Au Texas, une nouvelle loi demandant aux professeurs de l’objectivité sur les questions controversées, la responsable d’éducation d’un établissement a expliqué aux enseignants: «Assurez vous que si vous avez un livre sur l’Holocauste, vous en avez aussi un qui présente le sujet autrement, de façon opposée.» Une auditrice s’étant indignée: «Comment peut-on contester l’Holocauste?», Gina Peddy répondit: «Croyez-moi, la question vient sur le tapis.» Cette affaire démontre que le révisionnisme s’étend…

Le 4 octobre 1943, dans un discours confidentiel à des officiers, Himmler aurait dit: «Je voudrais parler de l'évacuation des Juifs, de l'extermination du peuple juif. (…) Nous avions le droit moral, nous avions le devoir envers notre peuple, de détruire ce peuple qui voulait nous détruire.» Les historiens considèrent ce discours comme la preuve que les Juifs étaient systématiquement exterminés. Vincent Reynouard le remet dans son contexte et démontre qu’il n’en est rien.

## ÉP24: L'histoire du SS qui filma un gazage Les propagateurs de la thèse officielle de l'Holocauste disposent d'un film qui montrerait un "gazage expérimental" perpétré en 1941 dans un hôpital psychiatrique de Mogilev. La scène aurait été filmée par le SS Arthur Nebe. Après la guerre le chimiste allemand Albert Widmann avoua sa participation à ce gazage expérimental. D'autres SS confessèrent à leur tout et confirmèrent… S'appuyant sur des travaux américains qui expose les techniques policières d'interrogatoire qui permettent de faire avouer n'importe quoi à un suspect, Vincent Reynouard explique pourquoi ces "aveux" ont peu de valeur. Puis il explique pourquoi le film qui montrerait un "gazage expérimental" est dénué de force probante. ### ? Soutenir V. Reynouard => odysee.com/@sansconcession:f/devenez-mecene ### ? Plan de l'exposé 1. De la "Shoah par balles" à la "Shoah par gaz": une histoire qui ne repose sur aucun document d'époque 2. La valeur des “aveux” obtenus après la guerre - Menaces sur les familles pour obtenir des aveux signés : le cas de Fritz Sauckel (pendu en 1946) - Les techniques traditionnelles d'interrogatoire qui permettent d'obtenir les "aveux" désirés - Le cas du secrétaire personnel de Himmler Rudolf Brandt (pendu en 1948, le jour de son anniversaire) - Le cas de l'ancien commandant d'Auschwitz Rudolf Höss (pendu en 1947) - Après les "aveux" publics de Rudolf Höss, tout démenti devient inutile: le cas d'Otto Moll (pendu en 1946) - Le jugement de Nuremberg confirme que tout démenti sera désormais vain: les cas d'Oswald Pohl et d'Albert Widmann 3. Le film montrant un gazage expérimental - Un film effectivement tourné à Mogilev (Biélorussie), mais par qui? - La "découverte" du film l'original en juin 1947 - Un film capital que l'on ne montre ni au procès des Einsatzgruppen, ni au procès de Widmann... - Un film capital dont l'original est... perdu - Mon hypothèse sur la provenance réelle du film 4. Conclusion générale

La firme Samuel Goldwyn diffuse un film : « Le Rapport sur Auschwitz » aussi appelé « L’évasion d’Auschwitz ». « Une histoire vraie », dit-on. L’objectif du film est double : faire croire que dès 1944, la vérité sur l’extermination à Auschwitz aurait été révélée en détail, donc qu’il s’agissait bien d’une réalité; accuser le monde entier de n’avoir rien fait pour sauver les Juifs. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard rappelle pourquoi ce « rapport » était le fruit de rumeurs sans fondement qui couraient à l’époque. Il résume les principaux arguments (évidents) qui le démontrent. Comble de cynisme: bien que le vainqueur ait su la fausseté de ce rapport, à Nuremberg, il en produisit un court extrait pour « prouver » l’assassinat de… 1,7 million de Juifs à Auschwitz (une estimation reconnue fausse aujourd’hui). Vincent Reynouard conclut: « loin de prouver la thèse officielle, l’histoire de ce rapport démontre au contraire : que les rumeurs de gazages provenaient de bobards ayant circulé pendant la première guerre mondiale ; que l’histoire officielle de l’Holocauste est un mensonge, fabriqué cyniquement, en toute connaissance de cause ».