Ahmed Djebbar (en arabe ٲحمد جبّار), né le 2 août 1941 à Aïn Defla en Algérie, est un mathématicien, historien des sciences et des mathématiques algérien, professeur émérite à l'université de Lille.
Entre juillet 1992 et avril 1994, il est Ministre de l'Éducation nationale en Algérie, au sein des gouvernements Abdesslam et Malek.
La condition sine qua non (prononcé comme « ciné quoi nonne » /si.ne.kwa.nɔn/, mot à mot : « sans quoi non ») ou conditio sine qua non (« la condition nécessaire ») était à l'origine un terme juridique latin signifiant « sans laquelle cela ne pourrait pas être »
L'expression statu quo ante bellum (ou in statu quo ante bellum) signifie littéralement « comme les choses étaient avant la guerre » en latin.
Le substratum (composé du latin sub « sous » et de sternere « répandre ») ou substrat ou dans certains cas le soubassement est la formation géologique sur laquelle reposent les terrains ou les artéfacts servant de référence. Le passage au substratum, stratigraphiquement plus ancien que ce qu'il supporte, est généralement souligné par une discontinuité comme une discordance.
Axiome: du moyen français axiome, qui vient du latin axioma (« proposition »).
Entre jeunesse dorée en Europe et répression sanglante du Printemps arabe en Libye, l’histoire édifiante du deuxième fils de Mouammar Kadhafi qui, malgré des mandats d’arrêt pour crimes contre l’humanité, brigue le pouvoir dans son pays.
Novembre 2021. C’est un scénario que personne n’aurait envisagé : avec une audace confinant au geste de défi, Seïf al-Islam Kadhafi, le deuxième fils du dictateur lynché à mort le 20 octobre 2011, se présente à l’élection présidentielle dans son pays. Poursuivi par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité et sous le coup de plusieurs condamnations en Libye, cet étrange héritier, né en 1972, qui a grandi dans un clan obsédé par les complots, reste une énigme. D’abord perçu comme un réformateur, cet ancien play-boy, qui a étudié l’architecture à Tripoli puis l’économie en Europe, apparaît de fait comme le "réparateur" des atrocités de son père – avec lequel il entretient des relations houleuses –, indemnisant notamment les familles des victimes de l’attentat de 1989 contre l’avion DC-10 d’UTA. Mais il bascule lors du Printemps arabe jusqu’à incarner la répression sanglante du tyran de Tripoli. Capturé par une milice antikadhafiste et jeté en prison, il comparaît à différents procès en visioconférence avant de vivre en résidence surveillée. Entre rumeurs et menaces de mort, le reclus, qui a échappé à plusieurs tentatives d’assassinat, obsède la rue libyenne. On le dit fou, malade, mystique, réfugié dans le désert. Qui est-il ? Que sait-il des secrets du régime ? Alors que les élections ont été repoussées à une date incertaine dans une Libye fracturée entre l’Est et l’Ouest et en proie à des milices rivales, quelles chances a-t-il de conquérir le pouvoir, quand ses appels à la protection d’Allah lui tiennent lieu de seul programme ? Qui le soutient ? En attendant l’épilogue, il accuse Nicolas Sarkozy d’avoir financé sa campagne grâce à de l’argent libyen qu’il exhorte l’ex-président à rendre.
Intentions obscures
Tandis que Seïf al-Islam Kadhafi a soudainement refait surface en 2018, ses intentions restent aussi obscures que ses capacités mystérieuses. Au fil d’une enquête édifiante auprès de proches, d’experts et d’acteurs politiques, ce documentaire dessine le portrait contrasté d’un survivant aux abois en quête d’un nouveau destin, dont la vie tourmentée illustre le chaos d’un pays déchiré et aujourd’hui soumis à l’emprise de puissances étrangères.
Documentaire de Martine Laroche-Joubert et Maryline Dumas (France, 2023, 52mn)
Comme je le comprends... je hais les cons.
Une petite merde de journaliste de radio courtoisie, cette radio de "cathos" de la droite dite "nationale". Vraiment la raclure bourgeoise démoralisée, des sales profiteurs, descendants de colons de merde qui ont fait toutes les guerres de la gauche, en bon idiots utiles qu'ils sont.
"Démoralisée" car ils ne sont pas plus chrétiens que moi je suis astronaute, ils sont, comme dit Emmanuel Todd, des: "catholiques zombies".
Vraiment une sous-espèce dégénérée de bourges de merde. Complètement anachronique. Larguée. Parfaitement en symbiose avec la génération "Z"/Woke, qu'elle croit combattre, alors que c'est la même souche merdique qui les a produit.
La tronche d'ahuri de ce simplet, putain... quelle tête à claques...
Persona non grata (au pluriel : personæ non gratæ, PNG), signifiant littéralement "personne n'étant pas la bienvenue", est une locution latine utilisée en diplomatie avec un sens juridique précis, aussi usitée dans le langage courant. Elle s'oppose à persona grata (au pluriel : personæ gratæ).
Incognito: Le mot incognito est un emprunt à l'italien, et antérieurement au latin incognitus qui signifie « inconnu » et « non examiné ».
Consensus:Du latin consensus (« accord, adhésion, unanimité »), de cōnsentiō (« ressentir ensemble, consentir »).
Les services secrets Ukrainiens (chapeautés par la C.I.A) recrutent des tocards de migrants Tadjiks par les réseaux sociaux, leur offrent 10.000 roubles et leur donnent des armes pour faire le job (tuer des civils Russes). C'est le terrorisme "low cost". Avec l'argent que Victoria Nuland et l'UE envoient aux Ukrainiens, il y a de quoi recruter un paquet de ces raclures, même avec la moitié qui sera dépensée en putes, en villas de luxe, et autres commodités prisées par les militaires Ukrainiens gradés.
"Truly disgusting" comme on dit à Los Angeles.
Marcel Bigeard, né le 14 février 1916 à Toul et mort le 18 juin 2010 dans la même ville, est un militaire et homme politique français. Résistant, son nom reste associé à la guerre d'Indochine et à celle d'Algérie. Accusé d'avoir pratiqué et commandité la torture, il aura toujours nié, tout en affirmant qu'elle fut nécessaire.
Il a la singularité d’avoir été appelé sous les drapeaux comme homme du rang, 2e classe, en 1936, et d’avoir terminé sa carrière militaire en 1976, comme officier général quatre étoiles (général de corps d'armée).
Le général Bigeard demeure à ce jour le second général français, derrière le général Raoul Salan, le plus décoré de l'armée française au XXe siècle, avec 27 citations. Le 27 septembre 1974 le président de la République lui remet la dignité de grand-croix de Légion d’honneur alors qu'il était toujours en service actif, distinction que seuls deux autres généraux de recrutement interne ont reçue en deuxième section, les généraux Paul Gandoet et Alain Le Ray.
Après sa carrière dans l'armée, il est secrétaire d’État à la Défense nationale (1975-1976) et député de Meurthe-et-Moselle (1978-1988). Une fondation portant son nom est créée en 2011.