Le père Jean-Paul Régimbal (1931-1988) est un prêtre catholique né à North Bay (Ontario) et rattaché à la communauté des Trinitaires. Il est ordonné prêtre en 1957. Ses premières années de ministère sacerdotal furent consacrées au service des jeunes délinquants ainsi qu’à l’aumônerie de centres de détention.
Prédicateur attirant les foules, il a fondé un centre de retraite à Granby et a contribué à la croissance du mouvement catholique charismatique. Il fut l'instigateur de quelques congrès qui ont attiré des milliers de personnes. Il est aussi un auteur du Québec connu pour ses opinions antimaçonniques. Au cours d'émissions télévisées le père Régimbal dénonce le pouvoir des illuminati, une secte gnostique manichéenne issus du 33e degré de la franc-maçonnerie qui veut faire émerger un nouvel ordre mondial sous le règne de Satan. Son influence s'exercerait sur le plan économique et bancaire, politico-militaire, socio-culturel et religieux aux États-Unis et en Europe. Régimbal dénonce le capitalisme, le libre-échange illustré par les théories de Milton Friedman, les placements boursiers, et l'émission des "dollars fantômes" qui induit les crises économiques; et annonce la mise en place de la puce sous-cutanée.
* Les "illuminati" n'existent pas. Il n'y a aucune preuve apportée par Pierre Hillard spécialiste du mondialisme.
Synopsis:
Les douze dernières heures de la vie de Jésus de Nazareth, soit la Passion : Jésus prie au mont des Oliviers et résiste à la tentation de Satan. Capturé par les autorités juives, Jésus est ensuite flagellé après sa dénonciation par Judas auprès du Grand Prêtre Caïphe et de sa cour. On voit ensuite son jugement par le préfet romain Ponce Pilate et son passage devant le souverain Hérode aboutissant à sa condamnation à mort.
Pierre de Villemarest, né à Chalon-sur-Saône le 10 décembre 1922 et mort le 22 février 2008 à Évreux, est un ancien résistant, membre des services de contre-espionnage français, devenu journaliste et écrivain, spécialiste des relations internationales.
En septembre 1940, il participe à la création de la « Dernière Colonne », un petit groupe de résistants . Ce groupe deviendra Libération-Sud. Par la suite Villemarest rejoint l’Armée secrète dont il commande en 1943 un corps franc dans le Vercors. Agent P2 du réseau Kléber, spécialisé dans le renseignement, il participe à la dénazification de l’Allemagne et de l’Autriche, et tisse des liens avec les services américains et anglais dès cette époque.
Après la guerre, il est décoré de la croix de guerre 1939-1945, de la Croix du combattant volontaire de la Résistance et de la médaille des engagés volontaires.