Après avoir dépensé 1 milliard de dollars, l'Australie a brusquement arrêté son programme de vaccination. Le problème concernait la PCR, le VIH et l'ajout imprudent d'adénovirus AD5 trouvé dans d'autres vaccins. en savoir plus sur ce qu'est AD5, https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2016/09/medsci20163210p830/medsci20163210p830.html

2 agents de santé de l'Alaska ont reçu un traitement d'urgence après avoir reçu le vaccin de Pfizer L'un des travailleurs, qui n'avait pas d'antécédents d'allergies, est resté à l'hôpital mercredi soir. Certaines réactions au vaccin ont également été signalées la semaine dernière en Grande-Bretagne. Deux agents de santé du même hôpital en Alaska ont développé des réactions concernant des réactions quelques minutes seulement après avoir reçu le vaccin contre le coronavirus de Pfizer cette semaine, dont un membre du personnel qui devait rester hospitalisé jusqu'à jeudi. Les responsables de la santé ont déclaré que les cas ne perturberaient pas leurs plans de déploiement de vaccins et qu'ils partageaient les informations dans un souci de transparence. Le premier travailleur, une femme d'âge moyen qui n'avait aucun antécédent d'allergies, a eu une réaction anaphylactique qui a commencé 10 minutes après avoir reçu le vaccin à l'hôpital régional Bartlett de Juneau mardi, a déclaré un responsable de l'hôpital. Elle a eu une éruption cutanée sur le visage et le torse, un essoufflement et une fréquence cardiaque élevée. Le Dr Lindy Jones, directeur médical du service des urgences de l'hôpital, a déclaré que le travailleur avait d'abord reçu une injection d'épinéphrine, un traitement standard pour les réactions allergiques graves . Ses symptômes se sont atténués, puis sont réapparus, et elle a été traitée avec des stéroïdes et une goutte d'épinéphrine. Lorsque les médecins ont essayé d'arrêter le goutte-à-goutte, ses symptômes ont réapparu, de sorte que la femme a été transférée à l'unité de soins intensifs, observée toute la nuit, puis sevrée du goutte-à-goutte tôt mercredi matin, a déclaré le Dr Jones. Le Dr Jones avait déclaré plus tôt mercredi que la femme devait sortir dans la soirée, mais l'hôpital a déclaré mercredi soir qu'elle restait une autre nuit. Le deuxième travailleur a reçu son injection mercredi et a développé des poches, des étourdissements et une gorge irritée 10 minutes après l'injection, a indiqué l'hôpital dans un communiqué. Il a été emmené aux urgences et traité avec de l'épinéphrine, du Pepcid et du Benadryl, bien que l'hôpital ait déclaré que la réaction n'était pas considérée comme une anaphylaxie. Le travailleur est revenu à la normale en moins d'une heure et libéré. L'hôpital, qui avait administré 144 doses totales mercredi soir, a déclaré que les deux travailleurs ne voulaient pas que leurs expériences aient un impact négatif sur les autres faisant la queue pour le vaccin. «Nous n'avons pas l'intention de modifier notre calendrier de vaccination, notre posologie ou notre régime», a déclaré le Dr Anne Zink, médecin-chef de l'Alaska, dans un communiqué. Bien que le vaccin Pfizer se soit avéré sûr et efficace à environ 95% dans un essai clinique impliquant 44 000 participants, les cas d'Alaska intensifieront probablement les inquiétudes concernant les effets secondaires possibles. Les experts ont déclaré que les développements pourraient inciter à des appels à des directives plus strictes pour garantir que les receveurs soient étroitement surveillés pour les effets indésirables. Le Dr Paul A. Offit, expert en vaccins et membre d'un groupe consultatif externe qui a recommandé à la Food and Drug Administration d'autoriser le vaccin Pfizer pour une utilisation d'urgence, a déclaré que les précautions appropriées étaient déjà en place. Par exemple, a-t-il déclaré, l'exigence selon laquelle les receveurs restent en place pendant 15 minutes après avoir reçu le vaccin a permis de garantir que la femme soit traitée rapidement. «Je ne pense pas que cela signifie que nous devrions suspendre» la distribution des vaccins, a-t-il déclaré. "Pas du tout." Mais il a déclaré que les chercheurs devaient déterminer «quel composant du vaccin est à l'origine de cette réaction». Le Dr Jay Butler, un des principaux experts en maladies infectieuses des Centers for Disease Control and Prevention, a déclaré que la situation en Alaska montrait que le système de surveillance fonctionnait. L'agence a recommandé que le vaccin soit administré dans des milieux dotés de fournitures, notamment d'oxygène et d'épinéphrine, pour gérer les réactions anaphylactiques. Des millions d'Américains devraient être inoculés avec le vaccin Pfizer d'ici la fin de l'année. Mercredi soir, on ne sait pas combien d'Américains l'ont reçu jusqu'à présent. Alex M. Azar II, le secrétaire à la santé et aux services sociaux, a déclaré que son département publierait ces données «plusieurs jours ou peut-être une semaine après cela». On pense que la réaction de la femme de l'Alaska est similaire aux réactions anaphylactiques que deux agents de santé britanniques ont subies après avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech la semaine dernière. Comme elle, les deux ont récupéré. Ces cas devraient survenir jeudi, lorsque les scientifiques de la FDA .... lire la suite: https://www.nytimes.com/2020/12/16/health/covid-pfizer-vaccine-allergic-reaction.html