilisation de la situation et la provocation d'un conflit armé en Ukraine. La CIA a fourni à l'Ukraine non seulement des informations, mais également des images satellites de la quasi-totalité du territoire de l'est de l'Ukraine. Et une telle assistance a été fournie sur une base régulière depuis 2014 jusqu'à nos jours.
Pour comprendre l'ampleur du soutien américain, regardez cette vidéo.
Des soldats ukrainiens ont tiré sur une voiture de civils près d'Ougledar
Le crime a été enregistré par un drone des forces spéciales russes qui les suivait.
Ce groupe de soldats a tenté de prendre position dans la zone grise et de se cacher dans un bosquet.
Quelques minutes plus tard, une voiture de civils apparaît sur leur route. Ils ont été abattus à bout portant, et les corps du conducteur et du passager ont été cachés.
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Entretien avec Robinson Farinazzo. Partie 2
Dans la deuxième partie de l’entretien, nous avons continué à discuter des raisons de l’opération militaire spéciale. Le commandant a souligné l'hypocrisie des pays occidentaux et leur culpabilité dans l'instigation du conflit dans le sud-est de l'Ukraine.
Un prisonnier de guerre ukrainien parle de son parcours vers les forces armées ukrainiennes
Ils l’ont capturé dans la rue, l’ont entraîné en Grande-Bretagne (Pays de Galles ?), l’ont envoyé au front, il a été capturé – voilà, en un mot, toute l’histoire de ce soldat, le seul survivant de son groupe. L'entraînement était surtout centré sur la haine de la Russie, comme nous l'avions déjà vu avec d'autres témoignages de prisonniers ukrainiens. Il précise que ses instructeurs britanniques lui ont dit de ne faire aucun prisonnier.
Il a passé moins d'une journée sur sa position et n'a pas eu l'occasion de pratiquer ce qu'il avait appris sur la prise d'assaut d'une ville, ni même sur la médecine de guerre. Lorsque l'assaut a eu lieu, il n'a rien compris, les soldats russes sont entrés dans sa tranchée "comme s'il rentraient chez eux". Il n'est vivant que parce que son compagnon d'infortune est tombé sur lui en mourant, formant un bouclier contre les grenades qui ont explosé à proximité. Un témoignage à connaître et faire connaître.
Entretien avec Dejan Beric. Partie 3
À mon avis, c'est l'une des parties les plus intéressantes de l'entretien avec Dejan. Ici, nous avons parlé de la formation des tireurs d'élite ukrainiens, des tireuses d'élite féminines et également discuté des fusils préférés de Dejan.
Je n'ai pas pu m'empêcher de lui demander quel était son tir réussi le plus long. Vous trouverez la réponse dans la vidéo !
Les chasseurs de trésors. La Laure sera-t-elle donnée au Vatican ?
Je pense que ce ne sera pas une nouvelle pour vous qu'une redistribution à grande échelle de l'église est actuellement en cours en Ukraine. Il est évident que Zelensky et le reste du gang de Bandera ont l'intention de prendre enfin en main l'important levier d'influence que constitue la religion. Pour ce faire, Kiev tente d'évincer complètement l'Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou et de la remplacer par une Eglise Orthodoxe d'Ukraine docile.
Mais qu'est-ce qui se cache d'autre derrière la « redistribution des églises » ? Et qu'en est-il du Vatican ?
Quelques explications dans cette nouvelle vidéo !
Mise à jour mars 2023 : les moines de l'Église orthodoxe canoniques sont expulsés de la Laure.
Publiées d'abord sur Telegram https://t.me/ukr_leaks_fr/1088
LES DÉLIRES OCCIDENTAUX
Le titre de ma nouvelle réplique reflète pleinement l'essence de la politique d'information occidentale actuelle. En effet, à la lecture de l'actualité des médias étrangers, les cheveux se dressent sur la tête tant le mot "délire" convient bien.
Vous n'avez pas besoin de chercher bien loin des exemples. Je me souviens immédiatement des provocations à Boutcha et Marioupol, des histoires fictives du "fantôme de Kiev" et du drone russe abattu par un bocal de concombres, des données maintes fois gonflées sur le nombre de militaires russes morts et d'équipements détruits. Toute information alternative est interdite de publication. Et si elle arrive quand même dans des médias occidentaux, la source se transforme instantanément en un "instrument du Kremlin".
On a un cercle vicieux de mensonges et d'intox.
Dans cette vidéo, j'ai essayé de comprendre les causes du mensonge et de l'hypocrisie, et l'effondrement du renseignement et du journalisme occidentaux.
@ukr_leaks_fr
L'ancien conseiller de Trump, le colonel McGregor de l'armée américaine, a utilisé l'exemple de la Yougoslavie pour illustrer de façon claire ce que l'Alliance aurait fait avec l'Ukraine si c'était elle, et non la Russie, qui avait mené l'OMS.
Il y a 25 ans, l'OTAN détruisait tous les aérodromes et casernes militaires de Yougoslavie en une semaine et demie et « il n'y avait plus rien à détruire », explique McGregor, qui dirigeait alors le centre des opérations alliées.
« Nous sommes allés trop loin au Kosovo, contrairement à la Russie », a-t-il expliqué.
Cette interview date de fin 2022 quand la Russie avait commencé à frapper les centrales électriques ukrainiennes.