Ce documentaire explore des innovations révolutionnaires du monde entier, décompose les principes qu'elles ont en commun et offre des idées, des outils et des stratégies pour récupérer nos vies et notre avenir. En 2011, un film incroyablement révélateur est sorti, THRIVE: What On Earth Will It Take? [PROSPÉRER : Ce qu’il faudrait sur terre] THRIVE est un documentaire non conventionnel qui lève le voile sur ce qui se passe VRAIMENT dans notre monde en suivant l’argent en amont – révélant la consolidation mondiale du pouvoir dans presque tous les aspects de nos vies. Tissant ensemble des percées dans la science, la conscience et l’activisme, THRIVE offre de vraies solutions, nous donnant des stratégies sans précédent et audacieuses pour récupérer nos vies et notre avenir.
28 déc. 2022 voici la vérité
Ukraine : "Je ne me bats pas contre ma patrie (...), je me bats contre le régime de Poutine". Dans le Donbass, des soldats russes se battent aux côtés des forces ukrainiennes. Ils sont membres de la "Légion de la liberté de la Russie".
Plus riches et plus puissantes que jamais, les firmes pharmaceutiques orientent la recherche et le remboursement des soins. Enquête sur une industrie hors de contrôle, dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec les impératifs de santé publique.
On les surnomme les "Big Pharma" : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments. Pour conserver leur monopole, ces grands laboratoires minimiseraient, voire occulteraient, certains effets indésirables causés par leurs produits.
En Europe, la Dépakine, un antiépileptique responsable de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux chez des enfants exposés in utero, est au cœur d’un retentissant scandale. Soupçonné d’avoir tardé à alerter les autorités sanitaires et les consommateurs sur ces risques pourtant connus, Sanofi a été mis en examen pour "tromperie aggravée", "blessures involontaires" et "homicides involontaires".
Aux États-Unis, où la crise des opioïdes fait des ravages (plus de cent morts par jour), les multinationales pharmaceutiques sont accusées d’avoir encouragé la prescription massive de ces antidouleurs en dissimulant leur caractère hautement addictif.
En 2019, Johnson & Johnson a ainsi été condamné à payer 572 millions de dollars à l’État d’Oklahoma pour avoir mis en danger la vie de ses citoyens.
Alors que l’industrie pharmaceutique bénéficie largement des innovations de la recherche publique, les prix des médicaments atteignent des sommets : facturé 84 000 dollars aux États-Unis, où la tarification n’est pas encadrée, le traitement contre l’hépatite C coûte 24 000 euros en France, quand la nouvelle thérapie génique contre la leucémie commercialisée par Novartis avoisine les 300 000 euros.
Entre intense lobbying et ententes illicites, les laboratoires déploient d’efficaces stratégies pour préserver leurs exclusivités, à l’instar du même Novartis, qui est parvenu à imposer sur le marché un médicament contre la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) quarante fois plus coûteux que son concurrent.
Le 9 septembre 2020, Novartis, Roche et Genentech ont ainsi été condamnés par l’Autorité française de la concurrence à payer 445 millions d’euros pour pratiques abusives dans le traitement de la DMLA.
Big Pharma : Labos tout-puissants
Documentaire de Claire Lasko et Luc Hermann (France, 2018, 1h28mn) lien de la chaine https://odysee.com/@Roms17:d/Big-Pharma---Labos-tout-puissants:5f?lc=ea249b663475edf5f5765e3de9dbd227c6d0c2d652d8fd0ba7b1e9b3d46f7d89
2 oct. 2023 LE CARGO
En temps de guerre, le droit humanitaire joue un rôle essentiel en préservant l'humanité, en atténuant les souffrances et en établissant des normes de comportement pour toutes les parties en conflit. En respectant ces règles, la communauté internationale peut contribuer à minimiser les ravages de la guerre sur les civils innocents, renforçant ainsi les valeurs fondamentales de l'humanité même dans les moments les plus sombres. Il est de la responsabilité de tous les acteurs impliqués dans un conflit de respecter et de promouvoir ces principes, car c'est là que réside l'espoir d'un avenir plus pacifique et plus humain pour tous.
Pour lutter contre le Covid-19, nous avons tous été soumis à des mesures drastiques, changeantes, et même contradictoires. Mais s’il y a bien une constante depuis le départ de cette crise, c’est l’espoir affiché par nos gouvernants que les vaccins nous sauveront. Malheureusement, et même si ces cas semblent rares, ces vaccins provoquent parfois des effets secondaires graves, voire mortels.
Dans cette course mondiale, et notamment française, vers la vaccination de toute la population, ces victimes sont-elles correctement prises en charge médicalement ? Sont-elles bien prises en compte, en considération ? A-t-on pris les bonnes mesures pour éviter que ces accidents vaccinaux ne se répètent ? C’est ce à quoi ce film tente de répondre, en donnant la parole à des victimes et à des spécialistes du sujet.
Un Film de Raphaël Berland
Une ÉNORME explosion a frappé un gisement stratégique de pétrole et de gaz russe au milieu des soupçons que des installations clés sont visées par des attaques de sabotage. Des flammes "de type Armageddon" ont jailli dans le ciel depuis l'incendie géant de l'installation de Markovskoye, le dernier d'une série d'explosions et d'incendies liés à la guerre en Ukraine. Des images dramatiques montrent la scène de l'enfer provoquée par le "feu à réaction" dans le district de Sibérie orientale d'Ust-Kut, dans la région d'Irkoutsk. Poutine a recruté des dizaines de milliers de ses combattants en Sibérie, et la région d'Irkoutsk a subi un taux de mortalité élevé. Au moins sept personnes ont été blessées dans l'explosion d'Angarsk, qui s'est produite dans la même région qu'une explosion trois jours plus tôt, comparée à un tremblement de terre ou à un accident d'avion pour sa force. Récemment, des explosions et des incendies ont également eu lieu dans des centres commerciaux ainsi que dans des installations énergétiques.
Nous sommes en 2021 et on n’en a pas encore fini avec le coronavirus. La menace d’un nouveau confinement arrive. Tout le monde regarde vers l’Angleterre et leur nouveau variant. Ce qu’on va voir dans cette vidéo c’est si l’épidémie de COVID-19 est vraiment plus mortelle que la grippe de 2017 et de combien est l’écart. Je vous annonce tout de suite qu’en faisant tous les calculs j’ai complètement halluciné.
Dans la vidéo précédente, je vous avais montré où aller chercher les données des personnes décédées pour faire vous-même les calculs et arrêter de vous faire manipuler par des journalistes qui ne maîtrisent absolument pas les chiffres et ont juste pour but de faire le plus peur possible, parce que c’est vendeur. A l’aide de ces chiffres je vous avais montré que l’épidémie de coronavirus n’a que très légèrement augmenté la mortalité et seulement pour les plus âgés. Les moins de 65 ans ne sont pas du tout plus décédés en 2020 qu’en 2019 et les plus de 65 ans, un peu plus.
J’expliquais sur cette vidéo que les décès supplémentaires que l’on voit en 2020 viennent surtout de la pyramide des âges de la France. Les français vieillissent avec notamment les célèbres baby-boomers. Même si la plupart des personnes regardant ma vidéo ont eu des critiques positives, j’ai regardé en détail ce que disaient les commentaires. En l’occurrence, 2 internautes, au milieu de leurs insultes me reprochent de mettre trop de poids au phénomène démographique. Ils disent que les 30 000 décès montrés comme liés au Covid-19 en mars-avril sont une preuve irréfutable que la Covid-19 est extrêmement dangereuse et mortelle. J’ai donc creusé la question et d’étudié en détail les chiffres de décès par âge. Pour ça, j’ai comparé l’épisode de grippe de 2017 à l’épisode de Covid-19.
Je vous avoue que je ne m’attendais absolument à ce que j’ai découvert. J’étais complètement scotché. En faisant cette comparaison vous allez voir qu’il ne faut plus dire que la Covid-19 est un peu plus mortel qu’une grippe. La Covid-19 est en fait moins mortel qu’une grippe. La seule raison pour laquelle nous avons eu une surmortalité plus forte en 2020 qu’en 2017, c’est uniquement que parce que les gens sont plus vieux.
Préparez-vous à tomber de votre chaise, on y va.
Dans la petite ville d’Izioum, les forces ennemies ont laissé derrière elles des centaines de corps. Certains portent encore les stigmates des supplices endurés, et les voix se mettent à chuchoter lorsqu’on évoque les sous-sols où l’occupant torturait des quidams parfois arrêtés au hasard.
Ceux qui n’avaient pu fuir hésitent encore entre soulagement et lassitude. Dans les territoires occupés, les pensions n’étaient plus versées depuis des mois, et l’aide humanitaire se fait attendre. Si la peur s’est emparée de la ville et de ses habitants durant l’occupation, c’est maintenant la colère qui habite nombre d’entre eux. Il leur faut encore survivre. L’heure est désormais à la traque des « collabos ».