Les vengeurs de l'Ave Maria ( film western 1970 ) avec Tony Kendall, Ida Meda, Alberto Dell'Acqua, Attilio Dottesio
Les vengeurs de l'Ave Maria ( titre original I vendicatori dell'Ave Maria ) est un film de 1970 , réalisé par Bitto Albertini
résumé Parker, un propriétaire terrien, règne sur une partie de la Californie. Dans le but de s'approprier une mine d'or, il tue le shérif. Katy, la fille du shérif, jure de se venger. Des forains l'aident à rétablir ses droits et châtient les traîtres. A la fin de la lutte, la jeune fille décide de partir avec les gens du voyage.
Les vengeurs de l'Ave Maria Pays de production Italie An 1970 Durée 86 min Gentil occidental Direction Al Albert Matière Bitto Albertini Scénario de film Bitto Albertini Fait maison Caravel Film , Atlas Consorziate Productions Distribution en italien Paris Etoile Film (Indépendants régionaux) La photographie Antonio Modica Assemblée Luigi Scattini Effets spéciaux Paolo Ricci Musique par la maison d'édition musicale Bixio Sam Scénographie Franco Fontana Déguisements par Mayer tailoring
Interprètes et personnages Tony Kendall : John Alberto Dell'Acqua : Pete Peter Thorrys : Sam Ida Meda : la femme de Sam Helen Parker : Cathy Wilson Spartaco Conversi : le père Albert Farley : John Parker Maria Luisa Gentilini : la nounou de Cathy Remo Capitani : Pedro Serrano Attilio Dottesio : shérif Ferguson Arrigo Peri : Stafford
La Chatte est un film français réalisé par Henri Decoin en 1958. Ce film est fondé sur une histoire réelle, celle de Mathilde Carré, dite La Chatte.
Synopsis
Sous l'Occupation, après le décès de son mari, Cora (Françoise Arnoul) le remplace dans un réseau de Résistance pour dérober les plans d'une fusée allemande dans une usine. Elle prend le nom de code de La Chatte.
Prisonnière, elle refuse d'être libérée en livrant des noms de partisans. Cependant les Allemands ont déjà des photos et les identités précises. Vexés de son intégrité, ils manipulent la situation et la font apparaître comme traitre devant ses partenaires. Les Allemands la libèrent ensuite, sachant pertinemment qu'ils la livrent à la vindicte des rescapés. La Chatte est abattue peu après sa libération, en marchant dans une rue déserte, longeant les murs de la prison d'où elle a été libérée...
Fiche technique
Titre : La Chatte
Réalisation : Henri Decoin
Assistants réalisateur : Michel Deville, Edmond Agabra
Script-girl : Annie Rozier
Scénario : Henri Decoin, Jacques Rémy et Eugène Tucherer, adapté du roman de Jacques Rémy
Dialogue : Jacques Rémy
Décors : Lucien Aguettand, assisté de Alexandre Hinkis, Jacques Dugied
Costumes : Gladys de Segonzac
Photographie : Pierre Montazel
Opérateur : Robert Foucard
Son : Robert Teisseire
Musique : Joseph Kosma
Coiffures : Alex Archambault
Maquillage : Monique Archambault
Régisseur général : Maurice Hartwig, assisté de J. Fauvel
Régisseur extérieur : L. Germain
Montage : Claude Durand, assisté de M. L. Barberot
Production : Eugène Tucherer pour Élysée Films, Films Metzger et Woog
Distribution : Disci-Film
Photographe de plateau : Roger Forster
Pays d'origine : Drapeau de la France France
Format : noir et blanc - son mono (Western Electric) - 35 mm
Genre : drame
Durée : 108 minutes
Date de sortie :
France : 18 avril 1958 (Paris)
Distribution
Bernard Blier : capitaine Debrun
Françoise Arnoul : Suzanne Ménessier dite Cora
Roger Hanin : Pierre
André Versini : Henri
Bernhard Wicki : Bernard Werner
Mario David : un résistant
Kurt Meisel : capitaine Heinz Muller
Michel Jourdan : Olivier
Louison Roblin : Bernadette
Harald Wolff : colonel Richting
Marie Glory : la concierge
Pierre Mirat : cheminot
Lutz Gabor : ordonnance
Jacques Meyran : Fred, le barman
Grégoire Gromoff : un résistant
Claude Vernier : un soldat allemand
Christian Brocard : le cycliste abattu
Pierre Durou : un résistant
Albert Daumergue : un homme qui achète le jambon
Dominique Zardi
Françoise Fabrice
Vanna Urbino
Daniel Mendaille
Crashs en série (titre original : Free Fall) est un film américain de Mario Azzopardi sorti en 1999
Experte en sécurité de l'aviation, Renee Brennan est envoyée sur les lieux du crash d'un avion de la Trans Regional Airlines. Les circonstances lui font penser à un autre accident survenu une année plus tôt. Un jour, elle reçoit un appel anonyme lui affirmant que d'autres crashs sont sur le point de se produire...
Le Gendarme se marie1 est un film comique français réalisé par Jean Girault, sorti en 1968.
Troisième film de la série du Gendarme, suivant Le Gendarme à New York et précédant Le Gendarme en balade, il a eu un succès égal au premier film et son tournage fut perturbé par une longue grève déclenchée par les événements de mai 68.
Synopsis
Le film débute un 1er juillet, date traditionnelle de départ en vacances en France.
Le maréchal des logis-chef Cruchot se voit confier une mission d'envergure afin de traquer les chauffards et les verbaliser. Cette opération va s'avérer pleine de surprises et d'imprévus notamment celui qui termine l'opération par la poursuite d'une conductrice se souciant peu des règles du code de la route et conduisant sa Ford Mustang décapotable avec fougue. Cette poursuite se terminera devant la gendarmerie de Saint-Tropez. La pimpante veuve du colonel de gendarmerie Lefrançois, Josépha, est l'intrépide conductrice de la belle décapotable. Elle vient se faire connaitre à la gendarmerie du lieu de son séjour estival et est accueillie fort civilement par l'adjudant Gerber, qui doit s'absenter provisoirement. Cruchot arrivant sur ces entrefaites, tombe nez à nez avec la « chauffarde » dont il ignore l'identité et en profite pour la sermonner, puis la verbaliser. Mais au retour de son supérieur, qui lui fait aussitôt prendre conscience de sa méprise, il se verra remis très sérieusement à sa place et devra se faire tout petit face à cette superbe femme aux relations puissantes. Le « coup de foudre » s'opère aussitôt, d'autant que Josépha est ravie de faire la connaissance de la toute petite fille de Cruchot, Nicole, qui en réalité s'avérera nettement plus grande…
Bientôt, celle-ci n'hésite pas à pousser son nouvel amant à prendre du galon, en l'incitant à préparer le concours d'adjudant-chef, avec la complicité de Nicole. Il se verra soumis à un régime sévère garant d'un incontestable succès, au grand dam de l'adjudant Gerber qui vise lui aussi l'avancement.
Cruchot gagne l'examen et est promu adjudant-chef au regret de Gerber. Mais le règne de Cruchot prendra vite fin lorsqu'on apprend qu'il y a eu une erreur dans les résultats et c'est Gerber qui obtient le grade d'adjudant-chef. Celui-ci compte bien prendre sa revanche sur Cruchot.
Pendant ce temps, Fredo le Boucher, un dangereux bandit s'évade (il s'était glissé dans un cours de danse où se trouvait Cruchot pour essayer d'échapper aux gendarmes. Cruchot, ne voulant pas être vu par ses hommes et ne reconnaissant pas tout de suite le bandit, tente de s'échapper avec lui mais finit par aider ses hommes à le capturer). Désireux de se venger de Cruchot, il utilise Josépha comme appât pour l'attirer mais c'est Gerber qui répond à l'appel à la suite d'une erreur. Fredo tente alors de s'enfuir vers la frontière avec Josépha comme otage. Cruchot le prend en chasse et réussit à l'arrêter. À la fin, Cruchot se marie avec Josépha en même temps que Nicole avec un de ses amis.
Réalisation Jean Girault
Scénario Jacques Vilfrid et Jean Girault
Musique Raymond Lefèvre
Acteurs principaux
Louis de Funès
Michel Galabru
Claude Gensac
Geneviève Grad
Sociétés de production SNC (Paris)
Medusa Distribuzione (Rome)
Pays d’origine Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie
Durée 92 min
Sortie 1968
Cul et Chemise (Titre original: Io sto con gli ippopotami) est un film italien d'Italo Zingarelli sorti en 1979.
En Afrique, il y a bien des années, Slim et Tom (Terence Hill et Bud Spencer), deux cousins blancs, déjouent malgré eux un trafic d'animaux supervisé par l'ignoble Ormond, un ancien champion du monde de boxe poids lourds.
Aventuriers en mal d'action, Slim et Tom ne cessent de se chamailler. Pourtant, ils sont cousins germains, aussi font-ils front commun lorsqu'il s'agit de se débarrasser des importuns, les hommes d'Ormond par exemple, de vrais « casse-pieds » qui veulent imposer leur loi et celle de leur patron, en l'occurrence Jack "Hammer" Ormond, potentat anglo-saxon établi dans cette contrée d'Afrique sous juridiction britannique, où il ne cesse de s'enrichir en capturant les animaux sauvages de la jungle et les ivoires pour les revendre à prix d'or sur le marché américain.
L'Addition est un film français réalisé par Denis Amar et sorti en 1984.
Synopsis
Pour avoir voulu défendre une jeune fille (Victoria Abril) accusée de vol, un comédien (Richard Berry) se retrouve en prison. Embarqué malgré lui dans une tentative d'évasion, il est condamné par un tribunal particulièrement incompétent qui suit sans réfléchir les plaidoiries d'un avocat général débordant de zèle ! Une fois incarcéré, le pauvre comédien doit compter avec les harcèlements de l'un des gardiens (Richard Bohringer), une espèce de dangereux sociopathe frustré de la vie
Fiche technique
Réalisation : Denis Amar, assisté de Frédéric Blum
Scénario : Denis Amar, Jean-Pierre Bastid, Jean Curtelin
Dialogues : J. Curtelin
Photographie : Robert Fraisse
Décors : Serge Douy
Musique : Jean-Claude Petit
Montage : Jacques Witta
Production : Norbert Saada
Pays : Drapeau de la France France
Format : Couleurs
Durée : 85'
Nombre d'entrées: 1 212 072
Distribution
Richard Berry : Bruno Winckler
Richard Bohringer : Albert Lorca, rôle pour lequel il est récompensé par le César du meilleur second rôle masculin en 1985
Victoria Abril : Patty
Farid Chopel : José
Daniel Sarky : Constantini
Fabrice Eberhard : Minet
Francis Arnaud : Le complice de Constantini
Jacques Sereys : Le directeur de la prison
Vincent Lindon : Un détenu
Isaach de Bankolé : Bill
Luc Florian : le surveillant du supermarché
Alain Frérot : un gardien
Riton Liebman : Jeannot
Charlie Nelson : un détenu
Jacques Nolot : un détenu
Simon Reggiani : Lenuzza
Gérard Caillaud
Patrick Poivey : Un gardien de prison
Les Gauloises blondes est un film français de Jean Jabely sorti en 1988.
Synopsis
En l'an 100 apr. J.-C., le village de Lutèce se fait envahir par une troupe romaine. Les Gaulois décident d'envoyer leurs femmes nues pour les confondre.
Fiche technique
Titre : Les Gauloises blondes
Réalisation : Jean Jabely
Scénario : Jean Jabely
Photographie : Pierre Fattori
Son : Jean-Louis Garnier
Montage : Marie-Christine Lewin
Pays d'origine : Drapeau de la France France
Format : Couleurs - Mono
Genre : Comédie
Durée : 85 minutes
Date de sortie : 31 août 1988
Distribution
Pierre Tornade : Biturix
Gérard Hernandez : Centurion Cunnilingus
Roger Carel : Cuchulain
Sylvaine Charlet : Bituite
Jean Rougerie : Frère Bonus
Marina Pastor : Une Gauloise
Jackie Sardou : la sorcière
Guy Lecluyse : le romain enrobé
Jean-Pierre Clami : le romain qui entraîne les Gaulois
Franck Godard : un gaulois et un romain
Leur dernière nuit est un film français de Georges Lacombe tourné et sorti en 1953.
Résumé
À Paris, honnête bibliothécaire municipal ou audacieux chef de gang, Pierre Ruffin, alias M. Fernand, est les deux à la fois. Madeleine Marsan, une jeune professeure d'anglais arrivée de province, s'attache à lui. Au mépris du danger, elle l'aide lorsqu'il est dénoncé par un de ses complices, et poursuivi par la police qui l'appréhende après une course-poursuite effrénée. Après s'être évadé du fourgon cellulaire qui l'emmenait au Quai des Orfèvres, il exécute le délateur. Il vit une dernière nuit d'amour avec Madeleine, avant d'être poursuivi et abattu par la police au moment où il voulait faire table rase du passé et s'enfuir définitivement en Belgique.
Fiche technique
Réalisation : Georges Lacombe
Scénario : d'après une nouvelle de Jacques Constant
Adaptation : Jacques Celhay, Georges Lacombe
Dialogues : Jacques Celhay
Assistant réalisateur : Roger Dallier
Décors : Léon Barsacq, assisté de André Bask
Photographie : Philippe Agostini
Opérateur : Jean-Marie Maillols
Son : Jacques Gallois, assisté de Guy Chichignoud
Montage : Raymond Leboursier
Musique : Francis Lopez
Script-girl : Colette Crochot
Maquillage : Louis Bonnemaison
Coiffures : Trieste Sarnelli
Photographe de plateau : Emmanuel Lowenthal
Régisseur : Fred Hérold
Production : Compagnie Commerciale Française Cinématographique
Directeur de production : François Harispuru
Distribution : Columbia
Tournage dans les studios de Boulogne du 15 janvier au 9 mars 1953
Enregistrement : Western Electric
Tirage : Laboratoire L.T.C de Saint-Cloud
Trucage : Lax
Pays : Drapeau de la France France
Format : noir et blanc - Pellicule 35 mm
Durée : 98 minutes
Genre : Drame
Date de sortie :
France - 23 octobre 1953
Visa d'exploitation : 13611
Distribution
Jean Gabin : Pierre Ruffin, « Fernand »
Madeleine Robinson : Madeleine Marsan
Robert Dalban : L'inspecteur Dupré
Jean-Jacques Delbo : Antoine Perez
Suzanne Dantès : Mlle Mercier
Michel Barbey : Dédé
Gaby Basset : La prostituée
Paul Bonifas : Le commissaire principal
Arthur Devère : Le marinier
Luce Fabiole : La directrice du cours Sévigné
Fernand Gilbert : Le bistrot
Camille Guérini : L'oncle de Nicole
Jacqueline Marbaux : La comtesse russe
Geneviève Morel : La bonne de l'hôtel.
Jean Lanier : L'inspecteur Pierson
Françoise Soulié : Nicole
Georges Baconnet : Le notaire
Odette Barencey : La cuisinière de la pension
Paul Barge : Le patron de l'hôtel
Cécile Didier : Mlle Legrain
Raymond Loyer : Paulo
Yves Massard : Le codétenu du car de police
Jean Ozenne : Le chanoine du train
Maryse Paillet : Marie, la femme du marinier
Jackie Sardou : La concierge
Louis Saintève : Un employé de la bibliothèque
Henri San-Juan : P'tit Louis
Jean Sylvain : Le garçon d'hôtel
Georges Vitray : M. Villard
Franck Maurice : Un joueur de dés, au bistrot
Robert Mercier : Un agent de police
Raymond Rognoni : Un pensionnaire (invisible dans les copies visionnées)
Moi y'en a vouloir des sous est une comédie satirique réalisée par Jean Yanne, sortie en 1973
Résumé
Les conflits sociaux battent leur plein. Adrien Colbart (Bernard Blier), président de la puissante CGI, est considéré comme un leader syndical de tendance radicale. Son neveu, Benoît Lepape (Jean Yanne) est un homme tranquille, qui travaille comme analyste financier dans un groupe industriel. Contrairement à ce que pense son oncle, il n'est pas hostile aux ouvriers. En revanche, il voit les manifestations et les banderoles comme des « singeries ».
Après une initiative malheureuse, Lepape est licencié par son PDG en chaise roulante, Chouras. Il va voir son oncle et lui expose sa stratégie : « contre le capitalisme, utiliser le capitalisme ». Il le convainc d'investir les fonds du syndicat dans une entreprise de bicyclettes qui va connaître le succès. Avec les mêmes fonds et les bénéfices des bicyclettes, Lepape ouvre bientôt une usine-modèle d'électronique.
Données clés
Réalisation Jean Yanne
Scénario Gérard Sire, Jean Yanne
Acteurs principaux
Jean Yanne
Bernard Blier
Nicole Calfan
Michel Serrault
Pays d’origine Drapeau de la France France
Genre comédie
Durée 110 min
Sortie 1973
Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? ou L'agent fait la farce (au Québec et Nouveau-Brunswick) (The Naked Gun: From the Files of Police Squad!) est un film américain réalisé par David Zucker, sorti en 1988. Le film est une adaptation de la série télévisée Police Squad datant de 1982 également créée par la bande des ZAZ et toujours incarnée par Leslie Nielsen.
Synopsis
Frank Drebin est policier dans la brigade spéciale de la police de Los Angeles. Son meilleur ami et partenaire Nordberg est gravement blessé et accusé de trafic de drogue. Dès lors, Frank cherche à savoir qui a voulu tuer son ami. Son enquête l'amène sur les traces de Vincent Ludwig, riche homme d'affaires à qui l'on vient de confier la charge d'organiser la venue de la reine Élisabeth II. Frank fait la rencontre de l'assistante de Ludwig, Jane Spencer, dont il va tomber amoureux.
Données clés
Titre québécois L'agent fait la farce
Titre original The Naked Gun: From the Files of Police Squad!
Réalisation David Zucker
Scénario Jerry Zucker
Jim Abrahams
David Zucker
Pat Proft
Acteurs principaux
Leslie Nielsen
Priscilla Presley
Ricardo Montalban
George Kennedy
Sociétés de production Paramount Pictures
Pays d’origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Comédie policière
Parodie
Action
Romance
Durée 85 minutes
Sortie 1988