Le raciste pervers Kémi Seba déclare que le blanc est le diable sous les applauses
Lors d'une de ses conférences, l'émissaire francophone de la blancophobique secte de la Nation of Islam et usurpateur du panafricanisme Kémi Seba exprime avec fierté son racisme anti-blancs en se croyant exemplaire et sous les applaudissements de personnes totalement lobotomisées y voyant-là la plus fulgurante des vérités. Un "yeah man" de communion très éloquent se fait entendre. Un comble qu'un tel raciste infatué puisse passer aux yeux d'une telle majorité pour un héros du militantisme antiraciste.
Sous les applaudissements lors d'une prêche à l'église Mercy Memorial Baptist à Milwaukee (État du Wisconsin) et appuyé par un disciple lançant avec une spontanéité éloquente un "c'est vrai", le dirigeant de la secte de néo-nazis anti-blancs la Nation of Islam Louis Farrakhan, chef des suprémacistes noirs, déclare dans un racisme décomplexé que les blancs méritent de mourir. Une vidéo repostée approbativement sur YouTube par certains de ses apôtres sans aucune censure ni indignation tellement ce racisme est approuvé et même vu comme tout ce qu'il y a de plus moral.
UN NOIR ULTRA-RACISTE ET VIOLENT CRIE ACRIMONIEUSEMENT À LA FACE D'UN BLANC "ON S'EN FOUT DES BLANCS" EN TOUTE IMPUNITÉ.
Le dérogationnisme d'immunisation et l'unilatéralisme du racisme anti-blancs sont tellement ancrés dans les mœurs de cette société que personne ne bronche par peur de passer pour "raciste" et de se heurter à la méchanceté féroce du suprémaiciste noir raciste en question. Un terrorisme psychologique qui est plus que jamais de mise aujourd'hui et dont les négrocrates abusent immodérément pour tout se permettre.
Cette délictueuse éructation "on s'en fout des blancs" traduit le négrocentrisme désinhibé de ces extrémistes racistes qui considèrent que les noirs sont les seuls humains méritants sur Terre et qui souhaitent ardemment le génocide des blancs qu'ils diabolisent en permanence.
Cette vidéo est encore aujourd'hui tolérée de post approbatif sur YouTube, mise en ligne par des racistes anti-blancs tirant leur chapeau à ce noir, communiant abjectement avec lui dans cette haine odieuse qui ne vaut pas mieux que la négrophobie et qu'ils osent appeler "l'antiracisme".
Un noir raciste par mentalité et comportement négrocratique (de suprémaciste noir) tient publiquement en laisse une femme blanche ethnomasochiste soumise aux noirs sans que la moindre indignation n'ait lieu, ce sado-masochisme néo-esclavagiste étant tellement entré dans les mœurs comme quelque chose de positif (du fait qu'il passe pour l'antiracisme qu'il n'est pas) qu'il est totalement approuvé par l'écrasante majorité des citoyens bien conditionnés à tenir toute objection contre pour du racisme d'extrême droite nazie. Or, l'esclavagisme sexuel ou d'autre ordre, même lorsqu'il se commet avec des méthodes modernes et avec l'aval de ses victimes rendues consentantes à leur détriment inconscient par toute une propagande de culpabilisation et de négrocratisation en l'occurrence, reste de l'esclavagisme immonde à condamner mais quand c'est par suprémacisme noir ça déroge et passe pour merveilleux alors que le dixième dans l'autre sens ferait l'objet d'un tollé de masse à retentissement mondial. Le deux poids de mesures bat son plein d'infernalité à cause de l'unilatéralisme raciste (immuno-négrocratique) qui règne catastrophiquement dans cette société.
En gare de Melbourne en Australie, un jeune homme blanc de 23 ans a été roué de coups par trois individus noirs d'origine africaine. Des violences lui ayant occasionné de graves lésions à la tête en plus d'un traumatisme lourd à vie. Les trois agresseurs avaient déjà agressé verbalement le jeune homme sur le quai. Il avait alors tenté (en vain) de les ignorer puis fu rattrapé et violemment frappé. Sur ces images captées par vidéo-surveillance, l'un des assaillants bat des mains comme pour célébrer jubilatoirement l'agression, signe manifeste d'un sadisme raciste.
Le genre de supplices infligés impunément à un nombre grandissant de blancs par un racisme très tabou et criminellement nié par l'unilatéralisme de la doxa de "l'antiracisme" mainstream (faux antiracisme) qui ne reconnaît le racisme que dans un sens, comme ne pouvant être commis que par des blancs contre les non-blancs et assimulant au racisme fasciste d'extrême droite la moindre dénonciation (même fugace) du racisme anti-blancs pourtant d'envergure et courant.
À l'image de cette femme incivilisée, nombreux sont les noirs qui, du fait de la mentalité négrocratique qui leur a été inculquée, se croient au-dessus des lois et en droit de déroger aux règles en vigueur comme ici par rapport au port du masque. Alors, quand des blancs égalitaristes ne jouent pas le jeu de ce dérogationnisme raciste et les traitent équitablement comme des citoyens comme d'autres en les ramenant à leur devoir de respecter les mêmes règles, ils peuvent se montrer très violents surtout en diffamation, faisant passer tout refus de tout leur permettre pour du racisme.