https://nationalfile.com/contingent-election-pence-gop-senate-can-invalidate-democrat-presidential-electors-in-az-ga-mi-ga/ Alors que le président Donald Trump devrait recevoir un nombre inattendu de votes au collège électoral d'États avec des controverses et des concours en cours liés à l'élection présidentielle de 2020, l'occasion se rapproche rapidement pour le vice-président Mike Pence et le Sénat dirigé par les républicains, avec l'aide du représentant Mo Brooks (R-AL) dans le sud, nier les votes du Collège électoral des États du champ de bataille avec des résultats électoraux suspects ou frauduleux. Comme National File l'a rapporté en exclusivité aujourd'hui, les responsables ont confirmé qu'un effort est en cours en Géorgie, en Pennsylvanie, au Nevada et dans d'autres États pour envoyer une liste d'électeurs présidentiels ayant l'intention de voter pour le président Donald Trump. Cela ouvre la porte à un événement constitutionnel qui n'a pas été vu depuis 1876, comme le notait précédemment le National File. National File s'est entretenu exclusivement avec l'avocat constitutionnel Ivan Raiklin aujourd'hui, qui a précédemment décrit une grande partie de ce qui se passe actuellement, pour en savoir plus sur ce qui va probablement se passer. Selon Raiklin, le 6 janvier, lorsque le Congrès entamera une session conjointe, sous la présidence de Pence, les votes du collège électoral des États commenceront à être comptés par ordre alphabétique. Lorsque l'Arizona est atteint, un représentant américain en exercice, probablement le représentant Mo Brooks (R-AL), qui a déjà indiqué qu'il le ferait, est en mesure de faire objection. Si un sénateur américain en exercice est d'accord, avec des experts suggérant que le sénateur Ted Cruz (R-TX), le sénateur Rand Paul (R-KY) ou le sénateur Ron Johnson (R-WI) sont tous des candidats probables, alors l'objection a rencontré. «l'exigence minimale légale» et sera noté. À ce stade, le Sénat américain se séparera de la session conjointe pour délibérer sur l'objection et décider d'accepter ou non l'ardoise de l'Arizona. Le Sénat, qui sera ostensiblement toujours détenu par une majorité républicaine le 6 janvier, peut alors choisir le long des lignes de parti de ne pas accepter la liste électorale de l'Arizona. Pendant ce temps, la Chambre, dirigée par la présidente Nancy Pelosi (D-CA), acceptera les électeurs d'origine de l'Arizona. Pence servirait alors de vote décisif, refusant d'accepter les électeurs originels de l'Arizona. Ce processus pourrait se poursuivre pour chaque État contesté, jusqu'à ce que ni le président Trump ni Joe Biden n'aient obtenu le nombre requis de votes électoraux. Un scénario probable est que le Congrès confirme finalement 232 votes électoraux pour le président Trump et 227 pour Biden. À ce stade, dit Raiklin, le 12e amendement entre en jeu, car une élection contingente à la Chambre des représentants sera nécessaire pour déterminer le prochain président. «Lors du choix du président, les votes seront pris par les États», a déclaré Raiklin. «Cela signifie que chaque État a une voix pour le président.» Alors que la Chambre des représentants a plus de représentants en fonction de la population, il y a actuellement 27 États qui ont envoyé des représentants républicains à la Chambre et 20 États qui ont envoyé des représentants démocrates à la Chambre. Trois États ont une répartition égale. Lors d'une élection contingente, les États républicains voteraient ensuite pour le président Trump, les États démocrates votant pour Biden. Le président Trump gagnerait probablement ce scénario par 7 États. Bien que ce scénario puisse sembler improbable, Raiklin souligne qu'il existe des preuves que ce processus est déjà en cours au Sénat américain.

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