FRA La guerre c'est horrible, mais il y a encore plus glauque que les combats sanglants, c'est la traite des enfants pour alimenter l'Occident. Voici le témoignage d'une fillete de 12 ans que les forces Ukr ont tenté d'emmener par deux fois en vain, et qui a été témoin de l'enlèvement d'un enfant à ses parents sous la menace d'armes à feu. Elle témoigne aussi de l'exécution par les Ukr de civils Ukr. Au tout début du conflit j'ai parlé de la disparition d'un bus de 30 enfants en Espagne, l'organisatrice de ce transport est Ukrainienne et dément toute responsabilité dans la disparition. Pas d'autres faits similaires n'ont étés dénoncés et cette histoire n'a pas eu de suites. Ce serait 60 000 enfants qui auraient disparu en Ukraine... Depuis les années 70 en France comme de nombreux pays occidentaux, les enfants sont un bien de consommation et d'échange. De nos jours ce n'est même plus dissimulé, et les gouvernements légalisent la pédophilie. Certains pays qualifiés de totalitaires durcissent les lois contre les pédophiles. Et dans nos pays démoncratiques on en vient à considérer la pédophilie comme une orientation sexuelle et la découverte de la pratique sexuelle pour les jeunes enfants comme un atout ( pour qui ?? ). Et cela sans compter les organes jeunes qui permet à des pays tels que l'Espagne de pratiquer de plus en plus de greffes. ENG War is horrible, but there is something even more sinister than bloody fighting, it is the trafficking of children to feed the West. Here is the testimony of a 12-year-old girl whom the Ukr forces tried to take away twice in vain, and who witnessed the abduction of a child from her parents under the threat of firearms. It also bears witness to the execution by the Ukr of Ukr civilians. At the very beginning of the conflict I spoke of the disappearance of a bus of 30 children in Spain, the organizer of this transport is Ukrainian and denies any responsibility in the disappearance. No other similar facts have been denounced and this story has had no follow-up. It would be 60,000 children who would have disappeared in Ukraine... Since the 1970s in France, like many Western countries, children have been a consumer and trade good. These days it's not even hidden anymore, and governments are legalizing pedophilia. Some countries described as totalitarian are toughening the laws against pedophiles. And in our democratic countries we come to consider pedophilia as a sexual orientation and the discovery of sexual practice for young children as an asset (for whom??). And that without counting the young organs which allows countries such as Spain to perform more and more transplants. ESP La guerra es horrible, pero hay algo aún más siniestro que los combates sangrientos, es el tráfico de niños para alimentar a Occidente. Aquí está el testimonio de una niña de 12 años a quien las fuerzas de Ukr intentaron llevarse dos veces en vano, y que presenció el secuestro de un niño de sus padres bajo la amenaza de armas de fuego. También da testimonio de la ejecución por parte de Ukr de civiles de Ukr. Nada más empezar el conflicto hablé de la desaparición de un autobús de 30 niños en España, el organizador de este transporte es ucraniano y niega cualquier responsabilidad en la desaparición. No se han denunciado otros hechos similares y esta historia no ha tenido seguimiento. Serían 60.000 niños los que habrían desaparecido en Ucrania... Desde la década de 1970 en Francia, como en muchos países occidentales, los niños han sido un bien de consumo y comercial. En estos días ya ni siquiera se oculta, y los gobiernos están legalizando la pedofilia. Algunos países calificados de totalitarios están endureciendo las leyes contra los pedófilos. Y en nuestros países democráticos llegamos a considerar la pedofilia como una orientación sexual y el descubrimiento de la práctica sexual de los niños pequeños como un activo (¿¿para quién??). Y eso sin contar los órganos jóvenes que permite a países como España realizar cada vez más trasplantes.

Une vidéo en vision subjective de la progression d'une unité Russe dans la ville de Rubezhnoye comme si vous y étiez.

Un reportage par la république du Donbass sur la milice partie 1

FRA-Un prisonnier Ukrainien a pu appeler ses parents pour les rassurer qu'il était en vie. Sa mère lui demande s'il a été frappé et maltraité. Il nie tout mauvais traitement. Sa mère demande s'il peut mettre la caméra pour savoir si c'est vrai car les médias UKR parlent de mauvais traitements. Il ne pense pas mais le soldat l'autorise et il échange via video et est très grossier envers ses chefs.