Arthur demande des chiens de guerre à Galessin. Alors que le dressage n’est plus pratiqué en Orcanie depuis quelques siècles, celui-ci lui donne un petit chien craintif nommé Attila.
C'est un beau matin. Guenièvre est bien partie rejoindre Lancelot; ils sont réunis. Les notables à Kaamelott sont consternés. Séli est enragée contre sa fille; à l'inverse d'Arthur, qui ne cache pas sa joie.
Bohort engage un nouveau porte-drapeau. Celui-ci est assez maladroit : au lieu de parlementer avec les ennemis, il les insulte sans le vouloir, et déclenche la bataille.
Perceval et Karadoc souhaitent une potion de puissance, mais l’enchanteur Merlin la leur refuse après que les deux amis ont déclenché un incendie dans le château avec un parchemin de boule de feu. Ils vont alors emprunter des fioles pour concocter la potion eux-mêmes, et le résultat est plutôt inattendu (ingurgiter ladite potion rend la voix extrêmement aiguë). Grâce à leur potion, ils aident à remporter la bataille suivante, mais les nerfs des autres chevaliers sont mis à mal par les compères.
La nouvelle intendante refuse la bectance de nuit au chevalier Karadoc, qui réagit plutôt mal. Arthur intervient : l'intendante doit surveiller les chapardages, excepté dans le cas très spécial du seigneur Karadoc. Le soir où Léodagan cherche un casse-croûte pour la nuit, l'intendante intervient à nouveau.
Morceaux choisis d’ivresse : Lancelot est trop rond pour aller se battre, Bohort se saoûle à la suite d’un traité de paix raté, Léodagan, le maître d'armes et Guenièvre racontent leurs exploits de beuveries, Arthur boit par dépit et Perceval et Karadoc sont ivres à la taverne et Perceval crie « Pays de Galles indépendant » !
Arthur confie un message codé oral de la plus haute importance à Karadoc, qui doit le remettre à Lancelot. Mais il est pris, et le transmet à Perceval. Celui-ci le remet à Lancelot, mais évidemment il a été déformé.
Arrêté pour avoir revendu du vin grec, le tavernier monnaye sa liberté en informant Arthur de la présence d'un traître parmi ses Chevaliers. Il le décrit comme un grand brun frisé à l'allure antipathique ...