La manipulation de masse lors de la crise covid expliquée par la politologue Paméla OBERTAN invitée par l'excellent journaliste Harold Luce sur Canal 10
Après un premier documentaire, Donbass, tourné dans l'est en 2015, je reviens sur mes pas en 2022.
Ce film est dédicacé à tous les civils de toutes les guerres.
L'atmosphère est lourde.
Nous sommes le 24 février 2022. Je suis de nouveau dans le Donbass. L'offensive russe gagne tout le pays.
Interdite de séjour en Ukraine depuis 2015, je ne pourrai pas me rendre à Kiev. Je ne recevrai aucune réponse positive à mon attente d'une autorisation officielle.
Ces images racontent le quotidien des civils de Donetsk. La population ici aussi continue sa descente en enfer.
Une guerre qui a commencé en 2014 et n'a jamais vraiment cessé.
Donbass est là pour rééquilibrer le débat. Pour donner la parole à ceux qui sont au cœur du conflit et que pourtant l’on ne voit et entend peu. Pour que puisse exister une autre manière de concevoir ce conflit, à l’abri des discours propagandistes et des positionnements non assumés. Le film n’est pas là pour déterminer qui du gouvernement ukrainien ou du gouvernement russe est le plus coupable.
Donbass ne cherche pas à démontrer une théorie ou à défendre un camp plutôt que l’autre. Son objectif est de donner à voir le quotidien des populations civiles de l’Est plongées dans le tourment de la guerre. De comprendre quels peuvent être les ressentis de ces habitants.
Donbass ne se prétend pas objectif, neutre ou encore exhaustif. Donbass est un film documentaire, et c’est pourquoi Donbass se veut subjectif.
C’est l’histoire d’un fiasco criminel. Un documentaire accablant, intitulé les Ombres du Bataclan, diffusé sur Arte le 3 septembre et que Valeurs actuelles a pu visionner, revient sur la gestion calamiteuse des attentats du 13 novembre 2015. Y sont notamment évoquées les « failles dans les services de renseignements » par le président de la commission d’enquête parlementaire Georges Fenech et des experts, mais aussi l’irresponsabilité générale jusqu’au sommet de l’État.
« Il y a eu peut-être du retard dans les procédures », admet ainsi l’ancien Premier ministre Manuel Valls, qui pointe la responsabilité du préfet de Paris. Ce soir-là, six agents de la brigade d’intervention (BI), stationnés à deux pas du Bataclan, ont même été empêchés, sans explications, d’agir immédiatement pour mettre fin à la tuerie.
« Le retard au Bataclan, ils ne le pardonneront jamais, car ce qu’ils ont vu, ils ne s’en remettront jamais », rapporte la journaliste Laurence Beneux, aussi interrogée dans le film et qui avait déjà révélé un retard de trois quarts d’heure dans son livre explosif BI : brigade d’intervention (Cherche Midi, 2020). Le procès des attentats s’ouvrira le 8 septembre prochain.
Pierre Gillery était au micro de Clémence ce jeudi 30 juin 2022
https://www.youtube.com/watch?v=DOpBRJ8rRTI
Tout le monde en parle | France 2 | 23/10/2004
Thierry Ardisson reçoit le journaliste Éric Laurent à propos du livre "La face cachée du 11 septembre"
Ce livre traite de soi-disant mensonges et silences officiels sur l’attentat du World Trade Center en se basant sur des suppositions, mais sans apporter de preuves.
Bruno Gaccio participe au débat.
Laurent Toubiana est l'invité d'Éric Morillot dans Les Incorrectibles ce 9 janvier 2022.
Il fait le point sur 2 ans de crise et nous apporte un regard scientifique et humain à contrario du gouvernement français.
C'est sa dernière interview car il subit des menaces sociales et physiques.