Morbius est un film de super-héros américain réalisé par Daniel Espinosa et sorti en 2022. Troisième film de l'univers commun Sony's Spider-Man Universe, il met en scène le personnage Morbius de Marvel Comics, ennemi de Spider-Man.
Le film reçoit des critiques presse majoritairement négatives.
Synopsis :
Atteint depuis toujours d'une rare maladie du sang, le biochimiste Michael Morbius tente de se soigner lui et son ami d'enfance, Milo. Avec l'aide du Dr Martine Bancroft, il fait des recherches à partir de chauve-souris capturées au Costa Rica. Déterminé à trouver un remède, il devient son propre cobaye. Cependant rien ne se passe comme prévu. Morbius doit alors faire face aux symptômes du vampirisme.
Cast :
Jared Leto (VF : Glen Hervé) : Dr Michael Morbius / Morbius, hématologue-chercheur
Matt Smith (VF : Gilduin Tissier) : Lucian "Milo" Morbius / Hunger
Adria Arjona (VF : Claire Morin) : Dr Martine Bancroft
Tyrese Gibson (VF : Daniel Lobé) : l'agent fédéral Simon Stroud
Jared Harris (VF : Gérard Darier) : Dr Emil Nicholas
Al Madrigal (VF : Thierry Kazazian) : l'agent fédéral Alberto Rodriguez
Corey Johnson (VF : Cédric Ingard) : M. Fox
Archie Renaux (VF : Alan Aubert-Carlin ; VQ : Sébastien Reding) : Bobby
Charlie Shotwell : Michael Morbius, jeune
Bentley Kalu : un agent de sécurité privée
Michael Keaton (VF : Bernard Lanneau) : Adrian Toomes / le Vautour (scènes post-générique)
Escape Game 2 : Le monde est un piège, ou Jeu d’évasion : Le Tournoi des champions au Québec, (Escape Room: Tournament of Champions) est un thriller psychologique américain réalisé par Adam Robitel et sorti en 2021.
Il s'agit d'une suite du film Escape Game, également réalisé par Robitel et sorti en 2019. Se déroulant juste après les événements du premier volet, le film suit Zoey (Taylor Russell) et Ben (Logan Miller) dans leurs quête pour faire tomber la société Minos Corporation. Néanmoins, ils se retrouvent embarqués dans un nouvel escape game mortel aux côtés d'autres survivants.
Prévu à l'origine pour une sortie en fin d'année 2020, avant d'être reporté à cause de la pandémie de Covid-19, il fait partie des productions ayant conservé une sortie uniquement dans les salles de cinéma malgré une industrie cinématographique toujours fortement affectée par la pandémie lors de sa sortie1. Comme son prédécesseur, il reçoit un accueil critique divisé de la part de la presse américaine.
Une version longue et alternative du film, qui intègre de nouveaux personnages ainsi qu'une nouvelle intrigue et une fin différente, est sortie uniquement pour le marché vidéo. (C'est la version présentée ici, qui a mon sens, est plus logique que la version cinéma visiblement très charcutée, et qui est donc plus en adéquation avec la vision réelle du réalisateur)
Inside Man : L'Homme de l'intérieur ou L'Informateur au Québec (Inside Man) est un film américain réalisé par Spike Lee, sorti en 2006.
Synopsis et début :
Quatre braqueurs, dirigés par le mercenaire Dalton Russell, prennent d'assaut une des plus grandes banques de Manhattan. Armés et cagoulés, Russell et ses trois complices barricadent toutes les issues et prennent en otage les clients de la banque et le personnel.
Très vite, le SWAT, dirigé par le capitaine Darius, encercle la banque. L'inspecteur Keith Frazier et son adjoint Bill Mitchell sont chargés de négocier par radio avec les preneurs d'otages. Frazier réalise très vite que les braqueurs tentent de percer les coffres pour autre chose que de l'argent. De plus, Russell prétend avoir mis au point le plan parfait pour s'enfuir de la banque avec ses hommes malgré le blocus après le braquage.
Cast :
Denzel Washington (VF : Emmanuel Jacomy) : l'inspecteur Keith Frazier
Clive Owen (VF : Julien Kramer) : Dalton Russell
Jodie Foster (VF : elle-même) : Madeleine White
Christopher Plummer (VF : Bernard Dhéran) : Arthur Case
Willem Dafoe (VF : Patrick Floersheim) : le capitaine John Darius
Chiwetel Ejiofor (VF : Lucien Jean-Baptiste) : l'inspecteur Bill Mitchell
Carlos Andrés Gómez (VF : Vincent Ropion) : Steve
Kim Director (VF : Aurélie Mériel) : Stevie
James Ransone (VF : Alexis Tomassian) : Steve-O
Bernard Rachelle (VF : Gérard Berner) : Chaim
Peter Gerety (VF : Jacques Bouanich) : le capitaine Coughlin
Victor Colicchio (VF : Guillaume Lebon) : le sergent Collins
Cassandra Freeman : Sylvia
Peter Frechette (VF : Edgar Givry) : Peter Hammond
Gerry Vichi (VQ : André Montmorency) : Herman Gluck
Waris Ahluwalia (VF : Taric Mehani) : Vikram Walia
Ashlie Atkinson (VF : Odile Schmitt) : l'officier Berk
David Brown : l'officier Carnow
Ken Leung (VF : Donald Reignoux) : Wing
Samantha Ivers : Nancy Mann
Jason Manuel Olazabal (VF : Laurent Morteau) : l'officier Hernandez
Jeff Ward : l'officier Jesus
Peter Kybart (VF : Jean-Luc Kayser) : le maire
Michael Devine : un officier
Lionel Pina : le policier avec les pizzas
Frank Hopf : l'officier qui barricade
Dominic Carter : le journaliste de NY1 News
Sandra Endo (VF : Marie Zidi) : Sandra Endo, la journaliste de NY1 News
Vincent DiMartino : le barbier
Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull) est un film d'aventure américain réalisé par Steven Spielberg et produit par George Lucas, sorti en 2008. Il s'agit du quatrième volet de la série des Indiana Jones mettant en vedette l'acteur Harrison Ford.
Synopsis et début :
Nevada, 1957. En pleine guerre froide, le professeur Henry « Indiana » Jones et son collègue « Mac » sont capturés par des militaires soviétiques et transportés de force dans la Zone 51, laquelle contient un hangar où sont entreposés des milliers de caisses. Sous la menace, Indiana aide les Soviétiques à s'emparer de l'une d'elles, qui a la particularité d'être magnétisée. En l'ouvrant, les Soviétiques découvrent le corps d'un être difforme. Trahi par Mac qui rejoint l'ennemi, Jones parvient à s'échapper et s'enfuit dans le désert, poursuivi par les sbires du colonel-docteur Irina Spalko (il est dit, plus tard dans le film, qu'elle est au service de Staline, or celui-ci est mort en 1953). Il se réfugie dans une ville artificielle, construite pour un test programmé d'une explosion de bombe H. Avant que la bombe n'explose, l'aventurier parvient de justesse à se protéger du souffle en se réfugiant dans un réfrigérateur.
Une fois tiré d'affaire, Jones doit faire face à des agents du FBI le suspectant de se livrer à des activités illégales et de trahison envers les États-Unis. Il est également licencié de son poste de professeur au Marshall College à Bedford (Connecticut). Fuyant l’Amérique pour enseigner à LeipzigNote 1, Jones fait la connaissance à la gare de New York d'un jeune motard, Mutt Williams, qui lui fait part de la disparition du professeur Oxley, enlevé par des agents soviétiques en Amérique du Sud alors qu'il recherchait un crâne de cristal, une relique légendaire. Mutt donne à Indiana une lettre de sa mère, qui a également été enlevée avec Oxley. Indiana Jones résout une partie de l'énigme et découvre qu'elle se réfère aux géoglyphes de Nazca.
Cast :
Harrison Ford (VF : Richard Darbois) : Dr Henry Walton « Indiana » Jones Jr
Shia LaBeouf (VF : Alexis Tomassian) : Henry « Mutt » Williams
Karen Allen (VF : Frédérique Tirmont) : Marion Ravenwood
Cate Blanchett (VF : Martine Irzenski) : Colonel-Professeur Irina Spalko
John Hurt (VF : Jean-Pierre Leroux) : Pr Harold Oxley
Ray Winstone (VF : Patrick Béthune) : George « Mac » MacHale
Jim Broadbent (VF : Bernard Dhéranç) : Doyen Charles Stanforth
Igor Jijikine (VF : Lui-même) : Colonel Antonin Dovchenko
Alan Dale (VF : Marc Cassot) : Général Robert Ross
Joel Stoffer (VF : Olivier Augrond) : Agent Taylor
Neil Flynn (VF : Boris Rehlinger) : Agent Paul Smith
Dimitri Diatchenko : un agent du KGB
Ilya Volok : un agent du KGB
Emmanuel Todorov : "Lincoln", un soldat russe
Pasha D. Lychnikoff : "Roosevelt", un soldat russe
Andrew Divoff : "Grant", un soldat russe
Veniamin Manzyuk : "Jefferson", un soldat russe
V. J. Foster : le pasteur
Chet Hanks : l'étudiant dans la librairie
Sasha Spielberg : la fille cognant Mutt au bar
Nito Larioza : un guerrier du cimetière
Ernie Reyes : un guerrier du cimetière
Robert Baker : Jimmy Wycroft, le sergent de la police militaire
Jon Braver : "Franklin", un soldat russe (non crédité)
John Dixon : "Hoover", un soldat russe (non crédité)
Gleb Kaminer : le chauffeur de Spalko (non crédité)
Caméos photographiques :
Sean Connery : Dr Henry Walton Jones Sr (non crédité)
Denholm Elliott : Marcus Brody (non crédité)
Kate Capshaw : Wilhelmina « Willie » Scott (non créditée)
Thor : Le Monde des ténèbres ou Thor : Un monde obscur au Québec (Thor: The Dark World) est un film de super-héros américain réalisé par Alan Taylor, sorti le 8 novembre 2013.
C'est la suite de Thor sorti en 2011. Ces films font partie d'un même univers inspiré des comics Marvel, appelé l’univers cinématographique Marvel. Ce film compte comme la 8e étape, et fait partie de la phase II.
Le début :
Bien avant la naissance de la lumière, il y avait les ténèbres. Et de ces ténèbres naquirent les Elfes noirs. Il y a cinq mille ans, Malekith, le chef des Elfes noirs, voulut que l'univers retombât à jamais dans la nuit éternelle grâce au pouvoir de l'Éther, une force antique ayant une forme fluide. L'armée d'Asgard, sous le commandement du roi Bor, le père d'Odin, affronta les Elfes noirs dans leur monde : Svartalfheim (plus souvent appelé le Monde des ténèbres). Tandis que la Convergence alignait les Neuf royaumes dans les cieux, Malekith put enfin déchainer le pouvoir de l'Éther. Mais Asgard arracha l'arme à son emprise. Ce qui causa la chute des Elfes noirs. Voyant que la bataille était perdue, Malekith, accompagné de son lieutenant Algrim et des derniers Elfes noirs, prit la fuite à bord de son vaisseau. L'Éther étant indestructible, Bor ordonna de l'enterrer profondément dans un lieu inconnu.
Cast :
Chris Hemsworth (VF : Adrien Antoine ; VQ : Martin Desgagné) : Thor
Tom Hiddleston (VF : Alexis Victor) : Loki
Natalie Portman (VF : Sylvie Jacob) : Jane Foster
Idris Elba (VF : Frantz Confiac) : Heimdall
Anthony Hopkins (VF : Jean-Pierre Moulin) : Odin
Stellan Skarsgård (VF : Jacques Frantz) : le docteur Erik Selvig
Christopher Eccleston (VF : Patrick Osmond) : Malekith
Adewale Akinnuoye-Agbaje : Algrim / Kurse
Kat Dennings (VF : Kelly Marot) : Darcy Lewis
Rene Russo (VF : Véronique Augereau) : Frigga
Ray Stevenson (VF : Patrice Melennec) : Volstagg
Zachary Levi (VF : Emmanuel Garijo) : Fandral
Jaimie Alexander (VF : Ingrid Donnadieu) : Sif
Jonathan Howard (VF : Julien Alluguette) : Ian Boothby, l'assistant
Tadanobu Asano (VF : Stéphane Fourreau) : Hogun
Chris O'Dowd (VF : Guillaume Orsat ) : Richard
Alice Krige (VQ : Nathalie Coupal) : la scientifique asgardienne
Richard Whiten : Kemper
Russell Balogh : Einherjar
Tony Curran (VQ : Mario Desmarais) : Bor
Richard Brake : le capitaine des Einherjar8
Brett Tucker (VF : Gilduin Tissier) : le garde Einherjar (l'une des transformations de Loki)
Glen Stanway (VF : Jérôme Wiggins) : l'officier de police
Stan Lee : un patient de l'hôpital psychiatrique (caméo)
Chris Evans (VF : Alexandre Gillet) : Steve Rogers / Captain America (l'une des transformations de Loki, caméo)
Benicio del Toro (VF : Boris Rehlinger) : Taneleer Tivan / le Collectionneur (scène inter-générique)
Ophelia Lovibond : Carina (scène inter-générique, non créditée)
Les hauts et les bas de "Sly" qui, tel Rocky, son indestructible alter ego, s'est toujours relevé malgré les coups. Le portrait riche en testostérone d'un costaud attendrissant et non dénué d'humour.
Son regard tombant, qui lui valut des quolibets à l'école et des rôles de sale type à ses débuts, Sylvester Stallone le doit à une naissance aux forceps qui lui paralyse temporairement le visage. Cet enfant mal-aimé des bas quartiers new-yorkais se réfugie dans la rêverie et le sport. Le bodybuilder italo-américain Charles Atlas étant l'idole de sa famille, Stallone, alors gringalet, suera des années pour se construire une carrure. Après avoir frôlé la délinquance, il découvre le théâtre, enchaîne les petits rôles et accepte même, faute de mieux, un porno soft.
Stylo et biceps
Scénariste doué mais acteur complexé, celui qu'on surnommera "Sly" va forger à la force du biceps et du stylo deux figures de héros ultrapopulaires : Rocky et Rambo. Malgré ses incursions dans des rôles moins caricaturaux, tournant souvent au fiasco, il reviendra toujours à ces deux icônes du film d'action que le monde entier a fini par confondre avec lui, pour le pire et le meilleur. Après avoir été adulé, il passera en effet pour l'incarnation bodybuildée de la bêtise américaine. D'extrait de films en archives d'interview, où Sly dégaine des punchlines pleines d'autodérision, ce documentaire montre comment l'acteur mord la poussière mais se relève infailliblement, y compris lorsque, après le succès de Rocky, il perd le sens des réalités et devient un habitué de la presse à scandale. Habile à recycler ses déboires, il racontera cette période bling-bling dans le deuxième épisode de la saga. Le portrait, riche en testostérone, d'un loser bodybuildé, mais également sensible et doté d'humour, que son besoin de reconnaissance et sa ténacité rendent attachant.
Stallone, profession héros
Documentaire d'Antoine Coursat (France, 2018, 52mn)
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